«Pour la Palestine, l'arrêt total de l'extension des colonies juives en Cisjordanie, y compris à Al-Qods-Est, est une condition clé du lancement des pourparlers. Si Israël la rejette, les négociations directes seront impossibles», a ajouté M. Erakat.
Le responsable palestinien a indiqué qu'une telle démarche entraînera le retrait palestinien des pourparlers directs prévus le 2 septembre prochain.
Vendredi dernier, la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton avait annoncé que les Palestiniens et les Israéliens ont accepté de reprendre des négociations de paix directes, interrompues depuis vingt mois, ajoutant que ces pourparlers devraient reprendre à Washington en présence du président égyptien, Hosni Moubarak et du Roi Abdallah II de Jordanie.
Au menu de ces pourparlers, figurent notamment les questions du statut final de l'Etat de Palestine et des frontières entre les deux pays ainsi que les problèmes des réfugiés palestiniens et des prisonniers.
Le responsable palestinien a indiqué qu'une telle démarche entraînera le retrait palestinien des pourparlers directs prévus le 2 septembre prochain.
Vendredi dernier, la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton avait annoncé que les Palestiniens et les Israéliens ont accepté de reprendre des négociations de paix directes, interrompues depuis vingt mois, ajoutant que ces pourparlers devraient reprendre à Washington en présence du président égyptien, Hosni Moubarak et du Roi Abdallah II de Jordanie.
Au menu de ces pourparlers, figurent notamment les questions du statut final de l'Etat de Palestine et des frontières entre les deux pays ainsi que les problèmes des réfugiés palestiniens et des prisonniers.