Arrivé dimanche à Paris, M. Abbas a prévenu que la poursuite des pourparlers directs, repris le 2 septembre à Washington sous l'égide des Etats-Unis, serait «une perte de temps» si le gouvernement israélien ne maintenait pas son moratoire sur la colonisation.
Les Etats-Unis avaient appelé Israël à prolonger cette mesure exigée par les Palestiniens pour poursuivre les pourparlers de paix, mais le gouvernement israélien a laissé lundi expirer son moratoire. Dès le matin, les constructions ont recommencé dans des colonies de Cisjordanie occupée.
Tout en demandant aux colons de faire preuve de «retenue», le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu a appelé le Président palestinien à poursuivre des «pourparlers diligents et honnêtes» dans le but de conclure un accord de paix dans un délai d'un an.
Selon l'Elysée, les entretiens entre MM. Sarkozy et Abbas sont «consacrés
au processus de paix, au rôle de la communauté internationale et aux relations
franco-palestiniennes».
M. Abbas s'était entretenu, la semaine dernière à New York, avec le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, en marge de l'Assemblée générale des Nations unies. «Ces échanges interviennent à un moment décisif du processus de paix israélo-palestinien, relancé par les négociations directes, et permettant d'examiner ensemble dans quelle mesure la France et l'Union européenne peuvent continuer à aider à la résolution du conflit et à la création prochaine d'un Etat palestinien viable, vivant en paix et en sécurité aux côtés d'Israël», selon le Quai d'Orsay.
Les Etats-Unis avaient appelé Israël à prolonger cette mesure exigée par les Palestiniens pour poursuivre les pourparlers de paix, mais le gouvernement israélien a laissé lundi expirer son moratoire. Dès le matin, les constructions ont recommencé dans des colonies de Cisjordanie occupée.
Tout en demandant aux colons de faire preuve de «retenue», le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu a appelé le Président palestinien à poursuivre des «pourparlers diligents et honnêtes» dans le but de conclure un accord de paix dans un délai d'un an.
Selon l'Elysée, les entretiens entre MM. Sarkozy et Abbas sont «consacrés
au processus de paix, au rôle de la communauté internationale et aux relations
franco-palestiniennes».
M. Abbas s'était entretenu, la semaine dernière à New York, avec le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, en marge de l'Assemblée générale des Nations unies. «Ces échanges interviennent à un moment décisif du processus de paix israélo-palestinien, relancé par les négociations directes, et permettant d'examiner ensemble dans quelle mesure la France et l'Union européenne peuvent continuer à aider à la résolution du conflit et à la création prochaine d'un Etat palestinien viable, vivant en paix et en sécurité aux côtés d'Israël», selon le Quai d'Orsay.