En réponse à une question posée par le Groupe Authenticité et Modernité, lors de la séance des questions orales à la Chambre des représentants, M. El Bouari a précisé que ce volume de production représente une baisse de 11% par rapport à la saison précédente et de 40% par rapport à une année normale.
Le ministre a également souligné que la filière a été affectée par la succession d'années de sécheresse, ajoutant qu'une hausse des températures durant la période de floraison a impacté les rendements, même dans les zones irriguées, contribuant ainsi à la baisse de production. Et d'ajouter que la production d’huile d’olive devrait atteindre 90.000 tonnes, tandis que la consommation nationale moyenne oscille entre 130.000 et 140.000 tonnes.
Face à cette situation, le gouvernement a décidé de suspendre les droits d’importation sur l’huile d’olive vierge et extra-vierge, qui feront l'objet d'un contrôle stricte par l'Office National de Sécurité Sanitaire des produits Alimentaires (ONSSA), ainsi que de réguler les exportations d'huile d'olive via l'octroi de licences spécifiant les types et quantités autorisées, a-t-il fait savoir.
Le ministre a également souligné que la filière a été affectée par la succession d'années de sécheresse, ajoutant qu'une hausse des températures durant la période de floraison a impacté les rendements, même dans les zones irriguées, contribuant ainsi à la baisse de production. Et d'ajouter que la production d’huile d’olive devrait atteindre 90.000 tonnes, tandis que la consommation nationale moyenne oscille entre 130.000 et 140.000 tonnes.
Face à cette situation, le gouvernement a décidé de suspendre les droits d’importation sur l’huile d’olive vierge et extra-vierge, qui feront l'objet d'un contrôle stricte par l'Office National de Sécurité Sanitaire des produits Alimentaires (ONSSA), ainsi que de réguler les exportations d'huile d'olive via l'octroi de licences spécifiant les types et quantités autorisées, a-t-il fait savoir.