La chanson, expression vivante accessible à tous les âges et à tous les niveaux de compétence, est un merveilleux outil pédagogique. C’est aussi le vivier dans lequel les enfants peuvent découvrir un peu de ce qui fait leur quotidien et aussi leur histoire. Pourtant, ce genre à part entière, dont les spécialistes confirment l’importance souffre d’un manque d’intérêt flagrant dans le monde arabe en général.
Le colloque a avancé plusieurs raisons à cette situation. Il y a d’abord tous les problèmes d’ordre structurel liés à la production et à la réalisation, la chanson de l’enfant devant répondre à un certain nombre de critères tant sur le fond que sur la forme. Il y a ensuite ce préjugé qui laisse croire qu’écrire des chansons destinées à l’enfant, n’est qu’accessoire et peu valorisant. Résultat : l’absence d’un fond de textes poétiques.
Ces deux arguments, bien qu’ils constituent les deux grandes entraves au développement de la chanson de l’enfant, tomberaient bien vite pour peu qu’on accorde plus d’attention à cette question.
Les télévisions et radios publiques ont un rôle éducatif incontestable et elles se doivent de le jouer pleinement. Elles pourraient encourager l’écriture et la réalisation de chansons pour enfants en servant de producteur pour ce genre artistique. Pour ce qui est de la matière première, il n’y a qu’à puiser dans notre patrimoine suffisamment riche pour approvisionner en permanence les artistes.
Engager une réflexion sur la chanson de l’enfant et son apport non négligeable dans le sentiment d’appartenance à la culture arabe est louable. Il convient toutefois de l’inscrire dans le temps et de travailler pour que les idées développées sur un plan théorique prennent forme dans la réalité.
Le colloque a avancé plusieurs raisons à cette situation. Il y a d’abord tous les problèmes d’ordre structurel liés à la production et à la réalisation, la chanson de l’enfant devant répondre à un certain nombre de critères tant sur le fond que sur la forme. Il y a ensuite ce préjugé qui laisse croire qu’écrire des chansons destinées à l’enfant, n’est qu’accessoire et peu valorisant. Résultat : l’absence d’un fond de textes poétiques.
Ces deux arguments, bien qu’ils constituent les deux grandes entraves au développement de la chanson de l’enfant, tomberaient bien vite pour peu qu’on accorde plus d’attention à cette question.
Les télévisions et radios publiques ont un rôle éducatif incontestable et elles se doivent de le jouer pleinement. Elles pourraient encourager l’écriture et la réalisation de chansons pour enfants en servant de producteur pour ce genre artistique. Pour ce qui est de la matière première, il n’y a qu’à puiser dans notre patrimoine suffisamment riche pour approvisionner en permanence les artistes.
Engager une réflexion sur la chanson de l’enfant et son apport non négligeable dans le sentiment d’appartenance à la culture arabe est louable. Il convient toutefois de l’inscrire dans le temps et de travailler pour que les idées développées sur un plan théorique prennent forme dans la réalité.
