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Le Maroc franchit un nouveau record d'exportation de framboises fraîches vers la France. Au cours de la campagne 2022/23, les exportateurs marocains ont vendu plus de 6.000 tonnes de framboises fraîches aux importateurs français, selon EastFruit, soit une augmentation de 20% par rapport à la saison précédente. Par rapport à la saison 2020/21, les exportations ont presque triplé.
>> Lire aussi : Le Maroc 3e exportateur mondial de framboises devant les États-Unis
À la fin de la saison 2022/23, les importateurs français ont acheté plus de 24.000 tonnes de framboises fraîches sur les marchés étrangers, et le Maroc a maintenu sa position de deuxième fournisseur avec près d'un quart de parts de marché. Il convient de noter que la France a exporté, lors de la saison 2022/23, 7.300 tonnes de framboises.
Le principal fournisseur de framboises du marché français, qui absorbe 1.200 tonnes de framboises importées chaque mois, est l'Espagne «qui propose tout au long de l'année ses framboises propres ou réexportées, même si les volumes d'approvisionnement diminuent sensiblement en juillet-septembre», indique EastFruit. Parmi les autres fournisseurs majeurs figurent le Portugal, les Pays-Bas et la Belgique, qui approvisionnent également le marché français en framboises toute l'année. D’autres pays fournissent des quantités moins importantes tels que la Pologne, Chypre, l’Allemagne, la Serbie et le Mexique.
Il convient, par ailleurs, de mentionner que le Maroc a démarré la nouvelle campagne 2023/24 avec un volume d'exportation légèrement en repli : en juillet-septembre de cette année, 990 tonnes de framboises fraîches ont été exportées du pays, ce qui représente la quantité la plus faible pour cette période au cours des six dernières années. D'ailleurs, sur les trois premiers mois de la campagne, seules 70 tonnes de framboises fraîches ont été livrées en France, contre 250 tonnes un an plus tôt. La principale raison de la baisse de l'offre, selon EastFruit, est la baisse de l’intérêt des agriculteurs pour la culture des framboises après la campagne précédente, qui était assez difficile en termes de prix, surtout au premier semestre ainsi que les conditions météorologiques difficiles en octobre dernier. Ce qui pourraient éventuellement entraîner un ralentissement significatif des exportations marocaines.
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À la fin de la saison 2022/23, les importateurs français ont acheté plus de 24.000 tonnes de framboises fraîches sur les marchés étrangers, et le Maroc a maintenu sa position de deuxième fournisseur avec près d'un quart de parts de marché. Il convient de noter que la France a exporté, lors de la saison 2022/23, 7.300 tonnes de framboises.
Le principal fournisseur de framboises du marché français, qui absorbe 1.200 tonnes de framboises importées chaque mois, est l'Espagne «qui propose tout au long de l'année ses framboises propres ou réexportées, même si les volumes d'approvisionnement diminuent sensiblement en juillet-septembre», indique EastFruit. Parmi les autres fournisseurs majeurs figurent le Portugal, les Pays-Bas et la Belgique, qui approvisionnent également le marché français en framboises toute l'année. D’autres pays fournissent des quantités moins importantes tels que la Pologne, Chypre, l’Allemagne, la Serbie et le Mexique.
Il convient, par ailleurs, de mentionner que le Maroc a démarré la nouvelle campagne 2023/24 avec un volume d'exportation légèrement en repli : en juillet-septembre de cette année, 990 tonnes de framboises fraîches ont été exportées du pays, ce qui représente la quantité la plus faible pour cette période au cours des six dernières années. D'ailleurs, sur les trois premiers mois de la campagne, seules 70 tonnes de framboises fraîches ont été livrées en France, contre 250 tonnes un an plus tôt. La principale raison de la baisse de l'offre, selon EastFruit, est la baisse de l’intérêt des agriculteurs pour la culture des framboises après la campagne précédente, qui était assez difficile en termes de prix, surtout au premier semestre ainsi que les conditions météorologiques difficiles en octobre dernier. Ce qui pourraient éventuellement entraîner un ralentissement significatif des exportations marocaines.
