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Un investissement de 28 millions de Dhs sera, ainsi, destiné à renforcer l'infrastructure du transport urbain au niveau du Grand Casablanca.
Selon le projet «Casa 2010» présenté jeudi au siège de la wilaya, trois lignes de tramway, une ligne de métro et une ligne RER sont au programme afin d'améliorer le transport de masse.
La ville de Casablanca veut ainsi passer à la vitesse supérieure et projeter la mise en oeuvre d'un mode de transport performant, qui aura un effet décisif sur le développement de la métropole. Il s'agit, en effet, de trois lignes de tramway qui vont couvrir presque toute la ville de Casablanca.
En mettant en place le réseau du tramway, les responsables veulent ainsi la mettre sur les rangs des villes qui observent une hausse massive d'achalandage. «La ville de Casablanca doit être apte de se positionner sur un niveau de concurrence internationale», souligne le wali du Grand Casablanca, Mohamed Kabbaj. En effet, outre ses performances techniques, son confort, le tramway offre une capacité d'accueil supérieure à celle de l'autobus.
Par ailleurs, l'étude effectuée dans le cadre du PDU affiche la possibilité de réaliser également une ligne RER de 28 km à partir de la place des Nations unies vers Nouaceur. La vision de «Casa 2010» prévoit aussi une ligne de métro entre la place des Nations unies, Sebata, boulevard Mohammed VI ainsi que plusieurs autres artères qui s'alignent sur un tronçon de 13.3 km.
Ces nouveaux réseaux seront ainsi un outil d'aménagement urbain pour la cité blanche. Les axes où ils vont circuler devront être réaménagés et les infrastructures de service renouvelées : enfouissement des fils, réfection des aqueducs… Toutefois, les Casablancais ne pourront pas toucher de sitôt l'effet structurant de ces moyens de transport.
Le programme de «Casa 2010» n'inclut donc que la partie théorique de ces projets. «Le PDU a prévu la réalisation de ce programme sur une période de 20 ans. Pour l'instant, on essaie de trouver le montage financier de ces projets d'ici l'année prochaine.
Si on arrive à démarrer ces chantiers en 2010 ou 2011, on pourrait dire qu'on a réalisé un exploit », explique Mohamed Kabbaj. «Au niveau du transport de masse, nous allons d'abord démarrer par les lignes prioritaires en attendant la fin des autres études», rétorque M. Sajid.
S'agissant de la faisabilité du projet du métro, Sajid assure que le projet du transport de masse est aujourd'hui sérieusement porté par la ville contrairement aux anciennes études réalisées auparavant dans le cadre de coopération avec d'autres pays.
«Nous n'allons plus compter sur les études réalisés par des pays étrangers pour vendre leur matériel et qui n'ont jamais abouti à un résultat concret», indique-t-il. «Nous ne sommes pas encore décidé. Mais, la ligne de métro sera réalisée sur des zones qui accepteront la nature de ce projet ». Chose est certaine, les responsables de Casablanca espèrent pour l'instant «démarrer avec deux lignes en attendant d'achever les autres études de faisabilité».
Selon le projet «Casa 2010» présenté jeudi au siège de la wilaya, trois lignes de tramway, une ligne de métro et une ligne RER sont au programme afin d'améliorer le transport de masse.
La ville de Casablanca veut ainsi passer à la vitesse supérieure et projeter la mise en oeuvre d'un mode de transport performant, qui aura un effet décisif sur le développement de la métropole. Il s'agit, en effet, de trois lignes de tramway qui vont couvrir presque toute la ville de Casablanca.
En mettant en place le réseau du tramway, les responsables veulent ainsi la mettre sur les rangs des villes qui observent une hausse massive d'achalandage. «La ville de Casablanca doit être apte de se positionner sur un niveau de concurrence internationale», souligne le wali du Grand Casablanca, Mohamed Kabbaj. En effet, outre ses performances techniques, son confort, le tramway offre une capacité d'accueil supérieure à celle de l'autobus.
Par ailleurs, l'étude effectuée dans le cadre du PDU affiche la possibilité de réaliser également une ligne RER de 28 km à partir de la place des Nations unies vers Nouaceur. La vision de «Casa 2010» prévoit aussi une ligne de métro entre la place des Nations unies, Sebata, boulevard Mohammed VI ainsi que plusieurs autres artères qui s'alignent sur un tronçon de 13.3 km.
Ces nouveaux réseaux seront ainsi un outil d'aménagement urbain pour la cité blanche. Les axes où ils vont circuler devront être réaménagés et les infrastructures de service renouvelées : enfouissement des fils, réfection des aqueducs… Toutefois, les Casablancais ne pourront pas toucher de sitôt l'effet structurant de ces moyens de transport.
Le programme de «Casa 2010» n'inclut donc que la partie théorique de ces projets. «Le PDU a prévu la réalisation de ce programme sur une période de 20 ans. Pour l'instant, on essaie de trouver le montage financier de ces projets d'ici l'année prochaine.
Si on arrive à démarrer ces chantiers en 2010 ou 2011, on pourrait dire qu'on a réalisé un exploit », explique Mohamed Kabbaj. «Au niveau du transport de masse, nous allons d'abord démarrer par les lignes prioritaires en attendant la fin des autres études», rétorque M. Sajid.
S'agissant de la faisabilité du projet du métro, Sajid assure que le projet du transport de masse est aujourd'hui sérieusement porté par la ville contrairement aux anciennes études réalisées auparavant dans le cadre de coopération avec d'autres pays.
«Nous n'allons plus compter sur les études réalisés par des pays étrangers pour vendre leur matériel et qui n'ont jamais abouti à un résultat concret», indique-t-il. «Nous ne sommes pas encore décidé. Mais, la ligne de métro sera réalisée sur des zones qui accepteront la nature de ce projet ». Chose est certaine, les responsables de Casablanca espèrent pour l'instant «démarrer avec deux lignes en attendant d'achever les autres études de faisabilité».
