«Lors des arnaques en ligne, 43 % des victimes étaient distraites parce qu'elles effectuaient plusieurs tâches à la fois et n'y prêtaient pas attention», a souligné l’organisation qui a interrogé une population de 800 personnes originaires d'Afrique du Sud, du Kenya, du Ghana, du Nigeria, de l'Égypte, de Maurice et du Botswana.
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«Ces chiffres mettent en évidence l'évolution des escroqueries en ligne», a déclaré Anna Collard, vice-présidente principale de la stratégie de contenu au sein de KnowBe4 Africa, notant que les arnaques financières ont touché près de 48 % des personnes interrogées. Signalant qu’il est facile d’être victime d’une escroquerie en ligne, elle a expliqué que l’état émotionnel d’une personne peut affecter son jugement, sa conscience et sa prise de décision, la rendant ainsi plus vulnérable aux arnaques.
Par ailleurs, Mme Collard a fait savoir que les escrocs utilisent des techniques d'ingénierie sociale pour convaincre leurs victimes, notamment en créant un rapport de confiance à travers la redirection vers des sites Web légitimes, l’envoi de messages qui font appel aux émotions et l’utilisation de profils de réseaux sociaux qui semblent authentiques. «Les statistiques révèlent que les réseaux d’escrocs sont devenus plus sophistiqués en utilisant les technologies émergentes pour inciter les gens à commettre des erreurs coûteuses», a-t-elle mis en garde.
Selon le rapport de KnowBe4 Africa, parmi les escroqueries répandues figurent les faux investissements (30%), l’utilisation des crypto-monnaies et des NFT (29%), l'usurpation d'identité des marques (28%), le vol d'informations (24%), les achats en ligne (21%) et les fausses offres d'emploi (21%).
Les escroqueries moins fréquentes comprennent l'usurpation d'identité d’un membre de la famille ou un ami (18%), l'usurpation d'identité des autorités (7%), la fraude fiscale (6%), la fraude pendant les vacances (9%) et la fraude à la loterie (15%), précise-t-on.
En outre, le rapport montre que tomber dans le piège d’une escroquerie a un impact psychologique important sur de nombreuses victimes, estimant que près de 50 % des personnes interrogées ont ressenti un impact fort ou modéré.
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«Ces chiffres mettent en évidence l'évolution des escroqueries en ligne», a déclaré Anna Collard, vice-présidente principale de la stratégie de contenu au sein de KnowBe4 Africa, notant que les arnaques financières ont touché près de 48 % des personnes interrogées. Signalant qu’il est facile d’être victime d’une escroquerie en ligne, elle a expliqué que l’état émotionnel d’une personne peut affecter son jugement, sa conscience et sa prise de décision, la rendant ainsi plus vulnérable aux arnaques.
Par ailleurs, Mme Collard a fait savoir que les escrocs utilisent des techniques d'ingénierie sociale pour convaincre leurs victimes, notamment en créant un rapport de confiance à travers la redirection vers des sites Web légitimes, l’envoi de messages qui font appel aux émotions et l’utilisation de profils de réseaux sociaux qui semblent authentiques. «Les statistiques révèlent que les réseaux d’escrocs sont devenus plus sophistiqués en utilisant les technologies émergentes pour inciter les gens à commettre des erreurs coûteuses», a-t-elle mis en garde.
Selon le rapport de KnowBe4 Africa, parmi les escroqueries répandues figurent les faux investissements (30%), l’utilisation des crypto-monnaies et des NFT (29%), l'usurpation d'identité des marques (28%), le vol d'informations (24%), les achats en ligne (21%) et les fausses offres d'emploi (21%).
Les escroqueries moins fréquentes comprennent l'usurpation d'identité d’un membre de la famille ou un ami (18%), l'usurpation d'identité des autorités (7%), la fraude fiscale (6%), la fraude pendant les vacances (9%) et la fraude à la loterie (15%), précise-t-on.
En outre, le rapport montre que tomber dans le piège d’une escroquerie a un impact psychologique important sur de nombreuses victimes, estimant que près de 50 % des personnes interrogées ont ressenti un impact fort ou modéré.