Patrice Neveu n'aurait jamais bénéficié d'untel intérêt sans la décision de la sanction qui lui a été infligée par la Fédération. Celle-ci l'a déclaré persona non grata et ce, pour l'animosité manifestée contre notre pays lors des éliminatoires de la Coupe du monde 2006. Neveu s'était défoulé sur notre coach national Badou Zaki par des propos injurieux.
Indigne d'un citoyen d'un grand pays comme la France, de surcroît éducateur.
L'homme n'est pas là à son premier hors-jeu puisque, durant sa carrière d'entraîneur en Afrique, il a toujours fait des remous là où il est passé.
Si la palme du meilleur fouteur de trouble existait, Neveu en serait le plus méritant. Le Français avait déjà donné un avant-gout de son tempérament quand il coachait le Sporting de Salé au milieu des années 90. Il nous avait contactés par téléphone pour protester contre notre article qu'il avait trouvé exagérément critique à la suite de la défaite du Sporting at home face au FUS. Mauvais perdant ? Il le prouvera après le fameux match Maroc-Guinée. Le complexe de supériorité, voilà le grand tort de Neveu dont le CV aussi bien en tant que joueur ou entraîneur est quelconque. Le «hooliganisme» de Neveu aurait provoqué une crise au sein des fédérations des deux pays sans la solidité des relations fraternelles entre le Maroc et la Guinée. Patrice Neveu a par la suite déambulé dans le continent, provoquant des remous là où il atterrissait. Il pouvait s'attendre à tout, sauf que la destinée allait le reconduire de nouveau au Maroc, dix ans après l'avoir quitté.
Il a été recruté le mois dernier par le Moghreb de Tétouan qui lui a réservé un accueil en grande pompe. Mais la fête ne dura que le temps de vider sa valise puisqu'il se verra refuser la licence pour exercer par la Fédération royale marocaine de football. La lettre précisa les raisons du refus. Ne trouvant pas d'arguments pour défendre sa cause, Neveu écrit une lettre de pardon, essayant de culpabiliser indirectement la presse qui aurait «mal interprété» ses propos. Les larmes de crocodiles ne pouvaient tromper. Loin de tout sentiment xénophobe, la décision fédérale s'appuie sur des faits qui ont été par ailleurs consignés dans le procès verbal établi en son temps par la police guinéenne.
Refuser le droit d'exercer à Neveu n'est pas si simple que l'on croit. L'homme a passé un contrat avec le club tétouanais ce qui lui donne le droit de contester la décision fédérale et de faire valoir se droits pécuniaires au cas où il serait limogé. Qu'importe, l'indemnisation qui en résulterait n'équivaudrait jamais l'honneur d'un pays souillé par cet individu. Patrice doit faire ses valises car la édération «Neveu»
pas de lui.
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Neveu a été recruté le mois dernier par le Moghreb de Tétouan en remplacement du marocain Jbaten.
Patrice a adressé une lettre de pardon à la Fédération mais rien n'indique qu'il bénéficierait de circonstances atténuantes car son péché est considéré majeur puisqu'il porte atteinte à l'honneur de notre pays. Aujourd'hui, le MAT est obligé de le licencier, ce qui ne sera pas sans conséquences.
Indigne d'un citoyen d'un grand pays comme la France, de surcroît éducateur.
L'homme n'est pas là à son premier hors-jeu puisque, durant sa carrière d'entraîneur en Afrique, il a toujours fait des remous là où il est passé.
Si la palme du meilleur fouteur de trouble existait, Neveu en serait le plus méritant. Le Français avait déjà donné un avant-gout de son tempérament quand il coachait le Sporting de Salé au milieu des années 90. Il nous avait contactés par téléphone pour protester contre notre article qu'il avait trouvé exagérément critique à la suite de la défaite du Sporting at home face au FUS. Mauvais perdant ? Il le prouvera après le fameux match Maroc-Guinée. Le complexe de supériorité, voilà le grand tort de Neveu dont le CV aussi bien en tant que joueur ou entraîneur est quelconque. Le «hooliganisme» de Neveu aurait provoqué une crise au sein des fédérations des deux pays sans la solidité des relations fraternelles entre le Maroc et la Guinée. Patrice Neveu a par la suite déambulé dans le continent, provoquant des remous là où il atterrissait. Il pouvait s'attendre à tout, sauf que la destinée allait le reconduire de nouveau au Maroc, dix ans après l'avoir quitté.
Il a été recruté le mois dernier par le Moghreb de Tétouan qui lui a réservé un accueil en grande pompe. Mais la fête ne dura que le temps de vider sa valise puisqu'il se verra refuser la licence pour exercer par la Fédération royale marocaine de football. La lettre précisa les raisons du refus. Ne trouvant pas d'arguments pour défendre sa cause, Neveu écrit une lettre de pardon, essayant de culpabiliser indirectement la presse qui aurait «mal interprété» ses propos. Les larmes de crocodiles ne pouvaient tromper. Loin de tout sentiment xénophobe, la décision fédérale s'appuie sur des faits qui ont été par ailleurs consignés dans le procès verbal établi en son temps par la police guinéenne.
Refuser le droit d'exercer à Neveu n'est pas si simple que l'on croit. L'homme a passé un contrat avec le club tétouanais ce qui lui donne le droit de contester la décision fédérale et de faire valoir se droits pécuniaires au cas où il serait limogé. Qu'importe, l'indemnisation qui en résulterait n'équivaudrait jamais l'honneur d'un pays souillé par cet individu. Patrice doit faire ses valises car la édération «Neveu»
pas de lui.
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Demande de pardon
L'entraîneur français Patrice Neveu s'est vu refuser par la FRMF la licence d'exercer au Maroc. Les griefs portés contre le coach concernent son comportement hostile contre notre pays lors des éliminatoires de la Coupe du monde 2006, quand Neveu était entraîneur de la sélection de Guinée. Dans le hall d'un hôtel à Conakry, le Français s'était pris à la délégation marocaine qu'il avait traitée de tous les noms.Neveu a été recruté le mois dernier par le Moghreb de Tétouan en remplacement du marocain Jbaten.
Patrice a adressé une lettre de pardon à la Fédération mais rien n'indique qu'il bénéficierait de circonstances atténuantes car son péché est considéré majeur puisqu'il porte atteinte à l'honneur de notre pays. Aujourd'hui, le MAT est obligé de le licencier, ce qui ne sera pas sans conséquences.
