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Le Centre monétique interbancaire vise à travers cette initiative à soutenir les commerçants affiliés en leur offrant des conditions tarifaires plus avantageuses, tout en encourageant l’adoption croissante des paiements électroniques. Cette décision intervient à la suite de la directive de Bank Al-Maghrib publiée le 25 septembre 2024, qui plafonne désormais le taux d’interchange domestique à 0,65 %, précise le CMI dans un communiqué.
Concrètement, dès le 1er octobre, le CMI a appliqué une baisse significative à l’ensemble des commerçants concernés par cette révision tarifaire, en particulier ceux utilisant ses services d’acceptation tels que les terminaux de paiement électronique, les solutions de paiement en ligne et Tap to Mobile. Cette réduction permettra aux commerçants de bénéficier immédiatement de coûts de transaction plus compétitifs, contribuant ainsi au développement de leurs activités.
Le CMI rappelle à tous ses commerçants qu’il est strictement interdit, selon la réglementation en vigueur, de répercuter les frais de commission sur les clients. De plus, l’imposition d’un montant minimum (50 ou 100 DH) pour accepter un paiement par carte est formellement interdite.
«Nous nous réjouissons de cette évolution. Grâce à ces ajustements, nous allons pouvoir renforcer nos investissements dans les infrastructures de paiement et continuer à proposer des solutions toujours plus compétitives et innovantes à nos commerçants», a déclaré Rachid Saihi, directeur général du CMI, cité dans le communiqué.
Concrètement, dès le 1er octobre, le CMI a appliqué une baisse significative à l’ensemble des commerçants concernés par cette révision tarifaire, en particulier ceux utilisant ses services d’acceptation tels que les terminaux de paiement électronique, les solutions de paiement en ligne et Tap to Mobile. Cette réduction permettra aux commerçants de bénéficier immédiatement de coûts de transaction plus compétitifs, contribuant ainsi au développement de leurs activités.
Le CMI rappelle à tous ses commerçants qu’il est strictement interdit, selon la réglementation en vigueur, de répercuter les frais de commission sur les clients. De plus, l’imposition d’un montant minimum (50 ou 100 DH) pour accepter un paiement par carte est formellement interdite.
Une collaboration constructive avec Bank Al-Maghrib
Le CMI salue l’initiative de Bank Al-Maghrib qui, par cette décision a redéfini les modalités des taux d’interchange applicables aux transactions domestiques. Le Centre s’inscrit pleinement dans cette volonté commune de promouvoir l’inclusion financière et de renforcer l’écosystème du paiement électronique au Maroc.«Nous nous réjouissons de cette évolution. Grâce à ces ajustements, nous allons pouvoir renforcer nos investissements dans les infrastructures de paiement et continuer à proposer des solutions toujours plus compétitives et innovantes à nos commerçants», a déclaré Rachid Saihi, directeur général du CMI, cité dans le communiqué.
