Meta change d’échelle. Dans une déclaration publiée sur le compte officiel de l’entreprise sur X, Mark Zuckerberg a révélé que Meta prépare une superintelligence « personnelle » qui pourrait devenir le cœur de l’expérience numérique pour des milliards d’individus.
Le principe? une IA capable de vous comprendre, de vous accompagner dans vos projets et d’interagir en temps réel avec ce que vous voyez, entendez, ou dites. Selon Zuckerberg, cette IA ne sera pas réservée aux laboratoires ni aux grandes plateformes. Elle sera intégrée à des objets du quotidien, à commencer par des lunettes intelligentes, appelées à devenir les futurs terminaux principaux.
Meta veut s’éloigner du modèle centralisé où l’intelligence artificielle se contente d’automatiser des tâches pour produire de la valeur économique. À la place, l’entreprise mise sur un usage individuel, où chacun peut utiliser cette puissance technologique pour créer, apprendre, interagir, ou se développer selon ses propres objectifs.
Le projet n’est pas sans conséquences. Le patron de Meta reconnaît que cette avancée soulève des risques nouveaux, en particulier en matière de sécurité et de gouvernance. L'entreprise promet une approche prudente dans l’ouverture du code et la gestion des données sensibles, tout en réaffirmant sa volonté de partager les bénéfices de cette technologie à grande échelle.
Cette orientation intervient dans un contexte où le rôle de l’intelligence artificielle dans la société reste en débat. Pour Meta, il ne s’agit pas de remplacer le travail humain ou de viser une automatisation totale, mais de prolonger une logique historique où la technologie libère du temps et ouvre de nouveaux champs d’action.
Zuckerberg conclut en affirmant que Meta dispose des moyens techniques et humains pour construire cette superintelligence personnelle à grande échelle, et qu’il souhaite la rendre disponible au plus grand nombre d’ici la fin de la décennie.
Le principe? une IA capable de vous comprendre, de vous accompagner dans vos projets et d’interagir en temps réel avec ce que vous voyez, entendez, ou dites. Selon Zuckerberg, cette IA ne sera pas réservée aux laboratoires ni aux grandes plateformes. Elle sera intégrée à des objets du quotidien, à commencer par des lunettes intelligentes, appelées à devenir les futurs terminaux principaux.
Meta veut s’éloigner du modèle centralisé où l’intelligence artificielle se contente d’automatiser des tâches pour produire de la valeur économique. À la place, l’entreprise mise sur un usage individuel, où chacun peut utiliser cette puissance technologique pour créer, apprendre, interagir, ou se développer selon ses propres objectifs.
Le projet n’est pas sans conséquences. Le patron de Meta reconnaît que cette avancée soulève des risques nouveaux, en particulier en matière de sécurité et de gouvernance. L'entreprise promet une approche prudente dans l’ouverture du code et la gestion des données sensibles, tout en réaffirmant sa volonté de partager les bénéfices de cette technologie à grande échelle.
Cette orientation intervient dans un contexte où le rôle de l’intelligence artificielle dans la société reste en débat. Pour Meta, il ne s’agit pas de remplacer le travail humain ou de viser une automatisation totale, mais de prolonger une logique historique où la technologie libère du temps et ouvre de nouveaux champs d’action.
Zuckerberg conclut en affirmant que Meta dispose des moyens techniques et humains pour construire cette superintelligence personnelle à grande échelle, et qu’il souhaite la rendre disponible au plus grand nombre d’ici la fin de la décennie.
