Le très bouillant Rachid s'est toujours illustré par une vision du jeu remarquable. Lors de son arrivée au prestigieux club du Wydad, il s'est tout de go imposé comme un meneur sans partage. Et pourtant sa découverte est tout à fait fortuite. A la différence de la plupart de ses coéquipiers qui ont fait leurs armes au WAC, Rachid fut découvert dans un tournoi où il a causé des malheurs aux équipes qui y ont pris part.
Son arrivée dans le groupe des Rouges a été perçue comme celle d'un excellent élève qui n'a pas besoin d'examen pour accéder à une classe supérieure. Son talent intrinsèque l'a placé illico presto dans une formation où les talents ne manquent pas et où les vedettes étaient légion. Son football chatoyant, son engagement, la petitesse de sa taille (cependant, force est de reconnaître que les meilleurs joueurs de l'histoire du football mondial sont de petite taille : Pelé, Garrincha, Maradona, Di Stefano, Gento, Puskas, Johnson…) en ont fait un titulaire à part entière.
Mais chaque que l'on passe en revue les Wydadis qui ont fait la gloire du football marocain, Daoudi apparaît en très bonne place ! Jugez-en vous-mêmes ! La triplette Driss-Abdeslam-Chtouki, Khalfi, Bettache, Kabbour, Salem, Tibari, Larbi, Zahid, Larbi Aherdane, Petchou, Laachab, Shaïta, Bouderbala, Zaki, Azmi, Rachid Daoudi, Moussa N'daw, Benabicha, Fakherddine et enfin le recordman des sélectionnés marocains, Noureddine Naybet !!
Dès les premières sorties de ce joueur hors du commun, il va mettre l'exigeant public du WAC sous sa coupole. On ne parle que de Rachid Daoudi, on ne jure que par lui ! Ses performances sur les terrains du Royaume en ont fait une vedette à part entière. Mieux encore ! Il réussit, comme certains grands noms du football marocain, à se faire un public qui se déplace uniquement pour le voir jouer.
Un public neutre, de toutes les villes du Maroc. Une performance que peu de joueurs marocains réussirent à atteindre ! Ce talent indiscutable lui permit alors, dès sa première sortie nationale, de frapper avec insistance à la porte de l'équipe nationale. Il fit, ainsi, sa rentrée dans le groupe très fermé et très prisé du « Club Maroc ». Tous les coaches qui l'ont connu ont été charmés par ce joueur vif, chevelure à la gitane, au charisme indéniable.
Le dernier était le sévère Abdellah Blinda qui a vu en Rachid le meneur dont il rêvait. Et le jeune Wydadi ne l'a pas déçu ! Nous n'oublierons jamais cette poignée de mains entre les deux capitaines Rachid Daoudi et Diego Maradona de deux prestigieuses sélections : le Maroc et l'Argentine, ni le tir tendu de près de 40 m du canonnier du Wydad qui frôla le montant des bois gardé par un Filoul qui s'est contenté de suivre cet obus des yeux.
Ce talent immense de Rachid Daoudi continue de le servir même en fin de carrière où il figure dans toutes les formations du week-end du championnat du Sultanat d'Oman. Au sein du club de Soueik, où il occupe le poste de milieu du terrain, Rachid continue d'illuminer le jeu par son intelligence, sa grande vista et sa mobilité. Eh, oui ! Les années ne semblent pas avoir d'emprise sur lui.
Dans un édito sportif, un confrère omanais, Haitam Khalil, parle de lui comme un pourvoyeur talentueux qui offrait à ses coéquipiers des ballons qui ont toujours constitué un réel danger pour les équipes adverses. Comme quoi, le talent ne meurt jamais !
Ses raids sur le flanc gauche où il a débuté en on fait un des meilleurs défenseurs latéraux du continent. Mais sa reconversion au milieu du terrain, Rachid l'a réussie avec panache. Il fut retenu à maintes reprises dans la sélection continentale, récemment dans celle du Beach soccer ! Un pareil talent ne pouvait laisser les clubs aux Pétrodollars indifférents. Ils font les yeux doux à ce footballeur hors pair. Le club émirati d'Al Wassl va s'adjuger les services du joueur marocain qui connaîtra alors un certain Henri Kasperszac, nouveau coach des Lions de l'Atlas 2002.
En tous les cas, Rachid Daoudi est de ces joueurs qui ne laissent jamais indifférent tant à l'intérieur qu'à l'extérieur des terrains !
Son arrivée dans le groupe des Rouges a été perçue comme celle d'un excellent élève qui n'a pas besoin d'examen pour accéder à une classe supérieure. Son talent intrinsèque l'a placé illico presto dans une formation où les talents ne manquent pas et où les vedettes étaient légion. Son football chatoyant, son engagement, la petitesse de sa taille (cependant, force est de reconnaître que les meilleurs joueurs de l'histoire du football mondial sont de petite taille : Pelé, Garrincha, Maradona, Di Stefano, Gento, Puskas, Johnson…) en ont fait un titulaire à part entière.
Mais chaque que l'on passe en revue les Wydadis qui ont fait la gloire du football marocain, Daoudi apparaît en très bonne place ! Jugez-en vous-mêmes ! La triplette Driss-Abdeslam-Chtouki, Khalfi, Bettache, Kabbour, Salem, Tibari, Larbi, Zahid, Larbi Aherdane, Petchou, Laachab, Shaïta, Bouderbala, Zaki, Azmi, Rachid Daoudi, Moussa N'daw, Benabicha, Fakherddine et enfin le recordman des sélectionnés marocains, Noureddine Naybet !!
Dès les premières sorties de ce joueur hors du commun, il va mettre l'exigeant public du WAC sous sa coupole. On ne parle que de Rachid Daoudi, on ne jure que par lui ! Ses performances sur les terrains du Royaume en ont fait une vedette à part entière. Mieux encore ! Il réussit, comme certains grands noms du football marocain, à se faire un public qui se déplace uniquement pour le voir jouer.
Un public neutre, de toutes les villes du Maroc. Une performance que peu de joueurs marocains réussirent à atteindre ! Ce talent indiscutable lui permit alors, dès sa première sortie nationale, de frapper avec insistance à la porte de l'équipe nationale. Il fit, ainsi, sa rentrée dans le groupe très fermé et très prisé du « Club Maroc ». Tous les coaches qui l'ont connu ont été charmés par ce joueur vif, chevelure à la gitane, au charisme indéniable.
Le dernier était le sévère Abdellah Blinda qui a vu en Rachid le meneur dont il rêvait. Et le jeune Wydadi ne l'a pas déçu ! Nous n'oublierons jamais cette poignée de mains entre les deux capitaines Rachid Daoudi et Diego Maradona de deux prestigieuses sélections : le Maroc et l'Argentine, ni le tir tendu de près de 40 m du canonnier du Wydad qui frôla le montant des bois gardé par un Filoul qui s'est contenté de suivre cet obus des yeux.
Ce talent immense de Rachid Daoudi continue de le servir même en fin de carrière où il figure dans toutes les formations du week-end du championnat du Sultanat d'Oman. Au sein du club de Soueik, où il occupe le poste de milieu du terrain, Rachid continue d'illuminer le jeu par son intelligence, sa grande vista et sa mobilité. Eh, oui ! Les années ne semblent pas avoir d'emprise sur lui.
Dans un édito sportif, un confrère omanais, Haitam Khalil, parle de lui comme un pourvoyeur talentueux qui offrait à ses coéquipiers des ballons qui ont toujours constitué un réel danger pour les équipes adverses. Comme quoi, le talent ne meurt jamais !
Ses raids sur le flanc gauche où il a débuté en on fait un des meilleurs défenseurs latéraux du continent. Mais sa reconversion au milieu du terrain, Rachid l'a réussie avec panache. Il fut retenu à maintes reprises dans la sélection continentale, récemment dans celle du Beach soccer ! Un pareil talent ne pouvait laisser les clubs aux Pétrodollars indifférents. Ils font les yeux doux à ce footballeur hors pair. Le club émirati d'Al Wassl va s'adjuger les services du joueur marocain qui connaîtra alors un certain Henri Kasperszac, nouveau coach des Lions de l'Atlas 2002.
En tous les cas, Rachid Daoudi est de ces joueurs qui ne laissent jamais indifférent tant à l'intérieur qu'à l'extérieur des terrains !
