La Banque européenne d’investissement (BEI) vient de signer avec le Maroc un accord portant sur une enveloppe de 500 millions d’euros (environ 5,4 milliards de dirhams). Il s’agit de la seconde tranche d’un prêt total de 1 milliard d’euros destiné à contribuer à la reconstruction des infrastructures publiques dans les régions touchées par le séisme du 8 septembre 2023.
Ce financement, garanti par l’Union européenne (UE), contribuera à rétablir les infrastructures essentielles dans les secteurs de l’éducation, de la santé et des transports, tout en intégrant des normes sismiques renforcées et des solutions énergétiques durables.
La première tranche de 500 millions d’euros avait été signée en octobre 2024 avec le ministère de l’Économie et des finances, en présence des départements concernés : l’Éducation nationale, l’Équipement et la Santé.
Concrètement, cette seconde tranche fournit 230 millions d’euros pour les infrastructures routières, 200 millions pour le secteur de l’Éducation et 70 millions pour celui de la Santé, soit la même répartition que la première tranche.
L’appui de la BEI comprend également une subvention d’assistance technique dédiée à la mise en œuvre du projet, afin de renforcer la structure du Programme et garantir une reconstruction durable.
Dans le cadre des activités de prêt en dehors de l’UE, au cours de la période 2014-2024, les financements de la BEI au Maroc se sont élevés en moyenne à 410 millions d’euros par an. Durant cette période, la BEI a dédié environ 40% de ses financements aux petites et moyennes entreprises et à l’industrie, 19% aux énergies renouvelables, 17% au transport durable, 12% à la gestion de l’eau et à l’aménagement urbain et territorial, et 11% à la santé et à l’éducation.
Ce financement, garanti par l’Union européenne (UE), contribuera à rétablir les infrastructures essentielles dans les secteurs de l’éducation, de la santé et des transports, tout en intégrant des normes sismiques renforcées et des solutions énergétiques durables.
La première tranche de 500 millions d’euros avait été signée en octobre 2024 avec le ministère de l’Économie et des finances, en présence des départements concernés : l’Éducation nationale, l’Équipement et la Santé.
Trois axes prioritaires
Ce soutien s’inscrit dans le cadre du Programme global de reconstruction engagé par le Royaume et se concentre sur trois axes prioritaires. Le premier porte sur la réhabilitation des écoles, des hôpitaux et des réseaux routiers dans les zones les plus touchées. Le deuxième concerne l’amélioration des normes sismiques afin d’assurer une meilleure résilience aux catastrophes. Quant au troisième axe, il vise l’intégration de solutions énergétiques durables pour renforcer l’adaptation aux changements climatiques et l’efficacité énergétique, conformément aux priorités du Partenariat vert Union européenne-Maroc.Concrètement, cette seconde tranche fournit 230 millions d’euros pour les infrastructures routières, 200 millions pour le secteur de l’Éducation et 70 millions pour celui de la Santé, soit la même répartition que la première tranche.
L’appui de la BEI comprend également une subvention d’assistance technique dédiée à la mise en œuvre du projet, afin de renforcer la structure du Programme et garantir une reconstruction durable.
Un partenaire de longue date
La BEI est un partenaire privilégié du Maroc depuis 1979. Avec environ 10 milliards d’euros investis, la Banque de l’UE affirme avoir accompagné les grands chantiers du Royaume dans des secteurs clés pour le développement. La dynamique s’est accélérée au cours des 11 dernières années, en faveur d’une économie plus verte et inclusive, au moyen de projets à fort impact économique et social.Dans le cadre des activités de prêt en dehors de l’UE, au cours de la période 2014-2024, les financements de la BEI au Maroc se sont élevés en moyenne à 410 millions d’euros par an. Durant cette période, la BEI a dédié environ 40% de ses financements aux petites et moyennes entreprises et à l’industrie, 19% aux énergies renouvelables, 17% au transport durable, 12% à la gestion de l’eau et à l’aménagement urbain et territorial, et 11% à la santé et à l’éducation.
