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OpenAI entre dans une nouvelle phase de son expansion. Selon le Financial Times, l’entreprise californienne a entamé des discussions préliminaires en vue d’une vente secondaire d’actions réservée à ses salariés, actuels et anciens, sur la base d’une valorisation de 500 milliards de dollars. Un chiffre en forte hausse par rapport à l’estimation de 300 milliards avancée début 2025.
Courante dans l’univers des géants de la tech non cotés, ce type d’opération permet aux collaborateurs de monnayer leurs parts avant une éventuelle introduction en Bourse. Aucune date n’a encore été fixée pour une IPO, mais la directrice financière de la société avait prévenu en mai dernier : l’entrée en Bourse n’aura lieu que lorsque « l’entreprise et les marchés seront prêts ». En attendant, cette vente privée apparaît comme un outil stratégique pour fidéliser les talents clés.
Et c’est bien là l’enjeu. Car la guerre des cerveaux fait rage dans l’intelligence artificielle. Meta, emmené par un Mark Zuckerberg plus déterminé que jamais, multiplie les offensives. Après avoir débauché plusieurs chercheurs d’OpenAI, le groupe s’est offert 49 % de Scale AI pour 14,8 milliards de dollars, enrôlant au passage son fondateur Alexandr Wang, 28 ans, à la tête de son unité "super intelligence".
Face à cette pression concurrentielle, OpenAI renforce son socle humain et technologique. La plateforme ChatGPT compte désormais 700 millions d’utilisateurs hebdomadaires, contre 400 millions en février, et son chiffre d’affaires annualisé a doublé pour atteindre 12 milliards de dollars. Selon les projections, l’entreprise vise les 20 milliards de revenus d’ici fin 2025.
Dans les coulisses, les investisseurs se préparent également à jouer un rôle de premier plan. Thrive Capital, déjà au capital, pourrait participer à la nouvelle opération. SoftBank, quant à lui, s’est engagé à injecter 22,5 milliards de dollars dans le cadre d’un tour de table de 40 milliards de dollars lancé plus tôt cette année. Il a jusqu’à la fin 2025 pour finaliser son apport.
Autre chantier de taille : OpenAI réfléchirait à une restructuration interne profonde. L’entreprise envisage d’abandonner son modèle économique à but lucratif plafonné, une décision stratégique qui ouvrirait la voie à une future entrée en Bourse et marquerait un tournant majeur dans l’histoire du géant de l’IA.
Courante dans l’univers des géants de la tech non cotés, ce type d’opération permet aux collaborateurs de monnayer leurs parts avant une éventuelle introduction en Bourse. Aucune date n’a encore été fixée pour une IPO, mais la directrice financière de la société avait prévenu en mai dernier : l’entrée en Bourse n’aura lieu que lorsque « l’entreprise et les marchés seront prêts ». En attendant, cette vente privée apparaît comme un outil stratégique pour fidéliser les talents clés.
Et c’est bien là l’enjeu. Car la guerre des cerveaux fait rage dans l’intelligence artificielle. Meta, emmené par un Mark Zuckerberg plus déterminé que jamais, multiplie les offensives. Après avoir débauché plusieurs chercheurs d’OpenAI, le groupe s’est offert 49 % de Scale AI pour 14,8 milliards de dollars, enrôlant au passage son fondateur Alexandr Wang, 28 ans, à la tête de son unité "super intelligence".
Face à cette pression concurrentielle, OpenAI renforce son socle humain et technologique. La plateforme ChatGPT compte désormais 700 millions d’utilisateurs hebdomadaires, contre 400 millions en février, et son chiffre d’affaires annualisé a doublé pour atteindre 12 milliards de dollars. Selon les projections, l’entreprise vise les 20 milliards de revenus d’ici fin 2025.
Dans les coulisses, les investisseurs se préparent également à jouer un rôle de premier plan. Thrive Capital, déjà au capital, pourrait participer à la nouvelle opération. SoftBank, quant à lui, s’est engagé à injecter 22,5 milliards de dollars dans le cadre d’un tour de table de 40 milliards de dollars lancé plus tôt cette année. Il a jusqu’à la fin 2025 pour finaliser son apport.
Autre chantier de taille : OpenAI réfléchirait à une restructuration interne profonde. L’entreprise envisage d’abandonner son modèle économique à but lucratif plafonné, une décision stratégique qui ouvrirait la voie à une future entrée en Bourse et marquerait un tournant majeur dans l’histoire du géant de l’IA.
