Cette réunion de suivi, organisée avec les principales parties prenantes du secteur, visait à faire un bilan d’étape sur la mise en œuvre des engagements comportementaux et structurels rendus obligatoires par le Conseil dans sa décision relative aux pratiques anticoncurrentielles sur le marché du paiement par carte. Il s’agissait également d’évaluer le degré de préparation des établissements de paiement autorisés à entamer leur activité d’acquisition.
Dans le cadre de ses missions de contrôle, le Conseil a été saisi du premier rapport semestriel couvrant la période du 1er novembre 2024 au 30 avril 2025, relatif à l’application des engagements souscrits. Après examen du contenu de ce document, l’autorité confirme que les engagements ont été globalement respectés par l’ensemble des acteurs concernés.
Dans un communiqué publié ce lundi, le Conseil de la Concurrence a salué « la forte implication » du CMI et de ses banques actionnaires, qui a permis d’enregistrer « dans un temps réduit, des avancées significatives dans la préparation de la transformation du CMI en plateforme technique proposant des services de processing et d’acquisition au profit de l’ensemble des acteurs du marché des paiements électroniques au Maroc ».
Le Conseil prend également acte des efforts déployés pour assurer une transition fluide d’un modèle mono-acquéreur, historiquement dominé par le CMI, vers une architecture multi-acquéreurs, plus ouverte et concurrentielle. Il souligne la capacité des acteurs à maintenir à la fois la continuité de service et le niveau de sécurité requis durant cette période transitoire.
Cette évolution s’inscrit dans la volonté des autorités de favoriser un écosystème de paiement électronique plus dynamique, ouvert et compétitif, en phase avec les standards internationaux, tout en renforçant la protection des consommateurs et l’inclusion financière.
Dans le cadre de ses missions de contrôle, le Conseil a été saisi du premier rapport semestriel couvrant la période du 1er novembre 2024 au 30 avril 2025, relatif à l’application des engagements souscrits. Après examen du contenu de ce document, l’autorité confirme que les engagements ont été globalement respectés par l’ensemble des acteurs concernés.
Dans un communiqué publié ce lundi, le Conseil de la Concurrence a salué « la forte implication » du CMI et de ses banques actionnaires, qui a permis d’enregistrer « dans un temps réduit, des avancées significatives dans la préparation de la transformation du CMI en plateforme technique proposant des services de processing et d’acquisition au profit de l’ensemble des acteurs du marché des paiements électroniques au Maroc ».
Le Conseil prend également acte des efforts déployés pour assurer une transition fluide d’un modèle mono-acquéreur, historiquement dominé par le CMI, vers une architecture multi-acquéreurs, plus ouverte et concurrentielle. Il souligne la capacité des acteurs à maintenir à la fois la continuité de service et le niveau de sécurité requis durant cette période transitoire.
Cette évolution s’inscrit dans la volonté des autorités de favoriser un écosystème de paiement électronique plus dynamique, ouvert et compétitif, en phase avec les standards internationaux, tout en renforçant la protection des consommateurs et l’inclusion financière.