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Selon Qualcomm, l’avenir du numérique ne reposera plus seulement sur le smartphone. Les utilisateurs seront entourés d’objets connectés – lunettes, montres, écouteurs ou encore ordinateurs – qui devront fonctionner ensemble de manière fluide. La société met en avant l’idée que les comportements changent déjà : on ne se contente plus de regarder des contenus sur son téléphone, on partage aussi ce que l’on voit ou ce que l’on fait en direct. Ce type d’usage génère de plus en plus de flux de données envoyées vers le réseau, une tendance que la 5G actuelle peine à absorber.
L’entreprise souligne que les réseaux devront être repensés pour éviter la saturation. Elle insiste sur deux pistes : la collaboration entre les appareils pour mieux répartir le trafic et l’utilisation de serveurs de proximité capables de prendre en charge une partie des calculs. Cette organisation doit permettre de réduire la consommation d’énergie des terminaux tout en maintenant une qualité de service élevée.
Qualcomm indique également que la 6G apportera de nouveaux outils aux opérateurs. Elle permettra par exemple de créer des répliques virtuelles de leurs réseaux afin de tester en temps réel les meilleures solutions pour améliorer la couverture et économiser de l’énergie. L’entreprise évoque aussi la possibilité de développer de nouveaux services comme la détection d’objets par les signaux sans fil ou le calcul déporté pour prolonger l’autonomie des petits appareils.
Dans sa communication, Qualcomm insiste sur le fait que la 6G ne doit pas être vue comme une simple suite de la 5G, mais comme une nouvelle étape qui fusionne connectivité et puissance de calcul. Si les travaux avancent comme prévu, les premiers téléphones 6G pourraient être proposés aux consommateurs à partir de 2028.
L’entreprise souligne que les réseaux devront être repensés pour éviter la saturation. Elle insiste sur deux pistes : la collaboration entre les appareils pour mieux répartir le trafic et l’utilisation de serveurs de proximité capables de prendre en charge une partie des calculs. Cette organisation doit permettre de réduire la consommation d’énergie des terminaux tout en maintenant une qualité de service élevée.
Qualcomm indique également que la 6G apportera de nouveaux outils aux opérateurs. Elle permettra par exemple de créer des répliques virtuelles de leurs réseaux afin de tester en temps réel les meilleures solutions pour améliorer la couverture et économiser de l’énergie. L’entreprise évoque aussi la possibilité de développer de nouveaux services comme la détection d’objets par les signaux sans fil ou le calcul déporté pour prolonger l’autonomie des petits appareils.
Dans sa communication, Qualcomm insiste sur le fait que la 6G ne doit pas être vue comme une simple suite de la 5G, mais comme une nouvelle étape qui fusionne connectivité et puissance de calcul. Si les travaux avancent comme prévu, les premiers téléphones 6G pourraient être proposés aux consommateurs à partir de 2028.
