Le département de l’Agriculture poursuit l’exécution de son programme de reconversion en système de semis direct dans la filière céréalière. Il planche sur l’accompagnement de plusieurs périmètres agricoles dans l’Oriental dans l’adoption de cette technique durable. Le projet vise à apporter un appui aux céréaliculteurs dans leur reconversion vers le système de semis direct dans les cercles de Taddart, El Aioun, Oujda Banlieue Sud, Aklim et Driouch, dans le cadre du programme de revitalisation des territoires ruraux par l’emploi et des initiatives économiques locales dans le secteur agricole (Ihyae).
L’objectif est de renforcer les capacités techniques des agriculteurs et des organisations professionnelles bénéficiaires de semoirs dédiés, en organisant des ateliers de formation. Ces derniers porteront sur des thématiques pratiques comme les principes du semis direct, le réglage des semoirs et les aspects économiques et environnementaux de cette pratique.
Le projet cible 200 agriculteurs. À travers cette opération, le ministère entend favoriser une adoption durable du semis direct par les céréaliculteurs et partant enclencher une réduction des coûts et de l’empreinte carbone. Il s’agit également de renforcer les capacités techniques des agriculteurs et contribuer à l’inclusion des acteurs locaux.
Pour rappel, le Programme «Ihyae» est financé par un don de l’Union européenne et un prêt de l’Agence française de développement (AFD). Il s’aligne sur la stratégie Génération Green 2020-2030, avec pour objectifs de renforcer l’inclusion économique des populations rurales – notamment les jeunes et les femmes – et booster l’efficience et la durabilité des chaînes de valeur agricoles.
Notons que le programme national de semis direct lancé au démarrage de la Campagne agricole 2024-2025 porte sur une superficie de 260.000 ha, dans l’objectif d’atteindre 1 million d’hectares à l’horizon 2030. Il prévoit la distribution de 200 semoirs de semis direct au profit des coopératives agricoles et le renforcement de la sensibilisation et l’accompagnement des agriculteurs pour adopter cette technique.
L’objectif est de renforcer les capacités techniques des agriculteurs et des organisations professionnelles bénéficiaires de semoirs dédiés, en organisant des ateliers de formation. Ces derniers porteront sur des thématiques pratiques comme les principes du semis direct, le réglage des semoirs et les aspects économiques et environnementaux de cette pratique.
Le projet cible 200 agriculteurs. À travers cette opération, le ministère entend favoriser une adoption durable du semis direct par les céréaliculteurs et partant enclencher une réduction des coûts et de l’empreinte carbone. Il s’agit également de renforcer les capacités techniques des agriculteurs et contribuer à l’inclusion des acteurs locaux.
Pour rappel, le Programme «Ihyae» est financé par un don de l’Union européenne et un prêt de l’Agence française de développement (AFD). Il s’aligne sur la stratégie Génération Green 2020-2030, avec pour objectifs de renforcer l’inclusion économique des populations rurales – notamment les jeunes et les femmes – et booster l’efficience et la durabilité des chaînes de valeur agricoles.
Notons que le programme national de semis direct lancé au démarrage de la Campagne agricole 2024-2025 porte sur une superficie de 260.000 ha, dans l’objectif d’atteindre 1 million d’hectares à l’horizon 2030. Il prévoit la distribution de 200 semoirs de semis direct au profit des coopératives agricoles et le renforcement de la sensibilisation et l’accompagnement des agriculteurs pour adopter cette technique.