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Le projet a fait rêver les Casablancais trois décennies durant. Depuis le temps qu'on en parle, il a fallu une décision Royale pour que le métro et le tramway deviennent une réalité à Casablanca.
Les deux mégaprojets en plus d'une ligne RER ont été annoncé hier dans le cadre de la présentation du Programme de développement urbain 2010 de Casablanca. Des chantiers qui figurent parmi tant d'autres ayant trait au déplacement urbain dans la ville. Il s'agit, en fait d'une sorte de package visant à faire de Casablanca un pôle attrayant où il fait bon vivre.
Quant aux détails sur les trois chantiers, il faut attendre que les scénarios possibles soient dévoilés. Mais, les habitants de la ville peuvent d'ores et déjà se réjouir qu'une telle perspective puisse enfin résoudre la problématique du déplacement dans la capitale économique.
Il s'agit, également, d'un signal fort destiné aux investisseurs étrangers, mais aussi nationaux qui profiteront des avantages de la nouvelle politique Royale en matière de développement au sein de la ville.
Une attention particulière a été donc réservée au transport urbain par la programmation d'un réseau de transport de masse. Il comprend une ligne de métro, trois lignes de tramway et une ligne de RER assurant la liaison du centre-ville avec les différents quartiers et zones périphériques.
Ce réseau désenclavera le périurbain en faisant de Casablanca une ville homogène et harmonieuse. Exactement comme cela a été le cas pour Rabat qui aura aussi son tramway composé de deux branches avec une quarantaine de stations sur 18 kilomètres.
Rappelons, il y a un an, Mohamed Sajid, maire de Casablanca, avait déclaré à l'occasion d'une visite de son homologue Bertrand Delanoë, maire de Paris, que Casablanca prépare son projet de tramway et qu'elle essayera de bénéficier de l'expérience des Parisiens. Dubitatif, Delanoë avait répondu sur un ton amusé que c'était astucieux de la part de son hôte de ne pas avoir été catégorique sur les potentiels partenaires.
En avril dernier, une délégation s'est rendue à Paris pour démarcher des fonds nécessaires destinés à couvrir partiellement le projet de métro. Par ailleurs, le ministre de l'Equipement et du Transport, Karim Ghellab, a confirmé la contribution de son département au financement du projet.
Toutefois, sur le site officiel de Casablanca, on pouvait lire que les études de faisabilité ont conclu à la nécessité de réaliser un système de transport par rail, capable de satisfaire la demande sans cesse croissante des déplacements urbains de la population. Cependant, pouvait encore lire, des études d'avant-projet détaillé (APD) sur le métro ont été confiées à plusieurs groupements internationaux.
Le site propose encore des détails à savoir la longueur de la ligne préconisée qui serait de 15,5 Km dont un tronçon en souterrain sur 10,3 Km, allant de la Mosquée Hassan II via Bd Mohammed VI et un tronçon en viaduc sur 5,2 Km jusqu'à Sidi Moumen. La population transportée, tout au long de la ligne programmée, serait d'environ 912.000 habitants. Tandis que le nombre de voyageurs journaliers sur les transports collectifs du corridor est estimé à 150.000.
Les spécialistes pensent que si le projet de métro est une solution coûteuse, elle reste la plus appropriée pour Casablanca. Et d'ajouter qu'elle sera certainement la plus rentable à long terme, tant en terme économique, qu'en termes de santé publique et d'environnement.
L'histoire du métro de Casablanca remonte à 1997, lorsque la société Bouygues s'est liée d'un accord avec les autorités qui, en fin de compte, n'a jamais abouti. Après, c'était au tour des Canadiens, des Japonais, des Espagnols et des Autrichiens de s'intéresser à ce marché aussi important.
Les deux mégaprojets en plus d'une ligne RER ont été annoncé hier dans le cadre de la présentation du Programme de développement urbain 2010 de Casablanca. Des chantiers qui figurent parmi tant d'autres ayant trait au déplacement urbain dans la ville. Il s'agit, en fait d'une sorte de package visant à faire de Casablanca un pôle attrayant où il fait bon vivre.
Quant aux détails sur les trois chantiers, il faut attendre que les scénarios possibles soient dévoilés. Mais, les habitants de la ville peuvent d'ores et déjà se réjouir qu'une telle perspective puisse enfin résoudre la problématique du déplacement dans la capitale économique.
Il s'agit, également, d'un signal fort destiné aux investisseurs étrangers, mais aussi nationaux qui profiteront des avantages de la nouvelle politique Royale en matière de développement au sein de la ville.
Une attention particulière a été donc réservée au transport urbain par la programmation d'un réseau de transport de masse. Il comprend une ligne de métro, trois lignes de tramway et une ligne de RER assurant la liaison du centre-ville avec les différents quartiers et zones périphériques.
Ce réseau désenclavera le périurbain en faisant de Casablanca une ville homogène et harmonieuse. Exactement comme cela a été le cas pour Rabat qui aura aussi son tramway composé de deux branches avec une quarantaine de stations sur 18 kilomètres.
Rappelons, il y a un an, Mohamed Sajid, maire de Casablanca, avait déclaré à l'occasion d'une visite de son homologue Bertrand Delanoë, maire de Paris, que Casablanca prépare son projet de tramway et qu'elle essayera de bénéficier de l'expérience des Parisiens. Dubitatif, Delanoë avait répondu sur un ton amusé que c'était astucieux de la part de son hôte de ne pas avoir été catégorique sur les potentiels partenaires.
En avril dernier, une délégation s'est rendue à Paris pour démarcher des fonds nécessaires destinés à couvrir partiellement le projet de métro. Par ailleurs, le ministre de l'Equipement et du Transport, Karim Ghellab, a confirmé la contribution de son département au financement du projet.
Toutefois, sur le site officiel de Casablanca, on pouvait lire que les études de faisabilité ont conclu à la nécessité de réaliser un système de transport par rail, capable de satisfaire la demande sans cesse croissante des déplacements urbains de la population. Cependant, pouvait encore lire, des études d'avant-projet détaillé (APD) sur le métro ont été confiées à plusieurs groupements internationaux.
Le site propose encore des détails à savoir la longueur de la ligne préconisée qui serait de 15,5 Km dont un tronçon en souterrain sur 10,3 Km, allant de la Mosquée Hassan II via Bd Mohammed VI et un tronçon en viaduc sur 5,2 Km jusqu'à Sidi Moumen. La population transportée, tout au long de la ligne programmée, serait d'environ 912.000 habitants. Tandis que le nombre de voyageurs journaliers sur les transports collectifs du corridor est estimé à 150.000.
Les spécialistes pensent que si le projet de métro est une solution coûteuse, elle reste la plus appropriée pour Casablanca. Et d'ajouter qu'elle sera certainement la plus rentable à long terme, tant en terme économique, qu'en termes de santé publique et d'environnement.
L'histoire du métro de Casablanca remonte à 1997, lorsque la société Bouygues s'est liée d'un accord avec les autorités qui, en fin de compte, n'a jamais abouti. Après, c'était au tour des Canadiens, des Japonais, des Espagnols et des Autrichiens de s'intéresser à ce marché aussi important.
