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«En un peu plus de dix ans, S.M. le Roi Mohammed VI a changé la face de Son pays à tous les niveaux. Avec un style propre, le jeune Monarque est parvenu à réussir la quadrature du cercle : une silencieuse révolution pour amener son pays à la modernité», souligne la publication.
S.M. le Roi Mohammed VI fait évoluer son peuple vers «un modèle de société adaptée aux valeurs du XXIe siècle et qui n'oublie pas pour autant ses traditions», relève le supplément dans un article intitulé «La Révolution de Mohammed VI», agrémenté de témoignages de ministres, conseillers et acteurs économiques et politiques dans le pays.
Le Souverain jouit d'une popularité sans précédent et suscite l'admiration de Son peuple qui suit avec grande ferveur les évènements de la famille Royale, souligne la publication.
S.M. Mohammed VI, un Roi visionnaire
Très estimé par Son peuple, car «symbolisant le vent de changement qui souffle sur le Royaume, le Souverain marocain a sa propre vision de la gouvernance et veut conduire son pays vers la modernité», affirme la même source, citant le conseiller de S.M. le Roi, André Azoulay qui a mis en exergue le consensus autour du Trône «qui n'a jamais été aussi fort et aussi profond».
Le supplément cite le développement économique et l'ouverture du pays à l'économie mondiale comme «première grande œuvre» réalisée sous l'impulsion de S.M. le Roi, relevant que la création, en 2000, du Fonds Hassan II pour le développement économique et social, s'inscrit dans le cadre de «la détermination» du Souverain à dynamiser l'économie marocaine à coup de grands projets dans tous les secteurs.
Grâce à cette «révolution économique» mise en marche par le Souverain, la consommation des ménages a pu évoluer, le marché du travail est plus dynamique et le Pib enregistre de 2004 à 2010 un taux moyen de croissance de 5,2% par an, indique la publication.
Par ailleurs et à la faveur de finances saines, le Maroc a pu attirer les fonds étrangers nécessaires pour la construction des infrastructures que nécessite le pays, affirme le supplément d''El Pais', notant que le Royaume s'est transformé en «un gigantesque chantier et que le rythme de construction s'est accéléré : les routes se sont multipliées, l'électrification et l'approvisionnement en eau potable a concerné les points les plus éloignés du Maroc, sans parler des aéroports et des transports publics qui se sont modernisés de façon très visible».
Parallèlement à cette dynamisation de l'économie à grands coups de projets gigantesques, ajoute le supplément, un grand intérêt est accordé aux catégories sociales vulnérables : à partir de 2005, la lutte contre la pauvreté a été institutionnalisée avec la mise en place d'une politique structurée dans le cadre de l'Initiative Nationale pour le Développement Humain (INDH), qui se fixe comme objectif de réduire de moitié la pauvreté à fin 2010.
Un vent de modernité souffle sur le Royaume
Les efforts de S.M. le Roi Mohammed VI ne se limitent pas au seul secteur économique, souligne le supplément, estimant qu'«un vent de modernité souffle sur le Royaume à tous les niveaux» et que «les tabous tombent aussi bien dans la presse que dans la société».
Cette ouverture sociale se manifeste dans l'art, le cinéma et la musique et la créativité est en ébullition, souligne la publication espagnole.
Elle rappelle également la réforme «historique» du code de la famille sous l'impulsion du Souverain, qualifiant cette initiative de «véritable révolution».
S.M. le Roi Mohammed VI, rappelle également le supplément, œuvre en Sa qualité de Commandeur des Croyants (Amir Al Mouminine) à la promotion des valeurs de l'Islam tolérant.
La régionalisation pour moderniser l'Etat
Le Maroc est en train de préparer un système de régionalisation qui entend rénover et moderniser les structures de l'Etat, et rapprocher les citoyens des affaires publiques tout en veillant à accroître le développement économique, social et culturel dans l'ensemble du pays, souligne un supplément consacré au Maroc «Un pays en mouvement», paru dans l'édition de lundi du journal espagnol «El Pais».
«Rénover et moderniser les structures de l'Etat» sont les principaux objectifs que veut atteindre le nouveau processus de régionalisation avancée, annoncé par S.M. le Roi Mohammed VI dans un discours à la nation le 3 janvier 2010», indique la même source.
Ce modèle de décentralisation, qui sera dessiné par la commission consultative de la régionalisation (CCR), conformément à «une feuille de route» prévoit, comme l'explique Omar Azziman, ancien ambassadeur du Maroc en Espagne et président de la CCR cité par le journal, «une nouvelle répartition des compétences entre la capitale et les régions pour décongestionner l'Etat et rapprocher les administrations du terrain d'action». Il explique que le modèle de régionalisation pour lequel opte le Maroc doit être un «modèle maroco-marocain».
«Il ne s'agit pas de copier des expériences étrangères, mais de voir ce qu'ont réussi d'autres pays et en tirer les enseignements positifs», affirme le président de la CCR, précisant que la commission consultative chargée de réfléchir sur ce modèle de régionalisation, devra tenir compte des spécificités du Maroc.
«Le nouveau système de régionalisation entend impliquer davantage les citoyens dans la gestion de la chose publique et accroître le développement économique, social et culturel», indique le supplément.
La publication souligne également l'intérêt accordé par S.M. Mohammed VI au développement socio-économique de toutes les régions du Royaume, rappelant la création à cet effet de trois agences de développement (l'Agence du Nord, l'Agence de l'Oriental et l'Agence du Sud) dont la mission est de superviser les projets développés dans chacune de ces régions.
S.M. le Roi Mohammed VI voulait convertir les régions en «de véritables locomotives de développement économique pour réduire les inégalités existant entre différentes zones géographiques», relève la publication qui cite le ministre de l'Economie et des Finances, Salaheddine Mezouar, affirmant que les autorités marocaines travaillent pour éviter que la croissance économique ne génère des différences sociales.
«L'Etat est en train d'intervenir pour une meilleure distribution de la richesse et pour combattre la pauvreté», a assuré le ministre. Cité également par la même publication, le président de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), Mohamed Horani a souligné l'importance pour le processus de régionalisation de donner lieu à «des régions économiquement viables et pour que chaque région puisse disposer d'un foyer économique qui sert de force motrice».
A travers la régionalisation avancée, le Maroc pourra aller de l'avant dans son processus de développement, souligne la publication pour qui la mise en place d'un bon plan régional permettra au Royaume de devenir une plate-forme de développement au niveau régional.
«D'ailleurs, cette vision est l'une des priorités de la politique extérieure du Maroc: construire un Maghreb uni et fort», comme le souligne le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, Youssef Amrani, cité par le supplément.
S.M. le Roi Mohammed VI fait évoluer son peuple vers «un modèle de société adaptée aux valeurs du XXIe siècle et qui n'oublie pas pour autant ses traditions», relève le supplément dans un article intitulé «La Révolution de Mohammed VI», agrémenté de témoignages de ministres, conseillers et acteurs économiques et politiques dans le pays.
Le Souverain jouit d'une popularité sans précédent et suscite l'admiration de Son peuple qui suit avec grande ferveur les évènements de la famille Royale, souligne la publication.
S.M. Mohammed VI, un Roi visionnaire
Très estimé par Son peuple, car «symbolisant le vent de changement qui souffle sur le Royaume, le Souverain marocain a sa propre vision de la gouvernance et veut conduire son pays vers la modernité», affirme la même source, citant le conseiller de S.M. le Roi, André Azoulay qui a mis en exergue le consensus autour du Trône «qui n'a jamais été aussi fort et aussi profond».
Le supplément cite le développement économique et l'ouverture du pays à l'économie mondiale comme «première grande œuvre» réalisée sous l'impulsion de S.M. le Roi, relevant que la création, en 2000, du Fonds Hassan II pour le développement économique et social, s'inscrit dans le cadre de «la détermination» du Souverain à dynamiser l'économie marocaine à coup de grands projets dans tous les secteurs.
Grâce à cette «révolution économique» mise en marche par le Souverain, la consommation des ménages a pu évoluer, le marché du travail est plus dynamique et le Pib enregistre de 2004 à 2010 un taux moyen de croissance de 5,2% par an, indique la publication.
Par ailleurs et à la faveur de finances saines, le Maroc a pu attirer les fonds étrangers nécessaires pour la construction des infrastructures que nécessite le pays, affirme le supplément d''El Pais', notant que le Royaume s'est transformé en «un gigantesque chantier et que le rythme de construction s'est accéléré : les routes se sont multipliées, l'électrification et l'approvisionnement en eau potable a concerné les points les plus éloignés du Maroc, sans parler des aéroports et des transports publics qui se sont modernisés de façon très visible».
Parallèlement à cette dynamisation de l'économie à grands coups de projets gigantesques, ajoute le supplément, un grand intérêt est accordé aux catégories sociales vulnérables : à partir de 2005, la lutte contre la pauvreté a été institutionnalisée avec la mise en place d'une politique structurée dans le cadre de l'Initiative Nationale pour le Développement Humain (INDH), qui se fixe comme objectif de réduire de moitié la pauvreté à fin 2010.
Un vent de modernité souffle sur le Royaume
Les efforts de S.M. le Roi Mohammed VI ne se limitent pas au seul secteur économique, souligne le supplément, estimant qu'«un vent de modernité souffle sur le Royaume à tous les niveaux» et que «les tabous tombent aussi bien dans la presse que dans la société».
Cette ouverture sociale se manifeste dans l'art, le cinéma et la musique et la créativité est en ébullition, souligne la publication espagnole.
Elle rappelle également la réforme «historique» du code de la famille sous l'impulsion du Souverain, qualifiant cette initiative de «véritable révolution».
S.M. le Roi Mohammed VI, rappelle également le supplément, œuvre en Sa qualité de Commandeur des Croyants (Amir Al Mouminine) à la promotion des valeurs de l'Islam tolérant.
La régionalisation pour moderniser l'Etat
Le Maroc est en train de préparer un système de régionalisation qui entend rénover et moderniser les structures de l'Etat, et rapprocher les citoyens des affaires publiques tout en veillant à accroître le développement économique, social et culturel dans l'ensemble du pays, souligne un supplément consacré au Maroc «Un pays en mouvement», paru dans l'édition de lundi du journal espagnol «El Pais».
«Rénover et moderniser les structures de l'Etat» sont les principaux objectifs que veut atteindre le nouveau processus de régionalisation avancée, annoncé par S.M. le Roi Mohammed VI dans un discours à la nation le 3 janvier 2010», indique la même source.
Ce modèle de décentralisation, qui sera dessiné par la commission consultative de la régionalisation (CCR), conformément à «une feuille de route» prévoit, comme l'explique Omar Azziman, ancien ambassadeur du Maroc en Espagne et président de la CCR cité par le journal, «une nouvelle répartition des compétences entre la capitale et les régions pour décongestionner l'Etat et rapprocher les administrations du terrain d'action». Il explique que le modèle de régionalisation pour lequel opte le Maroc doit être un «modèle maroco-marocain».
«Il ne s'agit pas de copier des expériences étrangères, mais de voir ce qu'ont réussi d'autres pays et en tirer les enseignements positifs», affirme le président de la CCR, précisant que la commission consultative chargée de réfléchir sur ce modèle de régionalisation, devra tenir compte des spécificités du Maroc.
«Le nouveau système de régionalisation entend impliquer davantage les citoyens dans la gestion de la chose publique et accroître le développement économique, social et culturel», indique le supplément.
La publication souligne également l'intérêt accordé par S.M. Mohammed VI au développement socio-économique de toutes les régions du Royaume, rappelant la création à cet effet de trois agences de développement (l'Agence du Nord, l'Agence de l'Oriental et l'Agence du Sud) dont la mission est de superviser les projets développés dans chacune de ces régions.
S.M. le Roi Mohammed VI voulait convertir les régions en «de véritables locomotives de développement économique pour réduire les inégalités existant entre différentes zones géographiques», relève la publication qui cite le ministre de l'Economie et des Finances, Salaheddine Mezouar, affirmant que les autorités marocaines travaillent pour éviter que la croissance économique ne génère des différences sociales.
«L'Etat est en train d'intervenir pour une meilleure distribution de la richesse et pour combattre la pauvreté», a assuré le ministre. Cité également par la même publication, le président de la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), Mohamed Horani a souligné l'importance pour le processus de régionalisation de donner lieu à «des régions économiquement viables et pour que chaque région puisse disposer d'un foyer économique qui sert de force motrice».
A travers la régionalisation avancée, le Maroc pourra aller de l'avant dans son processus de développement, souligne la publication pour qui la mise en place d'un bon plan régional permettra au Royaume de devenir une plate-forme de développement au niveau régional.
«D'ailleurs, cette vision est l'une des priorités de la politique extérieure du Maroc: construire un Maghreb uni et fort», comme le souligne le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération, Youssef Amrani, cité par le supplément.
