Dans une déclaration à l'agence MAP, M. Pique a souligné l'engagement des deux pays voisins à raffermir ces relations dans le respect de leurs intérêts stratégiques respectifs en dépit des circonstances conjoncturelles.
L'Espagne qui prend en considération le développement du Maroc aux plans institutionnel, économique et social, souhaite donner un grand élan à ses relations avec le Royaume qui revêtent un caractère prioritaire dans sa politique extérieure, a affirmé M. Pique. C'est une évidence qui n'échappe à aucun observateur que le Maroc, à l'exception des pays membres de l'Union européenne, est le pays avec lequel l'Espagne entretient les rapports les plus étroits, a souligné M. Pique qui fait état des multiples liens économiques, financiers et culturels existant entre les deux pays.
Rappelant la présence au Royaume de près d'un millier d'entreprises espagnoles opérant dans différents secteurs, M. Pique a signalé que son pays, à côté de la France, est le premier investisseur, le principal fournisseur et partenaire commercial du Maroc. Il a également fait état de la disposition de son pays à soutenir l'effort de développement des régions et provinces du Nord. Il a aussi évoqué la présentation d'un programme d'approvisionnement en gaz de la zone côtière la plus peuplée du Royaume (Casablanca-Rabat).
Le chef de la diplomatie espagnole a, d'autre part, affirmé que des concertations sont en cours entre les deux pays pour la tenue, le plus tôt possible, de la réunion de haut niveau. Celle-ci, a-t-il expliqué, n'a pas pu avoir lieu en 2000, José Maria Aznar, président du gouvernement avait effectué une visite officielle au Maroc, laquelle a été suivie, quelques mois plus tard, de la visite d'Etat de S.M. le Roi Mohammed VI, en septembre dernier, en Espagne. La visite d'Etat du Souverain, qui était accompagné d'une importante délégation ministérielle, avait permis, en outre, de fructueux contacts entre les deux gouvernements, a souligné M. Pique.
Le ministre espagnol a, par ailleurs, précisé que l'Espagne abrite une forte communauté marocaine composée de près de 250.000 membres et que son pays s'engage à accueillir, à travers des canaux légaux, des Marocains dont son économie a besoin. A cet égard, il a signalé que la loi sur les droits et obligations des étrangers et leur intégration sociale, en vigueur depuis le 23 janvier dernier, offre des garanties aux immigrés en termes de droits sociaux, économiques et politiques. Parallèlement, la politique migratoire espagnole s'appuie sur des instruments légaux dans la lutte avec vigueur et fermeté contre l'immigration irrégulière, a-t-il relevé.
Le Maroc et l'Espagne, armés d'une sincère volonté de coopération, sont appelés à œuvrer ensemble pour un avenir meilleur et un développement de leurs relations dans tous les domaines, a conclu M. Josep Pique.
L'Espagne qui prend en considération le développement du Maroc aux plans institutionnel, économique et social, souhaite donner un grand élan à ses relations avec le Royaume qui revêtent un caractère prioritaire dans sa politique extérieure, a affirmé M. Pique. C'est une évidence qui n'échappe à aucun observateur que le Maroc, à l'exception des pays membres de l'Union européenne, est le pays avec lequel l'Espagne entretient les rapports les plus étroits, a souligné M. Pique qui fait état des multiples liens économiques, financiers et culturels existant entre les deux pays.
Rappelant la présence au Royaume de près d'un millier d'entreprises espagnoles opérant dans différents secteurs, M. Pique a signalé que son pays, à côté de la France, est le premier investisseur, le principal fournisseur et partenaire commercial du Maroc. Il a également fait état de la disposition de son pays à soutenir l'effort de développement des régions et provinces du Nord. Il a aussi évoqué la présentation d'un programme d'approvisionnement en gaz de la zone côtière la plus peuplée du Royaume (Casablanca-Rabat).
Le chef de la diplomatie espagnole a, d'autre part, affirmé que des concertations sont en cours entre les deux pays pour la tenue, le plus tôt possible, de la réunion de haut niveau. Celle-ci, a-t-il expliqué, n'a pas pu avoir lieu en 2000, José Maria Aznar, président du gouvernement avait effectué une visite officielle au Maroc, laquelle a été suivie, quelques mois plus tard, de la visite d'Etat de S.M. le Roi Mohammed VI, en septembre dernier, en Espagne. La visite d'Etat du Souverain, qui était accompagné d'une importante délégation ministérielle, avait permis, en outre, de fructueux contacts entre les deux gouvernements, a souligné M. Pique.
Le ministre espagnol a, par ailleurs, précisé que l'Espagne abrite une forte communauté marocaine composée de près de 250.000 membres et que son pays s'engage à accueillir, à travers des canaux légaux, des Marocains dont son économie a besoin. A cet égard, il a signalé que la loi sur les droits et obligations des étrangers et leur intégration sociale, en vigueur depuis le 23 janvier dernier, offre des garanties aux immigrés en termes de droits sociaux, économiques et politiques. Parallèlement, la politique migratoire espagnole s'appuie sur des instruments légaux dans la lutte avec vigueur et fermeté contre l'immigration irrégulière, a-t-il relevé.
Le Maroc et l'Espagne, armés d'une sincère volonté de coopération, sont appelés à œuvrer ensemble pour un avenir meilleur et un développement de leurs relations dans tous les domaines, a conclu M. Josep Pique.