Dans le détail, les résultats du sondage de BAM montrent que pour les conditions de production, elles sont caractérisées par un approvisionnement en matières premières jugé normal selon 79% des industriels et difficile pour 21% d’entre eux. Il en ressort aussi que les principaux freins limitant le développement de la production sont, selon les dirigeants d’entreprises sondés, les coûts élevés des intrants, l’accentuation de la concurrence, notamment celle du secteur informel et l’insuffisance de la demande.
En ce qui concerne les effectifs employés, ils sont en stagnation selon 61% des patrons et en recul selon 27%. Pour les trois prochains mois, 53% des industriels s’attendent à une stagnation des effectifs, 28% à un repli et 19% une hausse. Les coûts unitaires de production sont, quant à eux, en hausse selon 42% des industriels et en stagnation selon 46%.
L’enquête de conjoncture de BAM montre, en outre, que la situation de trésorerie est qualifiée de normale par 74% des dirigeants d’entreprises et de difficile par 21% d’entre eux ; que l’accès au financement bancaire est jugé normal par 80% des patrons et difficile par 19% ; et que le coût du crédit est en hausse selon 27% des industriels et en stagnation selon 68% d’entre eux.
Pour ce qui est des dépenses d’investissement, elles stagnent selon 59% des entreprises et augmentent selon 27% d’entre elles. Ces investissements auraient été financés à hauteur de 83% sur fonds propres et 17% par crédit.
En ce qui concerne les effectifs employés, ils sont en stagnation selon 61% des patrons et en recul selon 27%. Pour les trois prochains mois, 53% des industriels s’attendent à une stagnation des effectifs, 28% à un repli et 19% une hausse. Les coûts unitaires de production sont, quant à eux, en hausse selon 42% des industriels et en stagnation selon 46%.
L’enquête de conjoncture de BAM montre, en outre, que la situation de trésorerie est qualifiée de normale par 74% des dirigeants d’entreprises et de difficile par 21% d’entre eux ; que l’accès au financement bancaire est jugé normal par 80% des patrons et difficile par 19% ; et que le coût du crédit est en hausse selon 27% des industriels et en stagnation selon 68% d’entre eux.
Pour ce qui est des dépenses d’investissement, elles stagnent selon 59% des entreprises et augmentent selon 27% d’entre elles. Ces investissements auraient été financés à hauteur de 83% sur fonds propres et 17% par crédit.