La note du Maroc (Ba1) est maintenue par l’agence de notation américaine Moody’s, avec des perspectives stables. Ainsi, prévoit l’agence, les pressions sur les dépenses engendrées par les réformes de la sécurité sociale et les projets d'infrastructure n’empêchera pas le gouvernement de maintenir un niveau de dette stable.
>> Lire aussi : Standard and Poor's revoit la note du Maroc à la hausse
Pour leur part, les plafonds nationaux du Maroc restent inchangés, avec un plafond en monnaie locale à Baa1et un plafond en devises étrangères à Baa2. Des niveaux indiquant des risques de transfert et de convertibilité modestes, en adéquation avec le régime de change fixe du pays.
La gestion exemplaire des chocs externes par le Royaume témoigne, elle, de la solidité de sa gouvernance et de son cadre institutionnel.
De leur côté, les politiques budgétaires cherchent à concilier rigueur fiscale et attentes sociales à coups de réformes (santé, éducation, gouvernance publique...).
Ainsi, Moody's prévoit la stabilisation de la dette publique autour de 65% du PIB, avec une augmentation des dépenses en santé et en sécurité sociale estimée à 2,3% du PIB pour 2024.
Les partenariats public-privé envisagés par le gouvernement devraient, pour leur part, limiter les impacts sur le budget.
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Pour leur part, les plafonds nationaux du Maroc restent inchangés, avec un plafond en monnaie locale à Baa1et un plafond en devises étrangères à Baa2. Des niveaux indiquant des risques de transfert et de convertibilité modestes, en adéquation avec le régime de change fixe du pays.
La gestion exemplaire des chocs externes par le Royaume témoigne, elle, de la solidité de sa gouvernance et de son cadre institutionnel.
De leur côté, les politiques budgétaires cherchent à concilier rigueur fiscale et attentes sociales à coups de réformes (santé, éducation, gouvernance publique...).
Ainsi, Moody's prévoit la stabilisation de la dette publique autour de 65% du PIB, avec une augmentation des dépenses en santé et en sécurité sociale estimée à 2,3% du PIB pour 2024.
Les partenariats public-privé envisagés par le gouvernement devraient, pour leur part, limiter les impacts sur le budget.