Predator Oil devrait démarrer aujourd’hui les travaux de forage de son puits MOU-5. Paul Griffiths, CEO de la compagnie britannique d’exploration gazière l’a annoncé lors d’une interview avec FlagstaffTV.
Ce projet affiche un potentiel important de plusieurs trillions de pieds cubes de gaz, selon Paul Griffiths. Mais seuls les résultats de tests post-forage détermineront si les prévisions pour ce puits étaient justes, auquel cas le puits pourrait être relié au Pipeline Maghreb-Europe, à 2,5 km seulement. En attendant, le patron de la junior reste confiant et indique que «nous bénéficions du meilleur régime fiscal : pas d’impôts sur les sociétés pendant 10 ans».
Le puits MOU-5 représente un autre enjeu pour la junior, l’hélium, jusqu’à 20 fois plus cher que le gaz naturel, affirme Griffiths. Il estime d’ailleurs que ce puits MOU-5 pourrait livrer jusqu’à 2,9 millions de dollars d’hélium.
Une fois le projet MOU-5 bouclé, Predator Oil devrait retourner au puits MOU-3, la compagnie espère obtenir une concession d’exploitation afin de produire à «grande échelle», affirme Paul Griffiths.
Rappelons que fin janvier dernier, le président de la compagnie avait évoqué un éventuel désengagement de ses actifs à Guercif. L’idée était de se défaire des actifs gaziers, tout en maintenant ceux présentant un potentiel important en hélium. En revanche, Paul Griffiths avait conditionné un tel désengagement par des débits «commercialisables» sur son actif stratégique (MOU-5).
Ce projet affiche un potentiel important de plusieurs trillions de pieds cubes de gaz, selon Paul Griffiths. Mais seuls les résultats de tests post-forage détermineront si les prévisions pour ce puits étaient justes, auquel cas le puits pourrait être relié au Pipeline Maghreb-Europe, à 2,5 km seulement. En attendant, le patron de la junior reste confiant et indique que «nous bénéficions du meilleur régime fiscal : pas d’impôts sur les sociétés pendant 10 ans».
Le puits MOU-5 représente un autre enjeu pour la junior, l’hélium, jusqu’à 20 fois plus cher que le gaz naturel, affirme Griffiths. Il estime d’ailleurs que ce puits MOU-5 pourrait livrer jusqu’à 2,9 millions de dollars d’hélium.
Une fois le projet MOU-5 bouclé, Predator Oil devrait retourner au puits MOU-3, la compagnie espère obtenir une concession d’exploitation afin de produire à «grande échelle», affirme Paul Griffiths.
Rappelons que fin janvier dernier, le président de la compagnie avait évoqué un éventuel désengagement de ses actifs à Guercif. L’idée était de se défaire des actifs gaziers, tout en maintenant ceux présentant un potentiel important en hélium. En revanche, Paul Griffiths avait conditionné un tel désengagement par des débits «commercialisables» sur son actif stratégique (MOU-5).
