Connexion
À New York, le Maroc a profité d’une tribune internationale pour exposer les ressorts de son modèle de partenariat public-privé (PPP). Devant un parterre mêlant chefs d’État — notamment ceux du Togo et de la Sierra Leone — et dirigeants de grands groupes, dont Patrice Motsepe et Dara Khosrowshahi (Uber), le “P3 Summit for Change” a consacré une session aux voies de renforcement et de catalyse des PPP, perçus comme des accélérateurs de transformation.
Intervenant au nom du Royaume, l’ambassadeur du Maroc aux États-Unis, Youssef Amrani, a posé le cadre : un modèle « fondé sur la crédibilité, une action résolue et une volonté affirmée de promouvoir une croissance inclusive ». Le diplomate a insisté sur la nature « à double sens » du partenariat, où l’État fixe une vision et un cadre clair, tandis que le secteur privé n’est pas un simple exécutant, mais « un véritable moteur de la stratégie nationale de développement ».
Au cœur de l’argumentaire marocain, un écosystème conçu pour réduire les frictions et sécuriser l’investissement : instruments fiscaux attractifs, intégration dans des clusters compétitifs et garanties solides de protection des capitaux. Autant de dispositifs destinés à canaliser l’initiative privée vers des priorités publiques — industrialisation, innovation, infrastructures — en partageant risques et rendement dans un cadre de gouvernance clarifié.
Cette refonte structurelle, engagée sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, vise à créer un alignement durable entre entreprises et puissance publique. Elle entend aussi répondre aux attentes d’un capital international en quête de stabilité, de prévisibilité réglementaire et de marchés porteurs.
Le message marocain tient en un triptyque : vision politique, engagement institutionnel, dynamisme entrepreneurial. Le pays assume une approche pragmatique, orientée résultats, pour faire des PPP non pas un montage financier ponctuel, mais un mode d’action publique à part entière. À l’heure où les économies recherchent simultanément visibilité et confiance, cette proposition veut conjuguer stabilité macroéconomique et audace d’investissement.
En conclusion de son intervention, l’ambassadeur a résumé l’ambition : dans un monde chahuté, le Maroc entend demeurer « un acteur de stabilité » et « une terre d’opportunités », ouverte à celles et ceux qui souhaitent « bâtir ensemble une prospérité partagée ».
Intervenant au nom du Royaume, l’ambassadeur du Maroc aux États-Unis, Youssef Amrani, a posé le cadre : un modèle « fondé sur la crédibilité, une action résolue et une volonté affirmée de promouvoir une croissance inclusive ». Le diplomate a insisté sur la nature « à double sens » du partenariat, où l’État fixe une vision et un cadre clair, tandis que le secteur privé n’est pas un simple exécutant, mais « un véritable moteur de la stratégie nationale de développement ».
Au cœur de l’argumentaire marocain, un écosystème conçu pour réduire les frictions et sécuriser l’investissement : instruments fiscaux attractifs, intégration dans des clusters compétitifs et garanties solides de protection des capitaux. Autant de dispositifs destinés à canaliser l’initiative privée vers des priorités publiques — industrialisation, innovation, infrastructures — en partageant risques et rendement dans un cadre de gouvernance clarifié.
Cette refonte structurelle, engagée sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, vise à créer un alignement durable entre entreprises et puissance publique. Elle entend aussi répondre aux attentes d’un capital international en quête de stabilité, de prévisibilité réglementaire et de marchés porteurs.
Plateforme tripolaire : Afrique, Europe, Atlantique
Le Maroc se présente comme un hub d’adossement stratégique : « une plateforme idéale pour développer un ancrage africain, tirer parti de la proximité européenne et s’ouvrir largement sur l’espace atlantique », a souligné Youssef Amrani. Cette position, appuyée par des corridors logistiques et une base industrielle diversifiée, est mise au service d’alliances public-privé capables d’essaimer sur le continent et au-delà.Le message marocain tient en un triptyque : vision politique, engagement institutionnel, dynamisme entrepreneurial. Le pays assume une approche pragmatique, orientée résultats, pour faire des PPP non pas un montage financier ponctuel, mais un mode d’action publique à part entière. À l’heure où les économies recherchent simultanément visibilité et confiance, cette proposition veut conjuguer stabilité macroéconomique et audace d’investissement.
En conclusion de son intervention, l’ambassadeur a résumé l’ambition : dans un monde chahuté, le Maroc entend demeurer « un acteur de stabilité » et « une terre d’opportunités », ouverte à celles et ceux qui souhaitent « bâtir ensemble une prospérité partagée ».
