Paraphée par Nabil Chaouki, directeur du LOARC, Faouzi Bekkaoui, directeur de l'INRA, Abdelaziz El Hraiki, directeur de l'IAV Hassan II et Said Amiri, directeur de l'ENAM, cette convention a pour objectif de permettre à ces établissements de mutualiser leurs infrastructures analytiques et leur expertise dans le domaine des essais analytiques au service des chercheurs, des enseignants-chercheurs, des étudiants et des opérateurs.
Il s'agit de mutualiser les ressources techniques et humaines des quatre établissements pour participer ensemble, dans le cadre de consortiums, aux projets de recherche ayant une composante analytique et pour répondre à des demandes d’expertise et de conseil, aussi bien internes qu’externes, dans leurs domaines communs de compétences.
Intervenant lors de la cérémonie de signature de ladite convention, le ministre de l'Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Mohamed Sadiki, a affirmé que le laboratoire officiel est "un levier très important" et "les analyses constituent un passage obligé pour arriver aux objectifs tracés par "Génération Green" afin d'établir les bases d'une agriculture de précision". Les actions menées en matière d'intégration des facteurs de l'environnement et de la circonstance nécessitent des interventions précises, a-t-il estimé, notant que ce sont les données techniques de la recherche qui permettent de disposer des approches requises pour prendre des décisions.
M. Sadiki a, dans ce sens, souligné que l'objectif de la convention consiste à généraliser ces analyses, eu égard à "notre agriculture très diversifiée", en vue de permettre même au plus petit agriculteur de bénéficier de cette agriculture de précision.
Il a, à ce propos, mis en avant la vision du laboratoire officiel tournée vers les établissements de recherche et de formation qui accueillent des étudiants, relevant que ces derniers "ne sont pas seulement des stagiaires, mais une capacité supplémentaire pour le laboratoire". Insistant sur l’impératif "de contribuer à mettre l'écosystème privé d'analyse sur les bons rails", M. Sadiki a fait observer que le laboratoire devrait jouer le rôle de colonne vertébrale de cet écosystème.
Dans le cadre de cette convention, qui a été conclue pour une durée de cinq ans et sera reconduite tacitement, le LOARC mettra également à la disposition des étudiants, des chercheurs et des enseignants chercheurs son expertise et son matériel scientifique pour la réalisation de leurs projets de fin d'études ou de recherches.
Un comité sera institué dans le cadre de cette convention et sera chargé de l'examen et de la validation des programmes d'action annuels et du suivi de l'état d’avancement de leurs mises en œuvre.
Organisée jusqu'au 28 avril sous le thème "Climat et agriculture : Pour des systèmes de production durables et résilients", le SIAM connaît la participation de près de 70 pays, dont l'Espagne en tant qu'invité d'honneur, et de 1.500 exposants. Plus de 950.000 visiteurs sont attendus à cette grand-messe de l'agriculture marocaine et internationale qui propose un programme riche de 40 conférences et tables rondes sur des thèmes d'actualité cruciaux.
Il s'agit de mutualiser les ressources techniques et humaines des quatre établissements pour participer ensemble, dans le cadre de consortiums, aux projets de recherche ayant une composante analytique et pour répondre à des demandes d’expertise et de conseil, aussi bien internes qu’externes, dans leurs domaines communs de compétences.
Intervenant lors de la cérémonie de signature de ladite convention, le ministre de l'Agriculture, de la Pêche maritime, du Développement rural et des Eaux et Forêts, Mohamed Sadiki, a affirmé que le laboratoire officiel est "un levier très important" et "les analyses constituent un passage obligé pour arriver aux objectifs tracés par "Génération Green" afin d'établir les bases d'une agriculture de précision". Les actions menées en matière d'intégration des facteurs de l'environnement et de la circonstance nécessitent des interventions précises, a-t-il estimé, notant que ce sont les données techniques de la recherche qui permettent de disposer des approches requises pour prendre des décisions.
M. Sadiki a, dans ce sens, souligné que l'objectif de la convention consiste à généraliser ces analyses, eu égard à "notre agriculture très diversifiée", en vue de permettre même au plus petit agriculteur de bénéficier de cette agriculture de précision.
Il a, à ce propos, mis en avant la vision du laboratoire officiel tournée vers les établissements de recherche et de formation qui accueillent des étudiants, relevant que ces derniers "ne sont pas seulement des stagiaires, mais une capacité supplémentaire pour le laboratoire". Insistant sur l’impératif "de contribuer à mettre l'écosystème privé d'analyse sur les bons rails", M. Sadiki a fait observer que le laboratoire devrait jouer le rôle de colonne vertébrale de cet écosystème.
Dans le cadre de cette convention, qui a été conclue pour une durée de cinq ans et sera reconduite tacitement, le LOARC mettra également à la disposition des étudiants, des chercheurs et des enseignants chercheurs son expertise et son matériel scientifique pour la réalisation de leurs projets de fin d'études ou de recherches.
Un comité sera institué dans le cadre de cette convention et sera chargé de l'examen et de la validation des programmes d'action annuels et du suivi de l'état d’avancement de leurs mises en œuvre.
Organisée jusqu'au 28 avril sous le thème "Climat et agriculture : Pour des systèmes de production durables et résilients", le SIAM connaît la participation de près de 70 pays, dont l'Espagne en tant qu'invité d'honneur, et de 1.500 exposants. Plus de 950.000 visiteurs sont attendus à cette grand-messe de l'agriculture marocaine et internationale qui propose un programme riche de 40 conférences et tables rondes sur des thèmes d'actualité cruciaux.