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OpenAI a présenté son Jobs Platform, une initiative qui veut repenser la rencontre entre recruteurs et candidats. Selon Fidji Simo, récemment nommée CEO des applications chez OpenAI, l’objectif est d’« utiliser l’IA pour trouver les correspondances parfaites entre ce que les entreprises recherchent et ce que les travailleurs peuvent offrir ». La plateforme s’adressera aussi bien aux grandes entreprises qu’aux petites structures et aux administrations locales, qui pourront y trouver des profils adaptés à leurs besoins en compétences numériques.
En parallèle, OpenAI a annoncé le lancement d’un programme de certifications en IA, intégré à son outil ChatGPT via le mode Study. Cette offre couvrira différents niveaux de maîtrise, allant des usages basiques aux compétences avancées comme le prompt engineering. L’ambition affichée est de certifier dix millions d’Américains d’ici 2030, en partenariat avec des acteurs majeurs tels que Walmart, John Deere, Accenture, Indeed ou encore des institutions locales comme la Texas Association of Business et le gouvernement du Delaware.
Cette démarche s’inscrit dans un contexte de mutation profonde du marché de l’emploi. De nombreuses études, reprises par des dirigeants comme Dario Amodei (CEO d’Anthropic), estiment que l’IA pourrait supprimer une grande partie des postes d’entrée de gamme dans les prochaines années. OpenAI reconnaît cette réalité mais affirme vouloir offrir une alternative en facilitant l’adaptation des travailleurs à ces transformations. « Nous ne pouvons pas éliminer la disruption, mais nous pouvons aider davantage de personnes à devenir fluentes en IA et à trouver des opportunités économiques », a expliqué Fidji Simo.
En parallèle, OpenAI a annoncé le lancement d’un programme de certifications en IA, intégré à son outil ChatGPT via le mode Study. Cette offre couvrira différents niveaux de maîtrise, allant des usages basiques aux compétences avancées comme le prompt engineering. L’ambition affichée est de certifier dix millions d’Américains d’ici 2030, en partenariat avec des acteurs majeurs tels que Walmart, John Deere, Accenture, Indeed ou encore des institutions locales comme la Texas Association of Business et le gouvernement du Delaware.
Cette démarche s’inscrit dans un contexte de mutation profonde du marché de l’emploi. De nombreuses études, reprises par des dirigeants comme Dario Amodei (CEO d’Anthropic), estiment que l’IA pourrait supprimer une grande partie des postes d’entrée de gamme dans les prochaines années. OpenAI reconnaît cette réalité mais affirme vouloir offrir une alternative en facilitant l’adaptation des travailleurs à ces transformations. « Nous ne pouvons pas éliminer la disruption, mais nous pouvons aider davantage de personnes à devenir fluentes en IA et à trouver des opportunités économiques », a expliqué Fidji Simo.
