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Les personnes physiques marocaines ont vu leur poids dans les investissements boursiers progresser de manière spectaculaire, passant de 11% au deuxième trimestre 2023 à 27% sur la même période en 2024. Cette hausse de 16 points de pourcentage témoigne d’un intérêt croissant des particuliers pour le marché des capitaux. En termes de comptes-titres, leur nombre a atteint 169.863 au T2 2024, contre 152.676 un an auparavant, soit une augmentation de 11%.
Parallèlement, les Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières (OPCVM) ont également vu leur part de marché croître, bien que dans une moindre mesure, passant de 29% à 32% (+3 points). En revanche, les personnes morales marocaines ont enregistré une nette baisse, leur part diminuant de 46% à 31% sur la période, soit une chute de 15 points de pourcentage. Les personnes morales étrangères, quant à elles, représentent désormais 6% des transactions.
La montée en puissance des personnes physiques sur le marché boursier reflète un intérêt renouvelé pour l’investissement direct, signe de la diversification des profils d’investisseurs. Cette évolution pourrait avoir des implications positives pour la profondeur et la liquidité du marché, renforçant son attractivité pour l’ensemble des participants.
Parallèlement, les Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières (OPCVM) ont également vu leur part de marché croître, bien que dans une moindre mesure, passant de 29% à 32% (+3 points). En revanche, les personnes morales marocaines ont enregistré une nette baisse, leur part diminuant de 46% à 31% sur la période, soit une chute de 15 points de pourcentage. Les personnes morales étrangères, quant à elles, représentent désormais 6% des transactions.
Les personnes physiques se positionnent comme acteur de poids
Au terme du deuxième trimestre 2024, les volumes échangés sur le marché central restent dominés par les OPCVM et les personnes morales marocaines, qui cumulent à elles seules 63% des transactions, avec respectivement 32% et 31%. Les personnes physiques marocaines, avec leur contribution de 27%, se positionnent comme un acteur de poids croissant, tandis que les personnes morales étrangères restent minoritaires, représentant seulement 6% des échanges.La montée en puissance des personnes physiques sur le marché boursier reflète un intérêt renouvelé pour l’investissement direct, signe de la diversification des profils d’investisseurs. Cette évolution pourrait avoir des implications positives pour la profondeur et la liquidité du marché, renforçant son attractivité pour l’ensemble des participants.
