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L'objectif est commun : créer un lien solide entre les différentes gastronomies du monde. Le festival sera une consécration du patrimoine culinaire de notre pays.
«La cuisine marocaine figure parmi les plus variées et les plus recherchées au monde car ses méthodes et ses recettes, d'origine millénaire, ont fait l'objet d'une recherche permanente», estime Mohamed Kabbaj, directeur d'honneur du festival. C'est une aubaine pour mettre en relief la particularité de la gastronomie marocaine qui est l'une des meilleures au monde. Elle remonte à 2.000 ans d'histoire. Le menu s'avère donc riche et varié.
Les arts, les savoir-faire et les rituels consacrés à la gastronomie seront célébrés en différents lieux de la cité médiévale, témoins vivants de la civilisation berbère et arabo-andalouse, où la cuisine marocaine sera mise en lumière grâce à des cuisinières traditionnelles de Fès et interprétée par les plus grands maîtres de la cuisine occidentale, afin de révéler ses différents champs d'expression possibles.
« Cette nouvelle édition voit le jour sous le signe d'un des derniers liens forts qui restent à l'humanité : la cuisine», souligne Fatéma Hal, directrice du festival et auteur de plusieurs livres tels «Les Saveurs et les Gestes», « Le livre du Couscous», « La cuisine du Maroc» et «Le grand livre de la cuisine marocaine». Elle organise des évènements autour de la gastronomie marocaine, donne des conférences dans le monde entier et présente des émissions TV sur la cuisine.
Le premier jour de cette manifestation est riche en événements et en contenus. La première conférence a tourné autour des cuisines traditionnelles marocaines qui, selon les historiens, ont hérité des Persans le mariage de viandes et de fruits et des Turcs, un véritable plaisir pour les sucreries.
D'autres sujets sont non moins importants, notamment : Cuisine de Fès : héritage berbère - Héritage arabo-andalou, la cuisine juive, la spécificité de la cuisine de Fès, cuisine et média au Maroc - Histoire d'une huile unique au monde : huile d'argan…
Aujourd'hui, on s'attend à des démonstrations par de grands chefs internationaux et des cuisinières du Maroc. La grande école de cuisine «Le Cordon bleu», à titre d'exemple, se chargera de la démonstration des techniques traditionnelles françaises. On n'oubliera pas de rendre hommage à des hommes et des femmes qui «ont su maintenir la tradition culinaire marocaine et l'artisanat.
A celles et ceux qui ne savaient ni lire ni écrire, mais qui ont su maintenir vivantes nos cuisines». Le festival se veut non seulement une rencontre culinaire mais aussi un creuset culturel. En effet, outre la cuisine, dans les galeries du palais El Mokri, une animation permanente aura lieu.
Ainsi, on mettra en scène l'art de vivre : porcelaine chinoise, argenterie de Manchester pour les plateaux, cristal Saint-Louis pour les verres à thé, porcelaine Bernardaud, poterie, vannerie, aluminium, plastique… Dans un autre univers, on dégustera les produits (du terroir, bios, produits de commerce équitable, etc.).
Des épices, des olives, des huiles d'olives, des fruits secs, des fruits confits… seront exposés. Un autre univers sera dédié aux tendances actuelles de la gastronomie. Des films et des documentaires de Jean Camolli seront projetés pour découvrir entre autres la biographie et le travail des intervenants.
Le palais El Mokri, joyau de l'art hispano-mauresque, accueillera les principaux évènements du festival. Construit en 1906, il est situé en bordure sud à l'intérieur des murs de la médina de Fès.
Les festivaliers ont un choix entre trois tarifications. La première est relative aux trois jours du festival. Elle donne accès à toutes les activités ainsi qu'aux trois déjeuners et aux dîners programmés, moyennant 1.500 dirhams.
La deuxième est un forfait journalier donnant accès au déjeuner et au dîner ainsi qu'à l'ensemble des activités de cette journée, en payant 500 dirhams. Par ailleurs, si l'on prend un déjeuner ou un dîner, on peut accéder à l'ensemble des activités de la journée.
«La cuisine marocaine figure parmi les plus variées et les plus recherchées au monde car ses méthodes et ses recettes, d'origine millénaire, ont fait l'objet d'une recherche permanente», estime Mohamed Kabbaj, directeur d'honneur du festival. C'est une aubaine pour mettre en relief la particularité de la gastronomie marocaine qui est l'une des meilleures au monde. Elle remonte à 2.000 ans d'histoire. Le menu s'avère donc riche et varié.
Les arts, les savoir-faire et les rituels consacrés à la gastronomie seront célébrés en différents lieux de la cité médiévale, témoins vivants de la civilisation berbère et arabo-andalouse, où la cuisine marocaine sera mise en lumière grâce à des cuisinières traditionnelles de Fès et interprétée par les plus grands maîtres de la cuisine occidentale, afin de révéler ses différents champs d'expression possibles.
« Cette nouvelle édition voit le jour sous le signe d'un des derniers liens forts qui restent à l'humanité : la cuisine», souligne Fatéma Hal, directrice du festival et auteur de plusieurs livres tels «Les Saveurs et les Gestes», « Le livre du Couscous», « La cuisine du Maroc» et «Le grand livre de la cuisine marocaine». Elle organise des évènements autour de la gastronomie marocaine, donne des conférences dans le monde entier et présente des émissions TV sur la cuisine.
Le premier jour de cette manifestation est riche en événements et en contenus. La première conférence a tourné autour des cuisines traditionnelles marocaines qui, selon les historiens, ont hérité des Persans le mariage de viandes et de fruits et des Turcs, un véritable plaisir pour les sucreries.
D'autres sujets sont non moins importants, notamment : Cuisine de Fès : héritage berbère - Héritage arabo-andalou, la cuisine juive, la spécificité de la cuisine de Fès, cuisine et média au Maroc - Histoire d'une huile unique au monde : huile d'argan…
Aujourd'hui, on s'attend à des démonstrations par de grands chefs internationaux et des cuisinières du Maroc. La grande école de cuisine «Le Cordon bleu», à titre d'exemple, se chargera de la démonstration des techniques traditionnelles françaises. On n'oubliera pas de rendre hommage à des hommes et des femmes qui «ont su maintenir la tradition culinaire marocaine et l'artisanat.
A celles et ceux qui ne savaient ni lire ni écrire, mais qui ont su maintenir vivantes nos cuisines». Le festival se veut non seulement une rencontre culinaire mais aussi un creuset culturel. En effet, outre la cuisine, dans les galeries du palais El Mokri, une animation permanente aura lieu.
Ainsi, on mettra en scène l'art de vivre : porcelaine chinoise, argenterie de Manchester pour les plateaux, cristal Saint-Louis pour les verres à thé, porcelaine Bernardaud, poterie, vannerie, aluminium, plastique… Dans un autre univers, on dégustera les produits (du terroir, bios, produits de commerce équitable, etc.).
Des épices, des olives, des huiles d'olives, des fruits secs, des fruits confits… seront exposés. Un autre univers sera dédié aux tendances actuelles de la gastronomie. Des films et des documentaires de Jean Camolli seront projetés pour découvrir entre autres la biographie et le travail des intervenants.
Le palais El Mokri, joyau de l'art hispano-mauresque, accueillera les principaux évènements du festival. Construit en 1906, il est situé en bordure sud à l'intérieur des murs de la médina de Fès.
Les festivaliers ont un choix entre trois tarifications. La première est relative aux trois jours du festival. Elle donne accès à toutes les activités ainsi qu'aux trois déjeuners et aux dîners programmés, moyennant 1.500 dirhams.
La deuxième est un forfait journalier donnant accès au déjeuner et au dîner ainsi qu'à l'ensemble des activités de cette journée, en payant 500 dirhams. Par ailleurs, si l'on prend un déjeuner ou un dîner, on peut accéder à l'ensemble des activités de la journée.
