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Les prix de l’oignon ont enregistré une flambée rapide à Casablanca et dans sa périphérie, atteignant 12 DH/kg. Une hausse qui suscite incompréhension et colère chez les consommateurs.
Selon plusieurs commerçants, cette augmentation s’explique par les fluctuations de l’offre et la baisse des volumes disponibles. D’autres pointent du doigt certains professionnels affiliés à une association du marché de gros de Casablanca, qu’ils accusent de stocker délibérément de grandes quantités afin d’influencer les prix.
Interrogé à ce sujet, Jaâfar Sabban, directeur du marché de gros des fruits et légumes à Casablanca, a écarté tout soupçon de pratiques monopolistiques. Il attribue cette hausse à la raréfaction de l’oignon sec, soulignant que les prix actuels s’inscrivent dans une dynamique naturelle, liée à la fin de la saison de récolte de cette variété.
M. Sabban a rappelé que les prix sont régis par la loi de l’offre et de la demande, et qu’une hausse des tarifs est prévisible à cette période de l’année, en raison du recul de la production de l’oignon sec, désormais moins abondant.
Il a précisé que le prix de gros de l’oignon sec est passé de 7 à 10 DH, tandis que celui de l’oignon frais a évolué de 1,5 à 5 dirhams. Les oignons verts restent cependant disponible en grande quantité, à des prix variant entre 2 et 3 DH/kg au marché de gros. Ce type d’oignon provient principalement des régions de Doukkala et de Marrakech.
Le responsable a par ailleurs souligné que l’oignon sec est habituellement stocké après récolte pour prévenir sa détérioration, avant d’être commercialisé progressivement tout au long de l’année. Une opération qui, selon lui, relève du fonctionnement normal de la chaîne d’approvisionnement et ne s’apparente nullement à des pratiques spéculatives.
Enfin, M. Sabban a tenu à rassurer les consommateurs quant à l’approvisionnement du marché. Ce dernier a en effet reçu, au cours des deux derniers jours, environ 1.000 tonnes d’oignons toutes variétés confondues, soit 200 tonnes de plus qu’à la même période l’an passé. Il a précisé que l’activité commerciale a retrouvé son rythme habituel après la trêve observée durant les congés de l’Aïd.
Selon plusieurs commerçants, cette augmentation s’explique par les fluctuations de l’offre et la baisse des volumes disponibles. D’autres pointent du doigt certains professionnels affiliés à une association du marché de gros de Casablanca, qu’ils accusent de stocker délibérément de grandes quantités afin d’influencer les prix.
Interrogé à ce sujet, Jaâfar Sabban, directeur du marché de gros des fruits et légumes à Casablanca, a écarté tout soupçon de pratiques monopolistiques. Il attribue cette hausse à la raréfaction de l’oignon sec, soulignant que les prix actuels s’inscrivent dans une dynamique naturelle, liée à la fin de la saison de récolte de cette variété.
M. Sabban a rappelé que les prix sont régis par la loi de l’offre et de la demande, et qu’une hausse des tarifs est prévisible à cette période de l’année, en raison du recul de la production de l’oignon sec, désormais moins abondant.
Il a précisé que le prix de gros de l’oignon sec est passé de 7 à 10 DH, tandis que celui de l’oignon frais a évolué de 1,5 à 5 dirhams. Les oignons verts restent cependant disponible en grande quantité, à des prix variant entre 2 et 3 DH/kg au marché de gros. Ce type d’oignon provient principalement des régions de Doukkala et de Marrakech.
Le responsable a par ailleurs souligné que l’oignon sec est habituellement stocké après récolte pour prévenir sa détérioration, avant d’être commercialisé progressivement tout au long de l’année. Une opération qui, selon lui, relève du fonctionnement normal de la chaîne d’approvisionnement et ne s’apparente nullement à des pratiques spéculatives.
Enfin, M. Sabban a tenu à rassurer les consommateurs quant à l’approvisionnement du marché. Ce dernier a en effet reçu, au cours des deux derniers jours, environ 1.000 tonnes d’oignons toutes variétés confondues, soit 200 tonnes de plus qu’à la même période l’an passé. Il a précisé que l’activité commerciale a retrouvé son rythme habituel après la trêve observée durant les congés de l’Aïd.
