Connexion
Evénement exceptionnel pour le continent africain qui abritera, enfin, la prestigieuse Coupe “ Jules Rimet ”. Il le sera également pour le Royaume, plus que jamais décidé à rivaliser avec les autres nations prétendant à la même organisation, notamment l’Afrique du Sud et l’Egypte, si l’on exclut la Tunisie, s’étant retirée de la course et, par conséquent, son coorganisateur la Libye.
A l’encontre des autres dossiers présentés par le Maroc, celui qui sera voté ce samedi 15 mai à Zurich, bénéficie de toutes les chances de permettre à notre pays de remporter cette course à laquelle sont associés tous ceux qui nous soutiennent. Un optimisme de rigueur que l’on doit à plusieurs éléments ne figurant pas sur les dossiers précédents.
L’engagement du gouvernement marocain à travers les nombreuses correspondances adressées à la FIFA par le Premier ministre marocain, M. Driss Jettou, représente la meilleure des garanties pour la tenue au Maroc de la Coupe du monde 2010.
Dans cet élan gouvernemental officiel, d’autres ministères saisiront l’instance footballistique internationale des garanties de leurs départements respectifs pour la tenue au Maroc de cet événement sportif planétaire. Il s’agit des ministères des Finances et de la Privatisation, de l’Intérieur, de l’Industrie, du Commerce et de Télécommunications, du Tourisme et de la Santé. Tous ces derniers s’engagent de leur part à assurer toutes les garanties et les conditions prévues dans la section 4 du cahier des charges, notamment en matière d’infrastructures sportive, hôtelière et sanitaire, à la sécurité des participants, la presse, le change, les visas et le transport, la douane, la publicité et autres, autant de charges qui seront remplies par le gouvernement.
Un gouvernement marocain qui se veut rassurant aux yeux de la FIFA, puisqu’il s’engage à couvrir un éventuel déficit qu’engendrera la tenue au Maroc de la Coupe du monde 2010. 140 millions d’euros seront déposés au “ Crédit Suisse ” à cet effet, si le Maroc bénéficie de l’organisation de l’édition.
Une organisation faisant partie intégrante du plan de développement économique au Maroc.
De telles garanties représentant la force de notre dossier ne manqueront guère d’attirer beaucoup d’attention, notamment celle de M. Blatter, président de la FIFA qui, lors d’une visite au Maroc, n’a pas hésité à déclarer que le Royaume dispose de grands atouts pour décrocher cette organisation.
Une candidature faisant l’unanimité
Une opinion que se partagent avec lui d’autres grands noms parmi les acteurs du football mondial dont nous citons les Issa Hayatou, président de la CAF, Ben Hammam, président de l’Union asiatique de football, et plus particulièrement le docteur Ahmed Tani Doussari, président de l’Union émiratie de football, membre actif de l’Association Maroc 2010 que préside Saâd El Kettani.
Un dossier bénéficiant par ailleurs du soutien politique des amis du Royaume à l’image de l’Arabie Saoudite, l’Espagne ou la France pour ne citer que ceux-là.
L’Association Maroc 2010, ayant évolué sur tous les fronts dont les membres retiennent leur souffle en attendant le résultat du verdict, ont joué toutes les cartes gagnantes y compris le recours aux services d’experts de gros calibres, tels les Alain Rothenberg, architecte de l’organisation de la Coupe du monde de 1994 (USA), ou encore Daniel Rupt, organisateur de la Coupe du monde du Japon et de la Corée du Sud.Leur expérience dans le domaine donnera un plus à notre dossier.
Au Maroc, la candidature à organiser la Coupe du monde de football 2010 a suscité la mobilisation de toutes les instances sportives nationales, le secteur privé et public, les ONG et même l’homme de la rue, qui font l’unanimité autour de cet agencement.
Fédération de football, golf, handball, rugby, sport scolaire, basket-ball, volley-ball, athlétisme, cyclisme et j’en passe, croyant aux chances du Maroc, apportent tous leur soutien à l’action de l’Association Maroc 2010, car l’organisation de cette édition au Maroc se traduira par un développement tous azimuts.
Partant de l’infrastructure sportive, 9 stades dans les plus grandes villes du Royaume, soit une capacité totale de 459.000 places, passant par l’enrichissement du patrimoine touristique, augmentation de la capacité d’accueil des touristes étrangers, inscrite dans la Vision 2010 (10 millions de touristes). Terminant par la dotation d’un réseau autoroutier permettant un meilleur confort dans le déplacement à travers les villes de Tanger à Agadir. Autant de facteurs justifiant l’implication sans réserve du gouvernement et de toutes les composantes de la société marocaine. Mais qu’en est-il de nos chances ?
Malgré les spéculations des rapports donnant l’avantage à l’Afrique du Sud, le verdict du 15 mai pourrait surprendre certains pronostiqueurs, puisqu’en dehors de tout ce qui a été relaté dans cet article, d’autres paramètres entrent en jeu dans l’attribution de l’organisation du Mondial 2010 au Maroc.
Le soutien de nos amis et voisins, la proximité par rapport au continent européen, la sécurité malgré cet insignifiant événement de Casablanca par rapport à ce qui se passe dans le monde, sans oublier cette grande passion des Marocains pour le football, leur hospitalité et la chaleur de leur accueil, dont bénéficient les hôtes du Maroc.
A l’encontre des autres dossiers présentés par le Maroc, celui qui sera voté ce samedi 15 mai à Zurich, bénéficie de toutes les chances de permettre à notre pays de remporter cette course à laquelle sont associés tous ceux qui nous soutiennent. Un optimisme de rigueur que l’on doit à plusieurs éléments ne figurant pas sur les dossiers précédents.
L’engagement du gouvernement marocain à travers les nombreuses correspondances adressées à la FIFA par le Premier ministre marocain, M. Driss Jettou, représente la meilleure des garanties pour la tenue au Maroc de la Coupe du monde 2010.
Dans cet élan gouvernemental officiel, d’autres ministères saisiront l’instance footballistique internationale des garanties de leurs départements respectifs pour la tenue au Maroc de cet événement sportif planétaire. Il s’agit des ministères des Finances et de la Privatisation, de l’Intérieur, de l’Industrie, du Commerce et de Télécommunications, du Tourisme et de la Santé. Tous ces derniers s’engagent de leur part à assurer toutes les garanties et les conditions prévues dans la section 4 du cahier des charges, notamment en matière d’infrastructures sportive, hôtelière et sanitaire, à la sécurité des participants, la presse, le change, les visas et le transport, la douane, la publicité et autres, autant de charges qui seront remplies par le gouvernement.
Un gouvernement marocain qui se veut rassurant aux yeux de la FIFA, puisqu’il s’engage à couvrir un éventuel déficit qu’engendrera la tenue au Maroc de la Coupe du monde 2010. 140 millions d’euros seront déposés au “ Crédit Suisse ” à cet effet, si le Maroc bénéficie de l’organisation de l’édition.
Une organisation faisant partie intégrante du plan de développement économique au Maroc.
De telles garanties représentant la force de notre dossier ne manqueront guère d’attirer beaucoup d’attention, notamment celle de M. Blatter, président de la FIFA qui, lors d’une visite au Maroc, n’a pas hésité à déclarer que le Royaume dispose de grands atouts pour décrocher cette organisation.
Une candidature faisant l’unanimité
Une opinion que se partagent avec lui d’autres grands noms parmi les acteurs du football mondial dont nous citons les Issa Hayatou, président de la CAF, Ben Hammam, président de l’Union asiatique de football, et plus particulièrement le docteur Ahmed Tani Doussari, président de l’Union émiratie de football, membre actif de l’Association Maroc 2010 que préside Saâd El Kettani.
Un dossier bénéficiant par ailleurs du soutien politique des amis du Royaume à l’image de l’Arabie Saoudite, l’Espagne ou la France pour ne citer que ceux-là.
L’Association Maroc 2010, ayant évolué sur tous les fronts dont les membres retiennent leur souffle en attendant le résultat du verdict, ont joué toutes les cartes gagnantes y compris le recours aux services d’experts de gros calibres, tels les Alain Rothenberg, architecte de l’organisation de la Coupe du monde de 1994 (USA), ou encore Daniel Rupt, organisateur de la Coupe du monde du Japon et de la Corée du Sud.Leur expérience dans le domaine donnera un plus à notre dossier.
Au Maroc, la candidature à organiser la Coupe du monde de football 2010 a suscité la mobilisation de toutes les instances sportives nationales, le secteur privé et public, les ONG et même l’homme de la rue, qui font l’unanimité autour de cet agencement.
Fédération de football, golf, handball, rugby, sport scolaire, basket-ball, volley-ball, athlétisme, cyclisme et j’en passe, croyant aux chances du Maroc, apportent tous leur soutien à l’action de l’Association Maroc 2010, car l’organisation de cette édition au Maroc se traduira par un développement tous azimuts.
Partant de l’infrastructure sportive, 9 stades dans les plus grandes villes du Royaume, soit une capacité totale de 459.000 places, passant par l’enrichissement du patrimoine touristique, augmentation de la capacité d’accueil des touristes étrangers, inscrite dans la Vision 2010 (10 millions de touristes). Terminant par la dotation d’un réseau autoroutier permettant un meilleur confort dans le déplacement à travers les villes de Tanger à Agadir. Autant de facteurs justifiant l’implication sans réserve du gouvernement et de toutes les composantes de la société marocaine. Mais qu’en est-il de nos chances ?
Malgré les spéculations des rapports donnant l’avantage à l’Afrique du Sud, le verdict du 15 mai pourrait surprendre certains pronostiqueurs, puisqu’en dehors de tout ce qui a été relaté dans cet article, d’autres paramètres entrent en jeu dans l’attribution de l’organisation du Mondial 2010 au Maroc.
Le soutien de nos amis et voisins, la proximité par rapport au continent européen, la sécurité malgré cet insignifiant événement de Casablanca par rapport à ce qui se passe dans le monde, sans oublier cette grande passion des Marocains pour le football, leur hospitalité et la chaleur de leur accueil, dont bénéficient les hôtes du Maroc.
