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Qatar 2022 : La presse belge reconnaît la supériorité des Lions de l'Atlas

Au lendemain du match qui a opposé le Maroc et la Belgique, dans le cadre de la Coupe du monde Qatar 2022, la presse belge tance sévèrement des Diables rouges "impuissants et décevants", battus logiquement par les "vaillants" Lions de l’Atlas.

Qatar 2022 : La presse belge reconnaît la supériorité des Lions de l'Atlas

Les commentateurs n’y sont pas allés avec le dos de la cuillère, critiquant une équipe belge pétrie de talents, mais qui manque cruellement d’engagement et de combativité. Un constat qui, selon eux, n’enlève rien à la supériorité de la sélection marocaine, qui a magistralement géré son match.

"Dimanche à Doha, les Lions de l’Atlas ont confronté les Diables à leurs limites. Celles d’une équipe qui n’a plus de marge sur ses adversaires dans un tournoi de ce niveau. Celles d’une équipe qui doit avoir ses dernières vedettes dans un bon jour en même temps pour battre une nation aussi forte que le Maroc", écrit La Libre Belgique.

"Les Belges marchent sur un fil aussi fin que la technique de Ziyech"

Dans ce tournoi qatari, les Belges marchent sur un fil aussi fin que la technique de Ziyech, mais ils risquent de ne plus marcher longtemps, assène le quotidien. Pour L’Avenir, "les Diables pourraient dire que l’arbitre mexicain n’a pas sorti les cartons quand ils dominaient la partie. Qu’Amallah aurait même pu en prendre deux sur la première période. Mais ils devront juste se regarder, reconnaître la supériorité marocaine".

"Sur le second but, celui qui pourrait faire mal dans les calculs en cas d’égalité (peu probable avec les Lions de l’Atlas), Courtois ne pouvait pas grand-chose. Mais tout était déjà plié dans ce match historique pour le Maroc’’, relève l’auteur de l’article, notant que le Maroc devient ainsi la première équipe maghrébine à battre la Belgique en phase finale de Coupe du monde, réussit sa première victoire en groupe depuis 1998 et sans doute une seconde qualification du pays pour un second tour mondial après 1986.

La fête était belle dans une enceinte garnie quasi exclusivement de Marocains qui ont mis une vraie ambiance de football, fait-il remarquer.

Dans son analyse du match, La Capitale explique que "le Maroc s’était montré malin en évitant de brûler une énergie inutile comme l’avaient fait les Canadiens. Et juste avant l’heure de jeu, ses joueurs ont commencé à pointer le nez à la fenêtre de plus en plus franchement. Avec, au bout du compte, les conséquences que l’on sait".

"Celui qui ose dire que la victoire de nos adversaires n’est pas méritée, ne connaît rien au foot ou est d’une mauvaise fois abominable. En jouant à deux à l’heure, on finit par se faire rattraper par le match et c’est ce qui est arrivé à des Belges qu’on aurait dit pas conscients du danger", souligne la publication.

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