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Après la hausse des prix des viandes rouges, les prix du poulet ont augmenté au cours des deux derniers jours sur l'ensemble des marchés nationaux. Le prix du kilo varie entre 23 et 25 dirhams au lieu de 17 DH auparavant. Certains internautes parlent même d'un prix du kilo qui dépasse 30 dirhams. Cette hausse exagérée a suscité un grand mécontentement de la part des citoyens déjà affectés par la hausse générale des produits alimentaires.
Mustapha Mountassir, président de l’Association nationale des producteurs de volailles (APV), explique que la montée en flèche du prix du poulet s'explique par la canicule qui a des effets négatifs sur les élevages de volaille. Dans une déclaration accordée à Assahra Al Maghribia, le professionnel explique qu'en plus de la hausse du taux de mortalité, le rendement du poussin se trouve fortement impacté par ces vagues de chaleur plus longues et plus intenses. "Si l'éleveur du poulet de chair est habitué à avoir une volaille d'environ 2,300 kg au bout de 40 jours d’élevage, la hausse des températures ralenti la croissance des poussins qui ne dépassera pas 1,900 kg au bout de 50 jours", explique le professionnel. , précise-t-il.
Autre raison, la ruée des citoyens vers l'achat de la viande blanche en raison de la hausse des prix des viandes rouges et du poisson. De plus, l'été est généralement la période des célébrations des fêtes de mariages où le poulet est le met principal pour les convives.
Troisième raison selon le même professionnel, est liée aux coûts élevés des matières premières utilisées dans la production des aliments pour volailles. De plus, le prix unitaire du poussin a augmenté de 75%, passant de 4 dirhams à 7 dirhams.
Interrogé sur la possibilité d'un retour à la normale des prix de volaille, le président de l’Association nationale des producteurs de volailles a indiqué qu'il est "probable que les prix reviennent à la normale dans 10 jours, avec l'amélioration du niveau de croissance des volailles dans les exploitations, à condition que le royaume ne subisse pas une nouvelle vague de chaleur".
Réagissant à cette situation, le groupe parlementaire du Parti du Progrès et du Socialisme (PPS) à la Chambre des représentants a interpellé le ministre de l’Agriculture. Dans une lettre adressée à Mohamed Sadiki, le groupe parlementaire a alerté sur la hausse continue des prix des produits essentiels qui exacerbe les ménages. " Malgré les assurances du gouvernement sur la surveillance des prix et la lutte contre la spéculation et les monopoles, les citoyens restent les premières et dernières victimes de la flambée des prix des produits de première nécessité, qui atteignent des niveaux record", note le PPS. Exhortant le ministre de l’Agriculture à prendre les mesures nécessaires pour limiter cette flambée des prix de la viande de volaille, les parlementaires ont demandé une surveillance accrue des prix pour éviter de nouvelles augmentations.
Mustapha Mountassir, président de l’Association nationale des producteurs de volailles (APV), explique que la montée en flèche du prix du poulet s'explique par la canicule qui a des effets négatifs sur les élevages de volaille. Dans une déclaration accordée à Assahra Al Maghribia, le professionnel explique qu'en plus de la hausse du taux de mortalité, le rendement du poussin se trouve fortement impacté par ces vagues de chaleur plus longues et plus intenses. "Si l'éleveur du poulet de chair est habitué à avoir une volaille d'environ 2,300 kg au bout de 40 jours d’élevage, la hausse des températures ralenti la croissance des poussins qui ne dépassera pas 1,900 kg au bout de 50 jours", explique le professionnel. , précise-t-il.
Autre raison, la ruée des citoyens vers l'achat de la viande blanche en raison de la hausse des prix des viandes rouges et du poisson. De plus, l'été est généralement la période des célébrations des fêtes de mariages où le poulet est le met principal pour les convives.
Troisième raison selon le même professionnel, est liée aux coûts élevés des matières premières utilisées dans la production des aliments pour volailles. De plus, le prix unitaire du poussin a augmenté de 75%, passant de 4 dirhams à 7 dirhams.
Interrogé sur la possibilité d'un retour à la normale des prix de volaille, le président de l’Association nationale des producteurs de volailles a indiqué qu'il est "probable que les prix reviennent à la normale dans 10 jours, avec l'amélioration du niveau de croissance des volailles dans les exploitations, à condition que le royaume ne subisse pas une nouvelle vague de chaleur".
Réagissant à cette situation, le groupe parlementaire du Parti du Progrès et du Socialisme (PPS) à la Chambre des représentants a interpellé le ministre de l’Agriculture. Dans une lettre adressée à Mohamed Sadiki, le groupe parlementaire a alerté sur la hausse continue des prix des produits essentiels qui exacerbe les ménages. " Malgré les assurances du gouvernement sur la surveillance des prix et la lutte contre la spéculation et les monopoles, les citoyens restent les premières et dernières victimes de la flambée des prix des produits de première nécessité, qui atteignent des niveaux record", note le PPS. Exhortant le ministre de l’Agriculture à prendre les mesures nécessaires pour limiter cette flambée des prix de la viande de volaille, les parlementaires ont demandé une surveillance accrue des prix pour éviter de nouvelles augmentations.
