Depuis plus de 65 ans, la Banque mondiale collabore étroitement avec le Maroc pour soutenir son développement. Cette coopération pérenne a permis la mise en œuvre de nombreux projets transformateurs, favorisant une croissance économique soutenue, la réduction de la pauvreté et l'amélioration de la qualité de vie des Marocains.
L’institution de Bretton Woods compte encore renforcer son partenariat avec le Maroc, notamment soutenir l’objectif du pays de porter l’investissement privé à 65% d’ici 2035. C’est ce que vient d’indiquer la Banque mondiale à l’occasion des Assemblées annuelles du Groupe et du Fonds monétaire international (FMI), soit un an après l’organisation de cet événement à Marrakech.
Dans ce cadre, la Société financière internationale (IFC), le bras armé de la Banque mondiale pour le secteur privé, prévoit d’engager plus d’un milliard de dollars pour l’exercice 2025 (de juillet 2024 à juin 2025), dont 400 millions déjà investis au premier trimestre de cette année fiscale. Dans un esprit d’unité d’action conforme à l’approche de la Banque mondiale, l'IFC joue également un rôle essentiel en soutenant les objectifs du Maroc, notamment celui d’accroître la part des investissements privés d’un tiers à deux tiers d’ici 2035.
Pour rappel, l’investissement privé (hors épargne des ménages) s’élève en moyenne à 90 milliards de dirhams par an (1/3 de l’investissement total). Pour la Banque mondiale, renforcer la compétitivité en soutenant le secteur privé nécessite des efforts pour stimuler l'innovation et favoriser le développement de nouvelles industries. Ces initiatives comprennent des ressources financières, une assistance technique et des conseils stratégiques destinés à aider les entreprises à s’adapter aux nouvelles conditions du marché, et à saisir les opportunités émergentes.
Depuis 1962, l'IFC a collaboré avec plus de 100 entités au Maroc, mobilisant et investissant plus de 3,5 milliards de dollars dans des projets soutenant les petites entreprises, l’industrie manufacturière, l’agro-industrie, les infrastructures et le secteur financier. «Le Maroc est un centre d’innovation pour l'IFC, avec des réalisations marquantes comme la création du premier fonds d’investissement boursier en 1994, et la première obligation émise par une institution internationale en Afrique en 2005. Au cours du dernier exercice, l'IFC aura investi 600 millions de dollars, portant à 1,3 milliard de dollars ses investissements au Maroc au cours des trois dernières années.»
Rappelons également qu’en juin 2023, l’IFC avait signé avec le Fonds Mohammed VI pour l'investissement un partenariat stratégique en vue d'identifier et de financer des projets d'infrastructures durables au Maroc. Ce partenariat accompagne le gouvernement pour mobiliser l'investissement privé dans le secteur des infrastructures.
Pour la Banque mondiale, les assemblées annuelles organisées au Maroc l’année dernière ont également permis de mettre en avant les progrès du Royaume en matière de développement, et d'attirer l'attention internationale sur les initiatives du pays pour devenir un pôle régional de connectivité et de croissance partagée. Parallèlement, le Maroc a accompli des avancées significatives en ce qui concerne ses objectifs de développement, notamment en réduisant l'extrême pauvreté à moins de 2%. En 2021, sous l’Impulsion du Souverain, le nouveau modèle de développement (NMD) a été lancé, mettant l'accent sur l'amélioration des infrastructures, la création d'emplois, ainsi que la transition écologique et le développement du capital humain. «Le nouveau modèle de développement du Royaume, avec ses réformes ambitieuses dans les domaines de la protection sociale, de la santé, de l’éducation et de l’autonomisation économique des femmes, a posé les bases d'une société inclusive.
L’institution de Bretton Woods compte encore renforcer son partenariat avec le Maroc, notamment soutenir l’objectif du pays de porter l’investissement privé à 65% d’ici 2035. C’est ce que vient d’indiquer la Banque mondiale à l’occasion des Assemblées annuelles du Groupe et du Fonds monétaire international (FMI), soit un an après l’organisation de cet événement à Marrakech.
Dans ce cadre, la Société financière internationale (IFC), le bras armé de la Banque mondiale pour le secteur privé, prévoit d’engager plus d’un milliard de dollars pour l’exercice 2025 (de juillet 2024 à juin 2025), dont 400 millions déjà investis au premier trimestre de cette année fiscale. Dans un esprit d’unité d’action conforme à l’approche de la Banque mondiale, l'IFC joue également un rôle essentiel en soutenant les objectifs du Maroc, notamment celui d’accroître la part des investissements privés d’un tiers à deux tiers d’ici 2035.
Pour rappel, l’investissement privé (hors épargne des ménages) s’élève en moyenne à 90 milliards de dirhams par an (1/3 de l’investissement total). Pour la Banque mondiale, renforcer la compétitivité en soutenant le secteur privé nécessite des efforts pour stimuler l'innovation et favoriser le développement de nouvelles industries. Ces initiatives comprennent des ressources financières, une assistance technique et des conseils stratégiques destinés à aider les entreprises à s’adapter aux nouvelles conditions du marché, et à saisir les opportunités émergentes.
Depuis 1962, l'IFC a collaboré avec plus de 100 entités au Maroc, mobilisant et investissant plus de 3,5 milliards de dollars dans des projets soutenant les petites entreprises, l’industrie manufacturière, l’agro-industrie, les infrastructures et le secteur financier. «Le Maroc est un centre d’innovation pour l'IFC, avec des réalisations marquantes comme la création du premier fonds d’investissement boursier en 1994, et la première obligation émise par une institution internationale en Afrique en 2005. Au cours du dernier exercice, l'IFC aura investi 600 millions de dollars, portant à 1,3 milliard de dollars ses investissements au Maroc au cours des trois dernières années.»
Rappelons également qu’en juin 2023, l’IFC avait signé avec le Fonds Mohammed VI pour l'investissement un partenariat stratégique en vue d'identifier et de financer des projets d'infrastructures durables au Maroc. Ce partenariat accompagne le gouvernement pour mobiliser l'investissement privé dans le secteur des infrastructures.
Pour la Banque mondiale, les assemblées annuelles organisées au Maroc l’année dernière ont également permis de mettre en avant les progrès du Royaume en matière de développement, et d'attirer l'attention internationale sur les initiatives du pays pour devenir un pôle régional de connectivité et de croissance partagée. Parallèlement, le Maroc a accompli des avancées significatives en ce qui concerne ses objectifs de développement, notamment en réduisant l'extrême pauvreté à moins de 2%. En 2021, sous l’Impulsion du Souverain, le nouveau modèle de développement (NMD) a été lancé, mettant l'accent sur l'amélioration des infrastructures, la création d'emplois, ainsi que la transition écologique et le développement du capital humain. «Le nouveau modèle de développement du Royaume, avec ses réformes ambitieuses dans les domaines de la protection sociale, de la santé, de l’éducation et de l’autonomisation économique des femmes, a posé les bases d'une société inclusive.
Fort de plus de 65 ans de partenariat, le vaste programme de la Banque mondiale au Maroc – axé sur la création d’emplois via l’innovation dans le secteur privé, le renforcement du capital humain et la promotion d’un développement inclusif et résilient – soutient les efforts de nos partenaires pour accélérer une croissance durable. Nous nous réjouissons à la perspective de poursuivre notre collaboration étroite et constructive dans les années à venir», soutient Ahmadou Moustapha Ndiaye, directeur Pays de la Banque mondiale pour le Maghreb et Malte.
Actuellement, la Banque mondiale finance 27 projets au Maroc, avec un investissement total de plus de 8 milliards de dollars. «Le partenariat solide entre le Maroc et le Groupe de la Banque mondiale repose sur la confiance, un dialogue ouvert et des engagements communs, et continuera de guider nos efforts pour améliorer les conditions de vie de la population marocaine.», souligne l’institution.