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Une série d’opérations orchestrées avec un art consommé du cynisme et un instinct criminel: cinq attentats-suicides, officiellement 41 morts, dont 10 kamikazes, près de 100 blessés,des dégâts qui se chiffrent en centaines de millions de dirhams et puis, et ce n’est pas la moindre des répercussions si l’on n’y remédiait pas, la menace qui plane sur notre économie, sur les investissements et le tourisme. Non que l’insécurité soit à ce point de mise, non que la terreur puisse en quoi que ce soit démobiliser la vigilance des forces de sécurité ou entamer la confiance des citoyens en leurs institutions.La preuve en est que ceux qui survivent des kamikazes, ont été arrêtés et identifiés comme étant trois Marocains et deux «étrangers»... Ils déballeront les ressorts de leur criminelle entreprise.
Quelques jours seulement ont séparé les attentats de Ryad en Arabie Saoudite et ceux de Casablanca. Mais une similitude frappante les ramène à une même logistique, à des choix analogues des cibles symboliques, au recours à des charges explosives alimentées en clous et en fer pour faire violent. De Ryad à Casablanca, c’est le même fil noir du terrorisme aveugle, il plonge ses racines loin, dans cette nébuleuse terroriste partie de New York un certain 11 septembre et que les analystes politiques et sécuritaires ont immédiatement identifiée. Comme toujours, ce terrorisme qui se nourrit de la hargne aveugle contre le progrès et la démocratie, importe ses méthodes pour s’attaquer au processus de modernisation du pays, pour anéantir les idéaux démocratiques et briser l’unité nationale.
Ce n’est pas par hasard que, réagissant parmi les premiers, George W. Bush ait exprimé ses inquiétudes et décidé de suivre de très près l’évolution des événements.
Quelques jours seulement ont séparé les attentats de Ryad en Arabie Saoudite et ceux de Casablanca. Mais une similitude frappante les ramène à une même logistique, à des choix analogues des cibles symboliques, au recours à des charges explosives alimentées en clous et en fer pour faire violent. De Ryad à Casablanca, c’est le même fil noir du terrorisme aveugle, il plonge ses racines loin, dans cette nébuleuse terroriste partie de New York un certain 11 septembre et que les analystes politiques et sécuritaires ont immédiatement identifiée. Comme toujours, ce terrorisme qui se nourrit de la hargne aveugle contre le progrès et la démocratie, importe ses méthodes pour s’attaquer au processus de modernisation du pays, pour anéantir les idéaux démocratiques et briser l’unité nationale.
Ce n’est pas par hasard que, réagissant parmi les premiers, George W. Bush ait exprimé ses inquiétudes et décidé de suivre de très près l’évolution des événements.
