Mohamed Abboud, président de l'Association nationale des éleveurs de poulets de chair, a exprimé la profonde préoccupation des professionnels face à l'augmentation vertigineuse des prix de certaines matières premières entrant dans la production des volailles. Cette situation est d'autant plus alarmante qu'elle survient quelques jours seulement après une réunion de l'association avec la présidence du Conseil de la concurrence.
Dans une déclaration à "Assahraa Maghribia", M. Abboud a souligné que "ces hausses non justifiées des coûts de production vont engendrer une augmentation du prix final du poulet, un aliment de base sur les tables marocaines, particulièrement en période estivale, où les températures élevées compliquent davantage l'élevage des volailles".
L'association a, par ailleurs, averti que "cette augmentation des coûts de production se traduira inévitablement par une hausse des prix des poulets sur le marché. Cela risque de provoquer des pertes supplémentaires pour les petits éleveurs, déjà fragilisés, et de réduire encore le pouvoir d'achat des consommateurs, qui peinent déjà à faire face aux coûts élevés des produits de première nécessité".
Face à cette situation critique, l'association appelle les autorités, notamment les différents ministères concernés, à intervenir pour protéger les petits et moyens éleveurs, ainsi que les consommateurs. Abboud a pointé du doigt "le comportement des entreprises productrices des matières premières utilisées dans l'alimentation des volailles (comme les poussins et les aliments pour poulets), malgré une baisse significative des prix de ces matières sur le marché mondial".
En parallèle, l'association a appelé à une "enquête approfondie sur ce dossier, qui a entraîné des pertes considérables pour les petits et moyens éleveurs. Elle a également conduit à la hausse des prix et à la rareté des produits sur le marché, une situation qui n'est pas liée à la sécheresse comme certains acteurs le prétendent".
Dans une déclaration à "Assahraa Maghribia", M. Abboud a souligné que "ces hausses non justifiées des coûts de production vont engendrer une augmentation du prix final du poulet, un aliment de base sur les tables marocaines, particulièrement en période estivale, où les températures élevées compliquent davantage l'élevage des volailles".
L'association a, par ailleurs, averti que "cette augmentation des coûts de production se traduira inévitablement par une hausse des prix des poulets sur le marché. Cela risque de provoquer des pertes supplémentaires pour les petits éleveurs, déjà fragilisés, et de réduire encore le pouvoir d'achat des consommateurs, qui peinent déjà à faire face aux coûts élevés des produits de première nécessité".
Face à cette situation critique, l'association appelle les autorités, notamment les différents ministères concernés, à intervenir pour protéger les petits et moyens éleveurs, ainsi que les consommateurs. Abboud a pointé du doigt "le comportement des entreprises productrices des matières premières utilisées dans l'alimentation des volailles (comme les poussins et les aliments pour poulets), malgré une baisse significative des prix de ces matières sur le marché mondial".
En parallèle, l'association a appelé à une "enquête approfondie sur ce dossier, qui a entraîné des pertes considérables pour les petits et moyens éleveurs. Elle a également conduit à la hausse des prix et à la rareté des produits sur le marché, une situation qui n'est pas liée à la sécheresse comme certains acteurs le prétendent".