Le ministre de l'Agriculture, Mohammed Sadiki, et le représentant de la FAO au Maroc, Jean Senahoun, ont présidé le 24 avril 2024 à Meknès, une conférence sur les changements des systèmes alimentaires au Maroc. L'occasion pour les deux responsables de signer une convention significative qui engage le gouvernement marocain et la FAO a accélérer le programme de lutte contre la rareté de l'eau et le renforcement de la durabilité des systèmes alimentaires au Maroc et dans la région du Proche-Orient et de l'Afrique du Nord (NENA).
Dans le cadre de cette collaboration, les deux parties ont officiellement ratifié leur engagement à mettre en œuvre l'Initiative régionale sur la rareté de l'eau. Ce projet de 31,5 millions de dollars USD, qui se déploiera de juin 2024 à septembre 2028, vise à améliorer la gouvernance, la résilience des systèmes alimentaires et la gestion de l'eau face aux défis climatiques.
M. Sadiki a souligné l'importance de cette initiative, indiquant la région est à un tournant crucial où le renforcement des systèmes alimentaires est impératif. "Cette collaboration avec la FAO permettra d'améliorer la gestion et l'efficacité de l'eau, essentielle à la sécurité alimentaire de notre région. Cette déclaration reflète l'engagement continu du Maroc en faveur d'une agriculture durable et résiliente face aux défis environnementaux croissants", souligne le ministre.
M. Senahoun a pour sa part exprimé son optimisme quant à l'impact de cette initiative. "Ce projet n'est pas seulement un engagement financier ou technologique, mais un modèle de coopération qui aspire à transformer les pratiques agricoles en intégrant la durabilité et l'innovation au cœur de nos systèmes alimentaires", note le représentant de la FAO.
La signature de cette convention intervient à un moment où la région NENA fait face à des défis sans précédent en termes de sécurité hydrique et alimentaire. En adoptant des approches innovantes et en renforçant la coopération internationale, le Maroc et la FAO œuvrent conjointement pour un avenir où la sécurité alimentaire est garantie par des systèmes plus robustes et plus équitables.
"Cette convention est également le fruit des efforts continus du Maroc pour intégrer les préoccupations environnementales et climatiques dans sa stratégie agricole, alignant ses actions avec les Objectifs de Développement Durable des Nations Unies. Elle symbolise un pas en avant vers la réalisation de systèmes alimentaires qui, non seulement nourrissent mais soutiennent aussi les écosystèmes naturels et les communautés qui en dépendent", indiquent les responsables.
Organisée par le ministère de l’agriculture en partenariat avec l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’agriculture (FAO), la conférence porte sur les enjeux et défis de la transformation des systèmes alimentaires au Maroc, notamment la présentation des résultats du cycle de dialogue national et la feuille de route nationale pour la transformation des systèmes alimentaires au Maroc, la gouvernance des systèmes alimentaires et financement, tenant compte des expériences internationales et leçons apprises, pour s’orienter vers un modèle de gestion résilient et collectif des ressources en eau.
Dans le cadre de cette collaboration, les deux parties ont officiellement ratifié leur engagement à mettre en œuvre l'Initiative régionale sur la rareté de l'eau. Ce projet de 31,5 millions de dollars USD, qui se déploiera de juin 2024 à septembre 2028, vise à améliorer la gouvernance, la résilience des systèmes alimentaires et la gestion de l'eau face aux défis climatiques.
M. Sadiki a souligné l'importance de cette initiative, indiquant la région est à un tournant crucial où le renforcement des systèmes alimentaires est impératif. "Cette collaboration avec la FAO permettra d'améliorer la gestion et l'efficacité de l'eau, essentielle à la sécurité alimentaire de notre région. Cette déclaration reflète l'engagement continu du Maroc en faveur d'une agriculture durable et résiliente face aux défis environnementaux croissants", souligne le ministre.
M. Senahoun a pour sa part exprimé son optimisme quant à l'impact de cette initiative. "Ce projet n'est pas seulement un engagement financier ou technologique, mais un modèle de coopération qui aspire à transformer les pratiques agricoles en intégrant la durabilité et l'innovation au cœur de nos systèmes alimentaires", note le représentant de la FAO.
La signature de cette convention intervient à un moment où la région NENA fait face à des défis sans précédent en termes de sécurité hydrique et alimentaire. En adoptant des approches innovantes et en renforçant la coopération internationale, le Maroc et la FAO œuvrent conjointement pour un avenir où la sécurité alimentaire est garantie par des systèmes plus robustes et plus équitables.
"Cette convention est également le fruit des efforts continus du Maroc pour intégrer les préoccupations environnementales et climatiques dans sa stratégie agricole, alignant ses actions avec les Objectifs de Développement Durable des Nations Unies. Elle symbolise un pas en avant vers la réalisation de systèmes alimentaires qui, non seulement nourrissent mais soutiennent aussi les écosystèmes naturels et les communautés qui en dépendent", indiquent les responsables.
Organisée par le ministère de l’agriculture en partenariat avec l’Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’agriculture (FAO), la conférence porte sur les enjeux et défis de la transformation des systèmes alimentaires au Maroc, notamment la présentation des résultats du cycle de dialogue national et la feuille de route nationale pour la transformation des systèmes alimentaires au Maroc, la gouvernance des systèmes alimentaires et financement, tenant compte des expériences internationales et leçons apprises, pour s’orienter vers un modèle de gestion résilient et collectif des ressources en eau.