Pratiquant la défense à outrance et exerçant un marquage individuel strict sur le porteur du ballon, les Cairotes ont étouffé les attaquants casablancais à l'image d'Aboucharouane et de François flanqués d'un «garde du corps» permanent.
Les quarante-cinq premières minutes furent insipides et fort ennuyeuses. Cantonnés en défense les «Zamalkaouis» se contentaient de renvoyer à l'emporte-pièce toutes les balles aériennes expédiées par les «Rajaouis».
En effet, gênés par l'état lourd de la pelouse, les «Verts» ne purent développer leur jeu habituel fait de passes courtes et se mirent à pratiquer un jeu aérien, ce qui fit le bonheur des athlétiques arrières du Zamalek. Hamid Nater et surtout Zakaria Aboub, en petite forme, ont énormément handicapé le rendement du milieu du terrain du Raja. Ce n'est qu'après la rentrée de Sami Tajjedine en seconde mi-temps que la machine rajaouie se mit à fonctionner quelque peu et à inquiéter le portier Albdelwahed Sayed. Ce dernier allait s'interposer avec brio à un tir tendu des 20m déclenché par Tajjedine (81ème).
Et malgré quelques attaques menées en fin de rencontre par Aboucharouane et François, la défense du Zamalek tiendra bon et préservera ses filets vierges.
Dans quinze jours, au Caire, toute le pression sera sur les épaules des joueurs égyptiens qui devront, à leur tour, faire le jeu.
Ils seront par conséquent obligés d'attaquer et c'est là où résidera une éventuelle chance pour le Raja.
Car, rappelons-le, un simple nul (1 - 1 ou 2 - 2) qualifierait les Marocains. Et ce n'est guère impossible pour le Raja qui a toujours bien évolué sur la pelouse du stadium international du Caire.
Et pour mémoire rappelons que le Raja avait remporté deux finales de cette coupe d'Afrique à l'extérieur, en 1989 à Oran et en 1999 à Tunis.
Les quarante-cinq premières minutes furent insipides et fort ennuyeuses. Cantonnés en défense les «Zamalkaouis» se contentaient de renvoyer à l'emporte-pièce toutes les balles aériennes expédiées par les «Rajaouis».
En effet, gênés par l'état lourd de la pelouse, les «Verts» ne purent développer leur jeu habituel fait de passes courtes et se mirent à pratiquer un jeu aérien, ce qui fit le bonheur des athlétiques arrières du Zamalek. Hamid Nater et surtout Zakaria Aboub, en petite forme, ont énormément handicapé le rendement du milieu du terrain du Raja. Ce n'est qu'après la rentrée de Sami Tajjedine en seconde mi-temps que la machine rajaouie se mit à fonctionner quelque peu et à inquiéter le portier Albdelwahed Sayed. Ce dernier allait s'interposer avec brio à un tir tendu des 20m déclenché par Tajjedine (81ème).
Et malgré quelques attaques menées en fin de rencontre par Aboucharouane et François, la défense du Zamalek tiendra bon et préservera ses filets vierges.
Dans quinze jours, au Caire, toute le pression sera sur les épaules des joueurs égyptiens qui devront, à leur tour, faire le jeu.
Ils seront par conséquent obligés d'attaquer et c'est là où résidera une éventuelle chance pour le Raja.
Car, rappelons-le, un simple nul (1 - 1 ou 2 - 2) qualifierait les Marocains. Et ce n'est guère impossible pour le Raja qui a toujours bien évolué sur la pelouse du stadium international du Caire.
Et pour mémoire rappelons que le Raja avait remporté deux finales de cette coupe d'Afrique à l'extérieur, en 1989 à Oran et en 1999 à Tunis.