L’aggravation du chômage est due à une augmentation de la population active (en emploi ou à la recherche d’emploi) plus importante que les emplois créés (271.000 contre 213.000).
Compte tenu de la sécheresse structurelle, c’est le milieu urbain qui a créé des emplois : +231.000 contre une perte de 17.000 en milieu rural. L’emploi rémunéré a augmenté de 262.000 contre une perte de 49.000 postes d’emploi non rémunéré, signe d’une amélioration des conditions de travail.
Les services ont créé la grande majorité des emplois (258.000 postes) alors que les nouveaux postes dans les BTP et l’industrie restent faibles (respectivement 57.000 et 23.000 postes). L’agriculture a évidemment perdu 124.000 postes.
Malgré cela, l’essentiel des 58.000 chômeurs supplémentaires est enregistré au niveau des villes (42.000). Le nombre total des chômeurs atteint 1.68 million de personnes.
Le taux de chômage stagne à 17% en milieu urbain, les créations d’emplois ayant permis d’éponger une bonne partie des nouveaux chercheurs de travail. Il a augmenté de 7% à 7,4% en milieu rural. Les taux les plus élevés sont toujours enregistrés parmi les catégories des jeunes de 15-24 ans (39,5%), les femmes (20,8%) et les diplômés (19,8%).
Notons que la hausse du taux de chômage s’est accompagnée d’une aggravation du taux de sous-emploi, passant de 9,6% à 10%, avec 60.000 personnes dans cette situation faisant passer le total à 1,06 million.
Par ailleurs, 6 régions abritent plus des ¾ des chômeurs au niveau national : Casablanca-Settat (24,9%), Fès-Meknès (13,3%), Rabat-Salé-Kénitra (11,9%), l’Oriental (10,2%), Marrakech-Safi (9,4%) et Tanger-Tétouan-Al Hoceima (8,4%).
Compte tenu de la sécheresse structurelle, c’est le milieu urbain qui a créé des emplois : +231.000 contre une perte de 17.000 en milieu rural. L’emploi rémunéré a augmenté de 262.000 contre une perte de 49.000 postes d’emploi non rémunéré, signe d’une amélioration des conditions de travail.
Les services ont créé la grande majorité des emplois (258.000 postes) alors que les nouveaux postes dans les BTP et l’industrie restent faibles (respectivement 57.000 et 23.000 postes). L’agriculture a évidemment perdu 124.000 postes.
Malgré cela, l’essentiel des 58.000 chômeurs supplémentaires est enregistré au niveau des villes (42.000). Le nombre total des chômeurs atteint 1.68 million de personnes.
Le taux de chômage stagne à 17% en milieu urbain, les créations d’emplois ayant permis d’éponger une bonne partie des nouveaux chercheurs de travail. Il a augmenté de 7% à 7,4% en milieu rural. Les taux les plus élevés sont toujours enregistrés parmi les catégories des jeunes de 15-24 ans (39,5%), les femmes (20,8%) et les diplômés (19,8%).
Notons que la hausse du taux de chômage s’est accompagnée d’une aggravation du taux de sous-emploi, passant de 9,6% à 10%, avec 60.000 personnes dans cette situation faisant passer le total à 1,06 million.
Par ailleurs, 6 régions abritent plus des ¾ des chômeurs au niveau national : Casablanca-Settat (24,9%), Fès-Meknès (13,3%), Rabat-Salé-Kénitra (11,9%), l’Oriental (10,2%), Marrakech-Safi (9,4%) et Tanger-Tétouan-Al Hoceima (8,4%).