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Les intervenants ont, lors de cette conférence, insisté sur la nécessité de renforcer encore plus les droits spécifiques de la famille, en tant qu'unité et cellule sociale.
Ils ont également souligné l'importance d'adopter une approche globale dans la défense des droits des composantes de la famille (homme, femme et enfants), particulièrement dans le cas de situations difficiles, causées par la pauvreté, la marginalisation et l'exclusion.
La présidente de l'ADFTM, Mme Najat El Gass, a notamment relevé que les textes juridiques ne peuvent pas toujours changer la réalité socio-culturelle et les mentalités. Néanmoins, a-t-elle ajouté, il faut £uvrer à l'application judicieuse des textes, en vue de préserver les droits de la famille et surtout des enfants.
Elle a, à cet égard, mis en exergue l'instauration du Code de la famille, émettant l'espoir de voir les tribunaux de la famille dotés de plus de moyens et exhorté tous les concernés à œuvrer à faire de ce code un vrai remède aux problèmes sociaux de la famille et une contribution, dans les faits, à la stabilité familiale.
Le programme de cette conférence, à laquelle ont pris part nombre d'avocats et des membres du corps de la magistrature ainsi que des professeurs et représentants d'ONG, comportait des exposés et interventions sur "Le Code de la famille entre le texte et les défis de la réalité", "Les attributions du juge pour l'application du Code de la famille", "Les questions financières et de gestion au sein de la famille" et "Le divorce et la répudiation et leur impact sur la stabilité familiale".
L'ADFTM, créée en 2006, s'assigne parmi ses objectifs la préservation de la dignité humaine et de la famille, une famille démocratique, citoyenne et apte à accéder au troisième millénaire.
Ils ont également souligné l'importance d'adopter une approche globale dans la défense des droits des composantes de la famille (homme, femme et enfants), particulièrement dans le cas de situations difficiles, causées par la pauvreté, la marginalisation et l'exclusion.
La présidente de l'ADFTM, Mme Najat El Gass, a notamment relevé que les textes juridiques ne peuvent pas toujours changer la réalité socio-culturelle et les mentalités. Néanmoins, a-t-elle ajouté, il faut £uvrer à l'application judicieuse des textes, en vue de préserver les droits de la famille et surtout des enfants.
Elle a, à cet égard, mis en exergue l'instauration du Code de la famille, émettant l'espoir de voir les tribunaux de la famille dotés de plus de moyens et exhorté tous les concernés à œuvrer à faire de ce code un vrai remède aux problèmes sociaux de la famille et une contribution, dans les faits, à la stabilité familiale.
Le programme de cette conférence, à laquelle ont pris part nombre d'avocats et des membres du corps de la magistrature ainsi que des professeurs et représentants d'ONG, comportait des exposés et interventions sur "Le Code de la famille entre le texte et les défis de la réalité", "Les attributions du juge pour l'application du Code de la famille", "Les questions financières et de gestion au sein de la famille" et "Le divorce et la répudiation et leur impact sur la stabilité familiale".
L'ADFTM, créée en 2006, s'assigne parmi ses objectifs la préservation de la dignité humaine et de la famille, une famille démocratique, citoyenne et apte à accéder au troisième millénaire.
