Les banques concernées – Al Barid Bank, CIH Bank, CDG Capital et Crédit Agricole du Maroc – ont en effet sollicité l’aval des autorités pour participer à l’augmentation de capital de la Chambre de Compensation. Plus précisément, Al Barid Bank, CIH Bank et Crédit Agricole du Maroc injecteront chacune 2,77 millions de dirhams, correspondant à une participation de 2,77%. De son côté, CDG Capital contribuera à hauteur de 7,4 millions de dirhams, représentant une part de 7,4%.
Cette opération s’inscrit dans la mise en œuvre de la loi portant sur la création du marché à terme au Maroc. L’un des piliers de cette réforme repose sur l’établissement de la Chambre de Compensation du Maroc, dont la structure capitalistique a été définie à travers un protocole d’accord signé le 12 novembre 2024 entre l’État marocain, l’Autorité marocaine du marché des capitaux (AMMC), Bank Al-Maghrib, le Groupement professionnel des banques du Maroc (GPBM), la Fédération marocaine des assurances et la Société de la Bourse de Casablanca. Aux termes de cet accord, il a été convenu que les établissements bancaires détiendraient 49% du capital de la Chambre de Compensation.
Par ailleurs, un protocole spécifique a été conclu entre le GPBM et la Bourse de Casablanca pour préciser les modalités et les pourcentages de participation des banques impliquées dans ce processus. L’objectif est d’assurer une gouvernance efficace et une répartition équilibrée des rôles dans la gestion de cette infrastructure essentielle au bon fonctionnement du marché à terme.
L’entrée de ces institutions financières au capital de la Chambre de Compensation s’inscrit dans une logique stratégique. Elle leur permet non seulement de consolider leur position sur le marché des instruments dérivés, mais aussi de contribuer à la mise en place d’une infrastructure financière robuste et conforme aux normes internationales.
L’autorisation de cette augmentation de capital a été accordée après consultation de l'Agence Nationale de Gestion Stratégique des Participations de l'État et de suivi des performances des établissements et entreprises publics (ANGPSE) et sur proposition du ministre de l’Économie et des Finances.
Cette opération s’inscrit dans la mise en œuvre de la loi portant sur la création du marché à terme au Maroc. L’un des piliers de cette réforme repose sur l’établissement de la Chambre de Compensation du Maroc, dont la structure capitalistique a été définie à travers un protocole d’accord signé le 12 novembre 2024 entre l’État marocain, l’Autorité marocaine du marché des capitaux (AMMC), Bank Al-Maghrib, le Groupement professionnel des banques du Maroc (GPBM), la Fédération marocaine des assurances et la Société de la Bourse de Casablanca. Aux termes de cet accord, il a été convenu que les établissements bancaires détiendraient 49% du capital de la Chambre de Compensation.
Par ailleurs, un protocole spécifique a été conclu entre le GPBM et la Bourse de Casablanca pour préciser les modalités et les pourcentages de participation des banques impliquées dans ce processus. L’objectif est d’assurer une gouvernance efficace et une répartition équilibrée des rôles dans la gestion de cette infrastructure essentielle au bon fonctionnement du marché à terme.
L’entrée de ces institutions financières au capital de la Chambre de Compensation s’inscrit dans une logique stratégique. Elle leur permet non seulement de consolider leur position sur le marché des instruments dérivés, mais aussi de contribuer à la mise en place d’une infrastructure financière robuste et conforme aux normes internationales.
L’autorisation de cette augmentation de capital a été accordée après consultation de l'Agence Nationale de Gestion Stratégique des Participations de l'État et de suivi des performances des établissements et entreprises publics (ANGPSE) et sur proposition du ministre de l’Économie et des Finances.