C'est ainsi qu'au cours de la première partie qui opposa le MAS de Fès à la jeunesse de Layoune, les spectateurs eurent leur pesant d'émotions, avec un départ en trombe des Sahraouis qui ouvrirent le score par Adil (69e) puis un retour en force du MAS qui arracha une belle victoire grâce à un doublé de Naciri (75e et 86e) et de deux autres buts signés Hirech (71e) et Baroudi (88e).
Quand à l'autre match vedette qui mettait en prise le WAC à son éternel rival de quartier qu'est le Raja de Casablanca, il fut remporté par les hommes de Lozano grâce à un but miraculeux de Kadouri (102e) marqué dans les prolongations.
Ce choc qui constituait d'ailleurs la tête d'affiche, ne devait guère tenir ses promesses, tout au moins au niveau de la qualité du jeu et de l'esprit qui aurait dû logiquement y régner. Et si, en définitive, le Raja fut battu, il n'aura à s'en prendre qu'à lui même, pour n'avoir pas su présenter ce jour là un spectacle digne d'un champion sortant. Il semble bien que l'équipe rajaouie ait été mal faite. Sans doute, les “verts” ont-ils eu des blessés, mais cela n'explique pas ce déclin. Ce qui est d'autant plus dommage que le public, ce public fervent, chaleureux et fidèle, n'a jamais boudé.
Et coucou, le revoilà! comme dans les jeux des petits enfants, le WAC est de retour. On sait que le club le plus célèbre du pays était rentré dans les rangs. Après avoir trusté les titres, accumulé un formidable capital de gloire, fait courir les foules, le WAC “ratait” coupes et championnats. Certains versèrent des pleurs, quelques une se réjouissent, car trop de gloire indispose, mais le plus grand nombre s'inquiéta, car il était pénible, voire cruel à quelques uns d'entre nous, d'assister au déclin du WAC, tel un parent très cher qui s'éteind doucement.
Le mot de la fin, nous le reservons à un fervent supporter des blancs et rouges (n'est ce pas Bennis Driss) : (je crois nous dit-il,que le WAC avait besoin d'un déclic surtout devant un pareil adversaire pour voir plus clair et pour prendre conscience de ses possibilités et repartir sur de nouvelles bases”.
Espérons le? Comme nous espérons aussi que le WAC ne va pas encore une fois perdre ce match... sur tapis vert.
Quand à l'autre match vedette qui mettait en prise le WAC à son éternel rival de quartier qu'est le Raja de Casablanca, il fut remporté par les hommes de Lozano grâce à un but miraculeux de Kadouri (102e) marqué dans les prolongations.
Ce choc qui constituait d'ailleurs la tête d'affiche, ne devait guère tenir ses promesses, tout au moins au niveau de la qualité du jeu et de l'esprit qui aurait dû logiquement y régner. Et si, en définitive, le Raja fut battu, il n'aura à s'en prendre qu'à lui même, pour n'avoir pas su présenter ce jour là un spectacle digne d'un champion sortant. Il semble bien que l'équipe rajaouie ait été mal faite. Sans doute, les “verts” ont-ils eu des blessés, mais cela n'explique pas ce déclin. Ce qui est d'autant plus dommage que le public, ce public fervent, chaleureux et fidèle, n'a jamais boudé.
Et coucou, le revoilà! comme dans les jeux des petits enfants, le WAC est de retour. On sait que le club le plus célèbre du pays était rentré dans les rangs. Après avoir trusté les titres, accumulé un formidable capital de gloire, fait courir les foules, le WAC “ratait” coupes et championnats. Certains versèrent des pleurs, quelques une se réjouissent, car trop de gloire indispose, mais le plus grand nombre s'inquiéta, car il était pénible, voire cruel à quelques uns d'entre nous, d'assister au déclin du WAC, tel un parent très cher qui s'éteind doucement.
Le mot de la fin, nous le reservons à un fervent supporter des blancs et rouges (n'est ce pas Bennis Driss) : (je crois nous dit-il,que le WAC avait besoin d'un déclic surtout devant un pareil adversaire pour voir plus clair et pour prendre conscience de ses possibilités et repartir sur de nouvelles bases”.
Espérons le? Comme nous espérons aussi que le WAC ne va pas encore une fois perdre ce match... sur tapis vert.