Le campus de l’UM6P à Benguerir a accueilli, du 20 au 23 juillet, la nouvelle édition du Bridge Africa Summit. Sous le thème « Un nouveau leadership africain », 130 jeunes issus de 25 pays du continent ont partagé constats, expériences et propositions pour transformer les politiques publiques à l’échelle africaine.
Durant trois jours de travaux intenses, ils ont pris part à 18 ateliers et sessions immersives, animés notamment par Amadou Diaw, Hamid Bouchikhi et Lex Paulson. L’objectif était de cerner les obstacles structurels à leur engagement, de croiser les expériences locales et de faire émerger, collectivement, des pistes d’action concrètes pour l’avenir.
25 projets ont émergé du sommet, allant de simples idées à des prototypes prêts à l’expérimentation. Ces propositions ont mis en lumière un décalage profond entre les politiques dites « pour les jeunes » et les réalités vécues sur le terrain.
Pour les participants, il est temps de considérer la jeunesse non plus comme un public cible, mais comme un acteur politique à part entière. Liberté de circulation, financement adapté aux rythmes de projet, reconnaissance institutionnelle, réforme des systèmes éducatifs et inclusion dans la gouvernance ont été des revendications récurrentes.
« Ce que ces jeunes ont produit ici dépasse le cadre d’un sommet. Ils ont formulé des solutions concrètes, construit un cap, et affirmé leur volonté d’agir maintenant », a souligné Khalid Baddou, président du forum, saluant leur capacité à allier critique, savoir et action.
Les discussions ont également ciblé plusieurs secteurs clés.
Durant trois jours de travaux intenses, ils ont pris part à 18 ateliers et sessions immersives, animés notamment par Amadou Diaw, Hamid Bouchikhi et Lex Paulson. L’objectif était de cerner les obstacles structurels à leur engagement, de croiser les expériences locales et de faire émerger, collectivement, des pistes d’action concrètes pour l’avenir.
25 projets ont émergé du sommet, allant de simples idées à des prototypes prêts à l’expérimentation. Ces propositions ont mis en lumière un décalage profond entre les politiques dites « pour les jeunes » et les réalités vécues sur le terrain.
Pour les participants, il est temps de considérer la jeunesse non plus comme un public cible, mais comme un acteur politique à part entière. Liberté de circulation, financement adapté aux rythmes de projet, reconnaissance institutionnelle, réforme des systèmes éducatifs et inclusion dans la gouvernance ont été des revendications récurrentes.
« Ce que ces jeunes ont produit ici dépasse le cadre d’un sommet. Ils ont formulé des solutions concrètes, construit un cap, et affirmé leur volonté d’agir maintenant », a souligné Khalid Baddou, président du forum, saluant leur capacité à allier critique, savoir et action.
Les discussions ont également ciblé plusieurs secteurs clés.
- Agriculture : adapter les financements à la temporalité des cycles de production.
- Santé mentale : créer des structures de soutien dans les universités et entreprises.
- Éducation : intervenir plus tôt, dès le collège, avec des outils adaptés au contexte.
- Industries culturelles et sportives : les intégrer pleinement dans les stratégies de développement.
- Mobilité, eau, paix : renforcer la place des jeunes dans les politiques de sécurité, d’intégration et de durabilité.
