La nature recèle de vraies merveilles susceptibles de guérir de nombreuses maladies. Nos grands-parents le savaient bien et profitaient de ces ressources naturelles en les intégrant dans leur nourriture ou dans leur pharmacie familiale. Parmi tous les trésors de la nature, l’huile extraite du cœur du fruit de l’arganier est une huile très précieuse puisqu’elle possède de nombreuses vertus cosmétiques et pharmacologiques. En effet, les bienfaits de l'huile d'argan ne sont plus à démontrer, d’ailleurs les habitants du Sud du Maroc, ont toujours utilisé cette huile pour traiter la varicelle, l'acné juvénile, les rhumatismes et prévenir les vergetures chez les femmes enceintes.
Mieux encore, selon des études scientifiques menées tant au Maroc qu'en Europe, cette huile est également bénéfique pour le cœur car elle protège contre le mauvais cholestérol, l'artériosclérose, l’infarctus du myocarde. Le Pr. Abbdelfettah Derouiche, l’un des chercheurs dont l’étude a été primée affirme, que ses propriétés sont dues à la présence de la fraction lipidique qui représente 99% de la composition totale et qui est particulièrement riche en acides gras insaturés. Ces acides représentent 80% dont majoritairement l’acide oléique (45% ) et l’acide linoléique(35%), deux acides connus pour leur rôle hypocholestérolémiante et anti-aérogène. Ceux-ci réduisent la quantité de cholestérol plasmatique dans l'organisme et évitent son dépôt dans les artères et diminuent ainsi le risque d’infarctus. Ces acides sont dits “essentiels”, car ils sont indispensables à notre organisme qui ne peut les synthétiser.
Ils doivent donc être apportés par notre alimentation. L'apport quotidien recommandé de ces acides étant de 5 à 6 grammes. Ces acides sont également précurseurs des hormones prostaglandines qui régulent les différents systèmes cellulaires, en particulier les échanges membranaires. Le Pr. Derouiche explique qu’ils interviennent dans la fraction de barrière et perméabilité de l’épiderme. Avec l’âge leur carence conduit à un vieillissement cutané et donc déssechement et perte d’élasticité de la peau qui favorise les rides et les ridules. D’ailleurs, le 1% restant appelé (fraction insaponifiable) ou composé mineur possède des activités biologiques remarquables car il est riche en tocophérols dont la fameuse vitamine E, précise le Pr. Derouiche.
Celle-ci est connue pour contribuer à un développement régulier de toutes les parties de l'organisme, mais aussi pour ses propriétés stimulantes sur la défense anti-oxydante des cellules. En effet, la vitamine E retarderait le vieillissement cellulaire par son action sur la diminution de la susceptibilité membranaire au phénomène de péroxydation. Les laboratoires les plus futés qui connaissent la composition de l’huile d’argan ont été séduits par ces pouvoirs antioxydants et anti- radicaux libres, déterminants dans la prévention des rides et des ridules et l’utilisent de plus en plus pour fabriquer des crèmes anti-vieillissement. Enfin, le schotténol contenu dans l'huile d'argan aurait des propriétés anti-cancérigènes.
Le Dr. Dreouiche précise que la consommation d'huile d'argan, avec sa composition chimique unique en acides gras insaturés, tocophérols, squalénes, stérols et acides oléiques peut vraisemblablement rehausser les effets préventifs du cancer.
Mieux encore, selon des études scientifiques menées tant au Maroc qu'en Europe, cette huile est également bénéfique pour le cœur car elle protège contre le mauvais cholestérol, l'artériosclérose, l’infarctus du myocarde. Le Pr. Abbdelfettah Derouiche, l’un des chercheurs dont l’étude a été primée affirme, que ses propriétés sont dues à la présence de la fraction lipidique qui représente 99% de la composition totale et qui est particulièrement riche en acides gras insaturés. Ces acides représentent 80% dont majoritairement l’acide oléique (45% ) et l’acide linoléique(35%), deux acides connus pour leur rôle hypocholestérolémiante et anti-aérogène. Ceux-ci réduisent la quantité de cholestérol plasmatique dans l'organisme et évitent son dépôt dans les artères et diminuent ainsi le risque d’infarctus. Ces acides sont dits “essentiels”, car ils sont indispensables à notre organisme qui ne peut les synthétiser.
Ils doivent donc être apportés par notre alimentation. L'apport quotidien recommandé de ces acides étant de 5 à 6 grammes. Ces acides sont également précurseurs des hormones prostaglandines qui régulent les différents systèmes cellulaires, en particulier les échanges membranaires. Le Pr. Derouiche explique qu’ils interviennent dans la fraction de barrière et perméabilité de l’épiderme. Avec l’âge leur carence conduit à un vieillissement cutané et donc déssechement et perte d’élasticité de la peau qui favorise les rides et les ridules. D’ailleurs, le 1% restant appelé (fraction insaponifiable) ou composé mineur possède des activités biologiques remarquables car il est riche en tocophérols dont la fameuse vitamine E, précise le Pr. Derouiche.
Celle-ci est connue pour contribuer à un développement régulier de toutes les parties de l'organisme, mais aussi pour ses propriétés stimulantes sur la défense anti-oxydante des cellules. En effet, la vitamine E retarderait le vieillissement cellulaire par son action sur la diminution de la susceptibilité membranaire au phénomène de péroxydation. Les laboratoires les plus futés qui connaissent la composition de l’huile d’argan ont été séduits par ces pouvoirs antioxydants et anti- radicaux libres, déterminants dans la prévention des rides et des ridules et l’utilisent de plus en plus pour fabriquer des crèmes anti-vieillissement. Enfin, le schotténol contenu dans l'huile d'argan aurait des propriétés anti-cancérigènes.
Le Dr. Dreouiche précise que la consommation d'huile d'argan, avec sa composition chimique unique en acides gras insaturés, tocophérols, squalénes, stérols et acides oléiques peut vraisemblablement rehausser les effets préventifs du cancer.