Les Emirats, dont le boom économique a attiré massivement les étrangers à la recherche d'un emploi, notamment des Asiatiques, vont «passer dans une économie du savoir, fondée sur la chasse aux compétences», aux dépens des travailleurs non qualifiés, a déclaré Ghobash lors d'une conférence de presse.
Ainsi, a-t-il ajouté, le nombre des travailleurs étrangers est passé de 1,8 million en 2001 à plus de 4 millions en 2007 avant de décliner, sous l'effet de la crise monétaire mondiale de 2008, pour se situer à 3,8 millions fin 2010.
Sur ce dernier chiffre, quelque 2 millions sont des ouvriers non qualifiés, alors que seuls 266.000 travailleurs étrangers disposent d'un diplôme universitaire, a-t-il expliqué.
«La tendance est de réduire le nombre des travailleurs non qualifiés» dans le cadre d'une politique de «nationalisation» de l'emploi avec «l'arrivée attendue dans les prochaines années de quelque 200.000 Emiratis sur le marché du travail», a indiqué le ministre.
La population de ce riche pays pétrolier du Golfe était de 8,2 millions d'habitants fin 2010, dont 11,47% d'autochtones, selon les estimations les plus récentes publiées en avril dernier.
Ainsi, a-t-il ajouté, le nombre des travailleurs étrangers est passé de 1,8 million en 2001 à plus de 4 millions en 2007 avant de décliner, sous l'effet de la crise monétaire mondiale de 2008, pour se situer à 3,8 millions fin 2010.
Sur ce dernier chiffre, quelque 2 millions sont des ouvriers non qualifiés, alors que seuls 266.000 travailleurs étrangers disposent d'un diplôme universitaire, a-t-il expliqué.
«La tendance est de réduire le nombre des travailleurs non qualifiés» dans le cadre d'une politique de «nationalisation» de l'emploi avec «l'arrivée attendue dans les prochaines années de quelque 200.000 Emiratis sur le marché du travail», a indiqué le ministre.
La population de ce riche pays pétrolier du Golfe était de 8,2 millions d'habitants fin 2010, dont 11,47% d'autochtones, selon les estimations les plus récentes publiées en avril dernier.