La décision du juge Amit Mehta est la suite de celle rendue en août 2024 et qui avait reconnu Google coupable d'avoir maintenu illégalement son monopole dans la recherche en ligne grâce à des accords de distribution exclusive à plusieurs milliards de dollars par an.
Le juge du district of Columbia a également interdit à Google de conclure des accords d'exclusivité qui interdiraient aux fabricants de préinstaller des produits rivaux sur leurs nouveaux appareils.
Selon des observateurs, la décision du juge Mehta dans cette affaire représentait l'une des plus importantes depuis deux décennies dans la lutte contre les pratiques monopolistiques des entreprises, et aurait pu radicalement bouleverser l'avenir du géant technologique.
Par ailleurs, le juge a rejeté la demande du gouvernement américain d'obliger Google à vendre son navigateur Chrome.
Le gouvernement américain faisait pression pour que la condamnation de Google implique la cession de Chrome, arguant que ce navigateur est devenu une passerelle essentielle vers Internet et qu'il permet un tiers de toutes les recherches effectuées via Google.
En conséquence, le gouvernement demandait au juge d'ordonner à Google de vendre son navigateur Chrome, de partager certaines données avec des concurrents, de ne plus payer Apple et d'autres sociétés pour installer son moteur de recherche par défaut sur leurs appareils, et de limiter ses investissements dans d'autres entreprises d'intelligence artificielle (IA), entre autres requêtes.
Le juge du district of Columbia a également interdit à Google de conclure des accords d'exclusivité qui interdiraient aux fabricants de préinstaller des produits rivaux sur leurs nouveaux appareils.
Selon des observateurs, la décision du juge Mehta dans cette affaire représentait l'une des plus importantes depuis deux décennies dans la lutte contre les pratiques monopolistiques des entreprises, et aurait pu radicalement bouleverser l'avenir du géant technologique.
Par ailleurs, le juge a rejeté la demande du gouvernement américain d'obliger Google à vendre son navigateur Chrome.
Le gouvernement américain faisait pression pour que la condamnation de Google implique la cession de Chrome, arguant que ce navigateur est devenu une passerelle essentielle vers Internet et qu'il permet un tiers de toutes les recherches effectuées via Google.
En conséquence, le gouvernement demandait au juge d'ordonner à Google de vendre son navigateur Chrome, de partager certaines données avec des concurrents, de ne plus payer Apple et d'autres sociétés pour installer son moteur de recherche par défaut sur leurs appareils, et de limiter ses investissements dans d'autres entreprises d'intelligence artificielle (IA), entre autres requêtes.
