Les Marocains confirment leur place de première communauté étudiante étrangère en France. Selon les dernières statistiques de l’agence Campus France, spécialisée dans la promotion de l’enseignement supérieur français, plus de 42.000 étudiants marocains sont actuellement inscrits dans l’Hexagone. Ils représentent 10 % de l’ensemble des étudiants étrangers, estimés à 445.000 personnes, soit près de 15 % de la population estudiantine française.
Cette présence massive témoigne de l’attractivité de la formation française pour les jeunes Marocains, mais aussi de la reconnaissance croissante de leurs compétences à l’international. Les domaines de prédilection restent les sciences fondamentales, l’ingénierie et les mathématiques, où les étudiants marocains se distinguent également dans les concours des grandes écoles.
En termes de choix d’établissements, la majorité des étudiants marocains s’inscrivent dans les universités (56 %), mais les écoles de commerce (19 %) et les écoles d’ingénieurs (14 %) séduisent de plus en plus. Ces deux filières enregistrent d’ailleurs des progressions spectaculaires au cours des cinq dernières années : +65 % pour les écoles de commerce et +18 % pour les écoles d’ingénieurs.
À l’échelle mondiale, le rapport rappelle que les flux d’étudiants étrangers en France connaissent une dynamique contrastée. Si le Maroc reste leader, la Chine, qui occupe la troisième place, a vu ses effectifs reculer de 3 % en 2023 après une reprise post-Covid. À l’inverse, des pays européens comme l’Italie et l’Espagne affichent une croissance soutenue, dépassant les 35 % en cinq ans.
Cette évolution illustre un marché de l’enseignement supérieur de plus en plus concurrentiel et mondialisé. Pour le Maroc, elle confirme surtout une tendance : celle d’une jeunesse tournée vers l’international, investissant dans les filières scientifiques et de gestion, et renforçant ainsi l’image du pays comme vivier de talents.
Cette présence massive témoigne de l’attractivité de la formation française pour les jeunes Marocains, mais aussi de la reconnaissance croissante de leurs compétences à l’international. Les domaines de prédilection restent les sciences fondamentales, l’ingénierie et les mathématiques, où les étudiants marocains se distinguent également dans les concours des grandes écoles.
En termes de choix d’établissements, la majorité des étudiants marocains s’inscrivent dans les universités (56 %), mais les écoles de commerce (19 %) et les écoles d’ingénieurs (14 %) séduisent de plus en plus. Ces deux filières enregistrent d’ailleurs des progressions spectaculaires au cours des cinq dernières années : +65 % pour les écoles de commerce et +18 % pour les écoles d’ingénieurs.
À l’échelle mondiale, le rapport rappelle que les flux d’étudiants étrangers en France connaissent une dynamique contrastée. Si le Maroc reste leader, la Chine, qui occupe la troisième place, a vu ses effectifs reculer de 3 % en 2023 après une reprise post-Covid. À l’inverse, des pays européens comme l’Italie et l’Espagne affichent une croissance soutenue, dépassant les 35 % en cinq ans.
Cette évolution illustre un marché de l’enseignement supérieur de plus en plus concurrentiel et mondialisé. Pour le Maroc, elle confirme surtout une tendance : celle d’une jeunesse tournée vers l’international, investissant dans les filières scientifiques et de gestion, et renforçant ainsi l’image du pays comme vivier de talents.
