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La 8e édition des Rencontres chorégraphiques de Casablanca (RCC) est lancée. Jusqu'au 16 octobre, près de 80 danseurs et chorégraphes étrangers et marocains envahissent les parquets de différents espaces culturels de la métropole. Représentant une quinzaine de compagnies internationales, ces artistes se produiront notamment au Théâtre 121 de l'Institut français de Casablanca, à la Villa des Arts, à l'Institut Cervantes et au complexe Touria Sekkat. Cette édition fait un focus sur la Belgique. Le lancement du festival, le 12 octobre, était l'occasion de présenter une performance inédite interprétée par Julien Carlier et Wajdi Gagui à l'Institut français de Casablanca. «L'objectif des Rencontres chorégraphiques de Casablanca est de favoriser l'échange culturel, la coopération internationale et les rencontres pluridisciplinaires.
Cette année nous avons souhaité offrir au public de nouvelles références artistiques et un regard différent sur la danse contemporaine», déclare Ahlam El Morsli, co-fondatrice du festival. Les Rencontres chorégraphiques de Casablanca permettent également de débattre autour de la danse contemporaine au Maroc et de partager différentes expériences. Dans ce cadre, une rencontre professionnelle est programmée le vendredi 14 octobre à partir de 11h30 au jardin de l'Institut français de Casablanca. Elle réunira les artistes, programmateurs, agents culturels et institutionnels. Par ailleurs, cet événement soutient les jeunes danseurs marocains. «La plateforme “Jeune création marocaine” sera mise en avant avec la programmation des résidences d'artistes, des ateliers de formation et des masters class animés par des chorégraphes étrangers», indiquent les organisateurs.
