Cette manifestation, initiée par l'Unité de formation et de recherche de la terminologie littéraire en collaboration avec la délégation du ministère de la Culture, a été une occasion pour aborder les particularités du récit de voyage et sa contribution dans l'acquisition d'images et de concepts spécifiques au moi, à l'ego et à l'identité collective.
M. Abderahim Mouden, professeur à la Faculté des lettres de Kénitra et président de l'UFR de la terminologie littéraire, s'est penché, dans son intervention sur le lien entre le guide et le récit de voyage, se demandant si l'on peut considérer le guide comme étant un récit de voyage. L'intervenant a relevé que le guide se rapproche du récit de voyage, tout en gardant ses particularités relatives notamment à l'absence du style narratif, à langue technique et à son aspect d'écrit commercial.
De son côté, M. Hassan Amili, professeur à la Faculté des lettres de Mohammedia s'est penché à travers l'ouvrage du prêtre Peer Dan «L'histoire de Barbarita et ses corsaires» sur la manière de penser le moi, l'autre et le conflit entre les deux à travers plusieurs images dont la religion, la femme...etc.
M. Shouaib Halifi, professeur à la Faculté des Lettres Ben M'sick-Casablanca, a quant à lui essayé dans son intervention sur «le récit de voyage, la constitution du moi, de l'imaginaire et de l'autre», de fragmenter ces trois éléments toujours présents dans le récit de voyage, en se penchant sur les différents niveaux de cette constitution.
L'intervention du chercheur Noureddine Zahi sur l'image de la société marocaine dans le texte ethnographique, à travers le récit d'Edmond Doti, s'est articulée autour de la vision sociologique et ethnographique du récit de voyage chez les colons européens au début du 20ème siècle.
Pour sa part, Mme Khadija Merouazi, professeur à la Faculté des lettres de Kénitra a établi une comparaison entre deux générations d'écrivains qui ont voyagé aux Etats-Unis, prenant comme exemple Leila Abouzide, qui a eu une vision rigoureuse sur l'Amérique, mettant à nu tous ses paradoxes et d'autre part Youssef Amine El Alami qui a porté un regard ironique sur la société américaine.
M. Abderahim Mouden, professeur à la Faculté des lettres de Kénitra et président de l'UFR de la terminologie littéraire, s'est penché, dans son intervention sur le lien entre le guide et le récit de voyage, se demandant si l'on peut considérer le guide comme étant un récit de voyage. L'intervenant a relevé que le guide se rapproche du récit de voyage, tout en gardant ses particularités relatives notamment à l'absence du style narratif, à langue technique et à son aspect d'écrit commercial.
De son côté, M. Hassan Amili, professeur à la Faculté des lettres de Mohammedia s'est penché à travers l'ouvrage du prêtre Peer Dan «L'histoire de Barbarita et ses corsaires» sur la manière de penser le moi, l'autre et le conflit entre les deux à travers plusieurs images dont la religion, la femme...etc.
M. Shouaib Halifi, professeur à la Faculté des Lettres Ben M'sick-Casablanca, a quant à lui essayé dans son intervention sur «le récit de voyage, la constitution du moi, de l'imaginaire et de l'autre», de fragmenter ces trois éléments toujours présents dans le récit de voyage, en se penchant sur les différents niveaux de cette constitution.
L'intervention du chercheur Noureddine Zahi sur l'image de la société marocaine dans le texte ethnographique, à travers le récit d'Edmond Doti, s'est articulée autour de la vision sociologique et ethnographique du récit de voyage chez les colons européens au début du 20ème siècle.
Pour sa part, Mme Khadija Merouazi, professeur à la Faculté des lettres de Kénitra a établi une comparaison entre deux générations d'écrivains qui ont voyagé aux Etats-Unis, prenant comme exemple Leila Abouzide, qui a eu une vision rigoureuse sur l'Amérique, mettant à nu tous ses paradoxes et d'autre part Youssef Amine El Alami qui a porté un regard ironique sur la société américaine.