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Le projet Xlinks, fournissant de l'électricité verte marocaine au Royaume-Uni, participera à la réduction des émissions mondiales de CO2. C'est ce que défend, en tout cas, James Humfrey, PDG du projet de liaison électrique Maroc - Royaume-Uni, Xlinks. Lors Climate innovation Forum 2024, il a déclaré que "la raison pour laquelle des projets comme celui du Maroc et du Royaume-Uni sont si importants, c'est que lorsque vous regardez la source des émissions mondiales (de CO2, ndlr), le plus grand émetteur est l'électricité. Donc, pour pouvoir construire des énergies renouvelables à l'échelle que le projet Maroc-Royaume-Uni va faire, c'est résoudre une grande partie de ce problème".
Mais pour y arriver, rappelle le PDG deXlinks, "vous devez construire à grande échelle. Et vous savez que nous allons construire 11,5 GW dans une zone de la taille du Grand Londres, soit 7,5 GW d'énergie solaire et 4 GW d'énergie éolienne, avec 5 GW de capacité de stockage sur batteries. La construction à cette échelle, puis l'interconnexion et la transmission à travers les mers jusqu'au Royaume-Uni pour répondre à ses besoins en énergie électrique nous permettent de faire face aux problèmes d'intermittence".
Hamphrey rappelle, par ailleurs, que "de nombreux facteurs catalysent un projet de cette envergure et de cette nature. D'abord, réaliser qu'en combinant les excellentes conditions pour le solaire et l'éolien au Maroc avec ce grand câble d'interconnexion là où il y a de la demande au Royaume-Uni, (donne une idée sur, ndlr) la façon dont l'industrie des énergies renouvelables peut se développer".
Et d'ajouter, "Je pense que le deuxième facteur est que nous avons réuni une équipe de classe mondiale, nous avons pu embaucher des personnes qui ont nous avons déjà réalisé des parties de ce projet. Nnous avons une grande expérience et nous savons comment procéder à l'exécution, ce qui est nécessaire. Par exemple, nous avons une équipe formidable au Maroc, à Rabat, qui a travaillé sur la construction de l'industrie des énergies renouvelables au Maroc au cours des années 2010".
Humfrey reste ainsi confiant des équipes, leurs compétences et leurs capacité à finaliser ce projet colossal dans les meilleurs délais et conditions : "Ils ont construit de nombreux projets solaires par exemple et ils savent donc ce qu'il faut pour y parvenir. De même, notre équipe HVDC ou câble a déjà construit plusieurs connecteurs au Royaume-Uni. Ils comprennent ce qu'il faut faire. Notre équipe de financement et juridique et moi-même sommes tous très engagés à livrer. Mettre toute cette expérience de projet ensemble me donne confiance dans le fait que nous serons en mesure de livrer même si c'est un gros projet et même si cela n'a jamais été fait auparavant".
Mais pour y arriver, rappelle le PDG deXlinks, "vous devez construire à grande échelle. Et vous savez que nous allons construire 11,5 GW dans une zone de la taille du Grand Londres, soit 7,5 GW d'énergie solaire et 4 GW d'énergie éolienne, avec 5 GW de capacité de stockage sur batteries. La construction à cette échelle, puis l'interconnexion et la transmission à travers les mers jusqu'au Royaume-Uni pour répondre à ses besoins en énergie électrique nous permettent de faire face aux problèmes d'intermittence".
Hamphrey rappelle, par ailleurs, que "de nombreux facteurs catalysent un projet de cette envergure et de cette nature. D'abord, réaliser qu'en combinant les excellentes conditions pour le solaire et l'éolien au Maroc avec ce grand câble d'interconnexion là où il y a de la demande au Royaume-Uni, (donne une idée sur, ndlr) la façon dont l'industrie des énergies renouvelables peut se développer".
Et d'ajouter, "Je pense que le deuxième facteur est que nous avons réuni une équipe de classe mondiale, nous avons pu embaucher des personnes qui ont nous avons déjà réalisé des parties de ce projet. Nnous avons une grande expérience et nous savons comment procéder à l'exécution, ce qui est nécessaire. Par exemple, nous avons une équipe formidable au Maroc, à Rabat, qui a travaillé sur la construction de l'industrie des énergies renouvelables au Maroc au cours des années 2010".
Humfrey reste ainsi confiant des équipes, leurs compétences et leurs capacité à finaliser ce projet colossal dans les meilleurs délais et conditions : "Ils ont construit de nombreux projets solaires par exemple et ils savent donc ce qu'il faut pour y parvenir. De même, notre équipe HVDC ou câble a déjà construit plusieurs connecteurs au Royaume-Uni. Ils comprennent ce qu'il faut faire. Notre équipe de financement et juridique et moi-même sommes tous très engagés à livrer. Mettre toute cette expérience de projet ensemble me donne confiance dans le fait que nous serons en mesure de livrer même si c'est un gros projet et même si cela n'a jamais été fait auparavant".
