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Au-delà de son caractère mondain, l'événement a permis de dévoiler une autre facette du «Little Big man» marocain qui se révèle un artiste engagé pour l'amitié, pour son pays d'origine et pour la cause des communautés des étrangers vivant en Europe et partout dans le monde.
Le dimanche après-midi, les invités de Jamal Debbouze et de Puff Daddy ont découvert à la Palmeraie la saveur du méchoui au feu de bois et autres délices de la cuisine marocaine. La musique Rap ravivait l'ambiance et donnait un avant-goût de la fête qui allait être organisée pendant la soirée. Ici et là, des groupes se sont constitués autour de Jamal qui ne s'est, à aucun moment, départi de son sens de l'humour ou encore autour de Joey Starr, fidèle à son style désinvolte et plein de charme. Plus tard, Jamal et Puff Daddy donnaient une conférence de presse. Les questions ont fusé et cela a permis à Jamal Debbouze d'affirmer que la promotion de l'image d'un Maroc tolérant, pays de paix et d'ouverture, était une mission pour laquelle il se déploie corps et âme. Une mission délicate, ajoute-t-il, qui exige la conjugaison des efforts de toutes les potentialités du pays. Or, les Marocains résidant à l'étranger sont, selon lui, mieux placés pour engager les actions à même de lutter contre les préjugés.
De son côté, Puff Daddy a déploré l'incompréhension dont sont victimes les communautés étrangères aux Etats-Unis, notamment les Arabes et les Musulmans.
«Si une personne se rend coupable d'un forfait, faut-il blâmer tous ses semblables ?» s'est-il demandé. En fervent promoteur du brassage entre les cultures et les civilisations, le rappeur américain a déclaré ne pas se fier aux stéréotypes. D'ailleurs, il a répondu sans la moindre hésitation à l'invitation de Jamal Debbouze. «Mes amis, aussi, étaient heureux de venir au Maroc», conclut la star américaine.
Par ailleurs, cet événement a aussi un objectif économique prononcé. La participation de l'Office marocain du tourisme et de la RAM visent essentiellement à promouvoir le tourisme marocain. Ces invités de marque peuvent, en effet, en être de bons ambassadeurs dans leurs pays.
Pour le responsable de la RAM, cette opération s'inscrit dans le plan de communication de l'entreprise qui compte conquérir de nouveaux marchés, en particulier le marché américain. En assurant une liaison directe pour transporter les invités de M. Debbouze, la RAM aura posé les jalons d'un ciblage renforcé du touriste américain. Lorsque la demande deviendra intéressante, ces vols directs deviendront réguliers à une fréquence rapide, a-t-il précisé.
Enfin, Jamal Debbouze n'a pas omis de rappeler son attachement au cinéma et sa volonté de promouvoir cette industrie au Maroc. La création de nouveaux studios de tournage à Marrakech en est la preuve. «Au Maroc, dit-il, il n'ya pas que le soleil. Les productions doivent reconsidérer l'artiste et le technicien marocain... Nous œuvrerons dans ce sens».
Somme toute, l'événement aura réussi à donner un exemple du bon accueil, montré la joie de vivre du Marocain, et promu une image chaleureuse du pays du soleil. Une réussite qui va «au-delà de mes espérances», conclut Jamal Debbouze.
Le dimanche après-midi, les invités de Jamal Debbouze et de Puff Daddy ont découvert à la Palmeraie la saveur du méchoui au feu de bois et autres délices de la cuisine marocaine. La musique Rap ravivait l'ambiance et donnait un avant-goût de la fête qui allait être organisée pendant la soirée. Ici et là, des groupes se sont constitués autour de Jamal qui ne s'est, à aucun moment, départi de son sens de l'humour ou encore autour de Joey Starr, fidèle à son style désinvolte et plein de charme. Plus tard, Jamal et Puff Daddy donnaient une conférence de presse. Les questions ont fusé et cela a permis à Jamal Debbouze d'affirmer que la promotion de l'image d'un Maroc tolérant, pays de paix et d'ouverture, était une mission pour laquelle il se déploie corps et âme. Une mission délicate, ajoute-t-il, qui exige la conjugaison des efforts de toutes les potentialités du pays. Or, les Marocains résidant à l'étranger sont, selon lui, mieux placés pour engager les actions à même de lutter contre les préjugés.
De son côté, Puff Daddy a déploré l'incompréhension dont sont victimes les communautés étrangères aux Etats-Unis, notamment les Arabes et les Musulmans.
«Si une personne se rend coupable d'un forfait, faut-il blâmer tous ses semblables ?» s'est-il demandé. En fervent promoteur du brassage entre les cultures et les civilisations, le rappeur américain a déclaré ne pas se fier aux stéréotypes. D'ailleurs, il a répondu sans la moindre hésitation à l'invitation de Jamal Debbouze. «Mes amis, aussi, étaient heureux de venir au Maroc», conclut la star américaine.
Par ailleurs, cet événement a aussi un objectif économique prononcé. La participation de l'Office marocain du tourisme et de la RAM visent essentiellement à promouvoir le tourisme marocain. Ces invités de marque peuvent, en effet, en être de bons ambassadeurs dans leurs pays.
Pour le responsable de la RAM, cette opération s'inscrit dans le plan de communication de l'entreprise qui compte conquérir de nouveaux marchés, en particulier le marché américain. En assurant une liaison directe pour transporter les invités de M. Debbouze, la RAM aura posé les jalons d'un ciblage renforcé du touriste américain. Lorsque la demande deviendra intéressante, ces vols directs deviendront réguliers à une fréquence rapide, a-t-il précisé.
Enfin, Jamal Debbouze n'a pas omis de rappeler son attachement au cinéma et sa volonté de promouvoir cette industrie au Maroc. La création de nouveaux studios de tournage à Marrakech en est la preuve. «Au Maroc, dit-il, il n'ya pas que le soleil. Les productions doivent reconsidérer l'artiste et le technicien marocain... Nous œuvrerons dans ce sens».
Somme toute, l'événement aura réussi à donner un exemple du bon accueil, montré la joie de vivre du Marocain, et promu une image chaleureuse du pays du soleil. Une réussite qui va «au-delà de mes espérances», conclut Jamal Debbouze.
