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Il s’agit du film «Aya va à la plage» (19 min) de Maryam Touzani, qui traite du sujet du travail des enfants et la passion pour la liberté.
Le court-métrage relate l’histoire d’Aya, 10 ans, qui travaille comme une bonne au centre de Casablanca. Bien qu’enfermée à double tour, Aya laisse éclore sa joie de vivre. L’enfant espiègle, intelligente et drôle refait surface au quotidien, elle trouve du réconfort auprès de sa voisine, une amie et une complice.
Ecrit et réalisé par Maryam Touzani (2015), «Aya va à la plage» est son deuxième film après «quand ils dorment».
Les festivaliers ont, également assisté au film «Ait break bled» (2016) d’Abderrazak Zitouny, qui relate l’histoire de deux gendarmes en service, sur une route déserte, qui s’ennuient à ne rien faire. Pas une voiture ni passant, ils essayent de tuer le temps en inventant des jeux.
Ce film (15 min) a été écrit et réalisé par Abderrazak Zitouny qui a joué avec brio le rôle principal, à côté d’Adil Abatourab.
La compétition officielle de cette édition se poursuivra avec la projection vendredi soir du dernier film marocain «comment aimer le Maroc» de Nada Ech Charquaoui, soit cinq court-métrages marocains en lice, dont quatre réalisés par des femmes.
